Ernest Flammarion, éditeur (p. 8-9).

INDOCHINE


Si j’ai, tout d’abord, mentionné une grande partie des pays étrangers, producteurs de riz, je n’ai pas oublié nos rizières d’Indochine, que la France, aujourd’hui plus que jamais, a le plus grand intérêt à développer par tous les moyens possibles.

J’ai lu, en son temps, une très intéressante brochure, par Guillaume Capus, président de la Section de Riz, au Congrès d’Agriculture Coloniale de 1918, qui expliquait scientifiquement et très clairement ce qu’il était important de faire pour obtenir les meilleurs résultats dans les rizières d’Indochine. Je suppose que ses conseils ont été mis en pratique.

De mon côté, si, par les diverses recettes et formules sur l’emploi du riz, qui vont suivre et dont plusieurs sont inédites, je puis être de quelque utilité, j’en serai très heureux.