Essai philosophique concernant l’entendement humain/Index

Traduction par Pierre Coste.
Pierre Mortier (p. Index-617).

TABLE
DES
PRINCIPALES MATIERES.

A.


ABstraction, ce que c’est 112. §9. Elle met une parfaite diſtance entre les hommes & les Bêtes. ibid §. 10.


Idées abſtraites, comment formées. 232. §. 6. 7. 8.

Les termes abſtraits ne ſauroient être affirmez l’un de l’autre. 382. §. 1.
Accident, ce que c’eſt 230. §. 2.
Actions, rien ne découvre mieux les Principes des hommes que leurs actions 28. §. 7.
Il n’y a que deux sortes d’actions 180. §. 4.
Une Action désagréable peut devenir agréable, & comment 217. §. 69.
Nulles actions considerées en différens temps ne peuvent être les mêmes 259. §2.
Actions conſiderées comme des Modes, ou par rapport à ce qu’elles ont de moral. 284. §. 15.
Adoration, l’idée d’Adoration n’eſt pas innée. 44, 45. §. 7.
Affirmations, elles ne roulent que ſur des idées concretes. 384. §. 1.
Algebre, ſon uſage. 539. §. 15.
Alteration, ce que c’eſt, 255. §. 2.
Ame, elle ne penſe pas toûjours, 64. § 9 &c.
Elle ne penſe pas dans un profond ſommeil. 65. §. 11. &c.
Son immaterialité nous eſt inconnuë. 445. §. 6.
La Religion n’eſt pas intereſſée dans l’immaterialité de l’Ame. ibid.
Notre ignorance ſur la nature de l’Ame. 276. §. 27.
Combien les actions de l’Ame ſont ſubites. 100. §. 10.
Amour, ce que c’eſt. 175. §.4.
Analogie, combien utile dans la Phyſique. 553. §. 12.
Antipathie & Sympathie, quelle en eſt la ſource. 317. §. 7.
Si elles ſont naturelles ou acquiſes. Ibid §. 7. 8.
Elles ſont cauſées quelquefois par la connexion des Idées. ibid.
Argumens, il y en a de quatre ſortes.
1. Ad verocundiam. 575. §. 19.
2. Ad ignorantiam. ibid. §. 20.
3. Ad hominem. ibid §. 21.
4. Ad judicium. ibid. §. 22.
Arithmetique, l’uſage de Chiffres dans l’Arithmetique. 453. §. 19.
Les choſes Artificielles ſont la plûpart des idées collectives 250. §. 3.
Pourquoi nous ſommes moins ſujets à tomber dans la confuſion à l’égard des choſes Artificielles que des Naturelles. 375. §. 41.
Il y a des Eſpèces diſtinctes de choſes artificielles 375. §. 41.
Aſſentiment qu’on donne aux Maximes 11. §. 10.
Dès qu’on les entend & qu’on comprend les termes qu’on employe pour les exprimer, c’eſt un ſigne que ces Propoſitions ſont évidentes par elles-mêmes. 15. §. 17. & pag. 16. §. 18.
Et non pas qu’elles ſont innées. ibid. 17. §. 19, 20. pag 52. § 19.
L’Aſſentiment tombe ſur des Propoſitions. 542. §. 3.
Ce que c’eſt. 544. §. 3.
Il doit être proportionné aux preuves. 546. §. 1.
Il dépend ſouvent de la Memoire. ibid. §. 1, 2.
En quelles rencontres il eſt volontaire de refuſer ou de ſuſpendre ſon conſentement, & en quelles occaſions il eſt néceſſaire. 596. §. 15, 16.
Aſſociation d’Idées. 315.
Comment elle ſe fait. 317. §. 15.
Ses mauvais effets, comme à l’égard des Antipathies. 317. 318. §. 7, 8. 319. §. 15.
A l’égard des Erreurs de l’Eſprit, 318. §. 9, 10.
Et cela dans des Sectes de Philoſophie & de Religion. 320. §. 18.
Le temps remedie quelquefois à ces inconveniens, & comment. 319. §. 13.
Exemples du mauvais effet de l’aſſociation des Idées. 319. §. 14, &c.
Les dangereuſes influences qu’elle a ſur les Habitudes intellectuelles. 320. §. 17.
Aſſurance, quand on y eſt parvenu, 549. §. 6.
Athéiſme dans le monde. 45. §. 8.
Atome, ce que c’eſt. 260. §. 3.
Aveugle, ſi un aveugle venoit à voir, il ne connoitroît pas par le moyen de la vûë un Globe d’avec un Cube, quoi qu’il les diſtinguât par l’attouchement. 99. §. 8.
Autorité, ſuivre les ſentimens des autres hommes, grande ſource d’erreur. 598. §. 17.
Axiomes, ne ſont pas les fondemens des Sciences. 487. §. 1, &c.
B.


BÊtes Brutes. Elles n’ont pas des idées univerſelles. 112. §.10, 11.


Ni des idées abstraites. 112. §. 10.
Si elles ont du ſentiment, elles penſent 72. §. 19.
Si elles penſent, ce qu’eſt le Principe penſant qui eſt en elles. ibid.
Bien & mal, ce que c’eſt. 175. §. 2. 200. §. 42
Le plus grand Bien ne détermine pas la Volonté. 159. §. 35. 197. §. 38. 201. §. 44.
Pourquoi. 201. §. 44, 46. 211. §. 59, 60, 64, 65, 68.
Il y a deux ſortes de Biens. 212. §. 61.
Le Bien n’agit ſur la Volonté que par le Deſir. 203. §. 46.
Comment on peut exciter le deſir du Bien. 203. §. 46, 47.
Souverain Bien, en quoi il conſiſte. 208. §. 55.
Bonheur, ce que c’eſt. 200. §. 42.
Quel Bonheur les hommes recherchent. ib. §. 43.
Comment il arrive que nous nous contentons d’un bonheur peu étendu. 211. §. 59.
C.


CApacité. 119. §. 3.
Il eſt utile de connoître l’étenduë de nos Capacitez. 3. §. 4. Cette connoiſſance eſt propre à guérir du Scepticiſme & de la Pareſſe. 6. §. 6.

Nos capacitez ſont proportionnées à notre État préſent. 4. §. 5.
Cauſe, ce que c’eſt. 254, 255. §. 1.
Ce qui eſt, eſt ; Maxime qui n’eſt pas reçuë avec un conſentement général. 8. §.4.
Certitude : elle dépend de l’intuition 432. §. 1.
En quoi elle conſiſte. 472. §. 18.
Certitude de Vérité. 477. § 3.
Certitude de Connoiſſance ibid. à l’égard des Subſtances, on ne peut trouver de certitude que dans un fort petit nombre de Propoſitions générales. 484. §. 13. Et pourquoi. 486. §. 15.
Où l’on peut trouver la certitude. 487. §. 16.
Certitude verbale. 508. §. 8. Réelle. ibid.
Connoiſſance ſenſible, la plus grande certitude que nous ayions de l’exiſtence. 523. §. 2.
Chaud & froid, comment la ſenſation de ces deux choſes eſt produite par la même eau dans le même temps. 94. § 21.
Cheveu, comment il paroit à travers un Microſcope. 235. § 11.
Citations, combien peu l’on doit s’y fier. 552. §. 11.
Clarté : Elle ſeule empêche la confuſion des Idées. 109. §. 3.
Ce que c’eſt qu’Idées Claires & obſcures. 288. §. 2.
Cohibition, ce que c’eſt. 185. §. 13.
Colère : ce que c’eſt. 177. §. 12.
Commentaires sur les Loix, pourquoi infinis. 387. §. 9.
Idées Complexes, comment on les forme. 110. §. 6. 116. §. 1.
À l’égard de ces Idées l’Eſprit eſt plus que paſſif. 116, 117. §. 1, 2.
Elles peuvent être réduites à ces trois formes, Modes, Subſtances & Relations. 117. § 3.
Comparer des Idées, ce que c’eſt. 110. §. 4.
En cela les Hommes ſurpaſſent les Bêtes. 110, 111. §. 6.
Idées completes. 298. &c. Nous n’avons point d’idées completes d’aucune Eſpèce de Subſtances. 301. §. 6.
Compoſer des Idées, ce que c’eſt. 110. §. 6.
Il y a par-là une grande différence entre les hommes & les bêtes. ibid §. 7.
Compter : ce que c’eſt. 155. §. 5.
Les noms ſont néceſſaires pour compter. ibid.
Et l’ordre. 157. §. 7.
Pourquoi les Enfans ne ſont pas capables de compter de bonne heure, & pourquoi quelques-uns ne peuvent jamais le faire. ibid.
Confiance 550. §. 7.
Idées confuſes 289. §. 4.
Confuſion d’Idées, en quoi elle conſiſte. 289. §. 5, 6, 7.
Cauſe de cette confuſion. 289. §. 7, 8, 9, 12.
Elle eſt fondée ſur un rapport aux noms qu’on donne aux Idées. 291. §. 10.
Moyen de remedier à cette confuſion. 292. §. 12.
Connoiſſance : elle a une grande liaiſon avec les mots. 396. §. 21.
Ce que c’eſt que la Connoiſſance. 427. §. 2.
Combien elle dépend de nos Sens. 423. §. 23.
Connoiſſance actuelle. 429. §. 8.
Habituelle. 430. §. 8.
La Connoiſſance habituelle eſt double. 430. §. 9.
Connoiſſance intuitive. 432. §. 1. Eſt la plus claire. ibid. Et irreſiſtible. ibid.
Connoiſſance démonſtrative. 433. §. 2.
Toute Connoiſſance des véritez générales eſt ou intuitive ou démonſtrative. 437. §. 14.
Celle des exiſtences particulieres eſt ſenſitive 438. §. 14.
Les idées claires ne produiſent pas toûjours une Connoiſſance claire. ibid. §. 15.
Quelle ſorte de Connoiſſance nous avons de la Nature 235. §. 12.
Les commencemens & les progrès de la Connoiſſance. 14. §. 15. 16. 115, 116 §. 15. 16. 17.
Où elle doit commencer 132. §. 28.
Elle nous eſt donnée dans les Facultez propres à l’obtenir. 48. §. 12.
La Connoiſſance des hommes répond à l’uſage qu’ils font de leurs Facultez. 55. §. 22.

Nous ne pouvons l’acquerir que par l’application de nos propres Penſées à la contemplation des choſes mêmes. 57. §. 23.
Etenduë de la Connoiſſance humaine. 439. §. 1. &c.
Notre Connoiſſance ne s’étend pas au delà de nos idées. ibid.
Ni au delà de la perception de leur convenance ou disconvenance. ibid. §. 2.
Elle ne s’étend pas à toutes nos Idées ibid. §. 3.
Moins encore à la réalité des choſes. 440. §. 6.
Elle eſt pourtant fort capable d’accroiſſement, ſi l’on prenoit de bons chemins. ibid.
Notre connoiſſance d’Idendité & de la Diverſité eſt auſſi étenduë que nos Idées. 447. §. 8.
Notre connoiſſance de coëxiſtence eſt fort bornée. ibid. § 9, 10, 11.
Et par conſéquent celle des Subſtances l’eſt auſſi. 448. §. 14, 15, 16.
La connoiſſance des autres relations ne peut être déterminée. 451. §. 18.
Quelle eſt la connoiſſance de l’exiſtence. 451. §. 21.
Où c’eſt qu’on peut avoir une connoiſſance certaine & univerſelle. 460. §. 29. 487. §. 16.
Le mauvais uſage des Mots, grand obſtacle à la Connoiſſance 461. §. 30.
Où ſe trouve la connoiſſance gênérale. 462. §. 31.
Elle ne ſe trouve que dans nos penſées. 485. §. 13.
Réalité de notre connoiſſance 462.
Combien eſt réelle la connoiſſance que nous avons des véritez Mathematiques. 464. §. 6.
Celle que nous avons de la Morale eſt réelle. 465. §. 7.
Juſqu’où s’étend la réalité de celle que nous avons des Subſtances. 467. §. 12.
Ce qui fait notre Connoiſſance réelle. 463. §. 3. & 8.
Conſiderer les choſes & non les noms des choſes, moyen de parvenir à la connoiſſance 468. §. 13.
Connoiſſance des Subſtances, en quoi elle conſiſte. 481. §. 10.
Ce qui eſt néceſſaire pour parvenir à une connoiſſance paſſable des Subſtances 485. §.14.
Connoiſſance évidente par elle-même. 488. §.2.
La Connoiſſance de l’Identité & de la Diverſité eſt auſſi étenduë que nos Idées. ibid §. 4. En quoi elle conſiſte. ibid.
Celle de la Coëxiſtence eſt fort bornée. 490. §. 5.
Celle des Relations des Modes ne l’eſt pas tant. ibid. §. 6.
Nous n’avons aucune connoiſſance de l’exiſtence réelle, excepté notre propre exiſtence & celle de Dieu. ibid. §. 7.
La connoiſſance commence par des choſes particuliéres. 498. §. 11.
Nous avons une connoiſſance intuitive de notre propre exiſtence. 511. §. 3. & une connoiſſance



démonſtrative de l’exiſtence de Dieu. 512. §. 1.
La Connoiſſance que nous avons par le moyen des Sens mérite le nom de connoiſſance. 524. §. 3.
Comment on peut augmenter la connoiſſance. 531. Ce n’eſt point par le ſecours des Maximes. ibid. §. 5. Pourquoi on s’eſt figuré cela. ibid §. 2. On ne peut augmenter la Connoiſſance qu’en déterminant & comparant les Idées. 533. §. 6. 538. §. 14.
Et en trouvant leurs rapports. 535. §. 9.
Par des Idées moyennes. 5538. §. 14.
Comment on peut augmenter la connoiſſance. 531. Ce n’eſt point par le ſecours des Maximes. ibid. §. 5. Pourquoi on s’eſt figuré cela. ibid. §. 2. On ne peut augmenter la Connoiſſance qu’en déterminant & comparant les Idées. 533. §. 6. 538. §. 14.
Et en trouvant leurs rapports. 535. §. 9.
Par des Idées moyennes. 538. §. 14.
Comment la Connoiſſance peut être perfectionnée à l’égard des Subſtances. 535. §. 9.
La Connoiſſance eſt en partie néceſſaire, & en partie volontaire. 540. §. 1, 2.
Pourquoi notre Connoiſſance eſt ſi petite. 542. §. 2.
Conſcience, c’eſt l’opinion que nous avons nous-mêmes de ce que nous faiſons. 28. §. 8.
Con-ſcience fait qu’une perſonne eſt la même. 270. §. 16. Ce que c’eſt. 71. §. 19.
Il eſt probable qu’elle eſt attachée à la même Subſtance individuelle, immaterielle. 274. §. 25.
Elle eſt néceſſaire pour penſer. 64. §. 10, 11. 71. §. 19.
Contemplation, 103. §. 1.
Convenance & disconvenance de nos Idées diviſée en quatre eſpèces. 428. §. 3.
Corps, nous n’avons pas plus d’idées originales du Corps que de l’Eſprit. 239. §. 16.
Quelles ſont ces idées originales du Corps. 239. §. 17.
L’étenduë ou la cohéſion des Corps eſt auſſi difficile à concevoir que la penſée dans l’Eſprit. 241. §. 23, 24, 25, 26, 27.
Le mouvement d’un Corps par un autre Corps, auſſi difficile à concevoir que le mouvement d’un Corps par le moyen de la penſée. 243. 244. §. 28.
Le Corps n’agit que par impulſion. 90. §. 11.
Ce que c’eſt que Corps. 123. §. 11.
Couleurs, Modes des couleurs. 171. §. 4.
Ce que c’eſt que la Couleur. 343. §. 16.
Crainte, ce que c’eſt. 177. §. 10.
Création, ce que c’eſt. 255. §. 2.
Elle ne doit pas être niée parce que nous n’en ſaurions concevoir la maniére. 522. §. 19.
Croire ſans raiſon c’eſt agir contre ſon devoir. 572. §. 24.
Croyance, ce que c’eſt. 544. §. 3.
D.


DEcisif. Les plus habiles gens ſont les moins déciſifs. 548. §. 4.


Définition, pourquoi l’on ſe ſert du Genre dans la Définition. 331. §. 10.

Ce que c’eſt que la Définition. 338. §. 6.
Définir les mots termineroit une grande partie des Diſputes. 404. §. 15.
Démonſtration, ce que c’eſt 433. §. 3. 569. §. 15.
Elle n’eſt pas ſi claire que la Connoiſſance intuitive. 433. §. 4, 6, 7.
La connoiſſance intuitive eſt néceſſaire dans chaque dégré d’une Démonſtration 434. §. 7.
La Démonſtration n’eſt pas bornée à la Quantité. 435. §. 9.
Pourquoi on a ſuppoſé cela. 436. §. 10.
Il ne faut pas attendre une démonſtration en toutes ſortes de cas. 528. §. 10.
Deſeſpoir, ce que c’eſt. 177. §. 11.
Deſir, ce que c’eſt. 176. §. 6.
C’eſt un état où l’Eſprit n’eſt pas à ſon aiſe. 193. §. 31, 32.
Le Deſir n’eſt excité que par le Bonheur. 199. §. 41.
Jusques où. 200. §. 43.
Comment il peut être excité. 202, 203. §. 46.
Il s’égare par un faux jugement. 210. §. 58.
Dictionnaires, comment ils devroient être faits. 425. §. 25.
Dieu, immobile parce qu’il eſt infini. 240. §. 21.
Il remplit l’immenſité auſſi bien que l’Eternité. 147. §. 3.
Sa durée n’eſt pas ſemblable à celle des Créatures. 153. §. 12.
L’Idée de Dieu n’eſt pas innée. 45. §. 8.
L’exiſtence de Dieu eſt évidente & ſe préſente ſans peine à la Raiſon. 46. §. 9.
La notion de Dieu une fois acquiſe, il eſt fort apparent qu’elle doit ſe repandre & ſe conſerver dans l’Eſprit des hommes. 47. §. 10.
L’Idée de Dieu vient tard & eſt imparfaite. 49. §. 13.
Combien étrange & incompatible dans l’Eſprit de certains hommes. 49. §. 15.
Les meilleures notions de la Divinité peuvent être acquiſes par l’application de l’Eſprit. 50. §. 16.
Les Notions qu’on ſe forme de Dieu ſont ſouvent indignes de lui. 49. §. 15, 16.
L’Exiſtence d’un Dieu certaine. 51. §. 16.
Elle eſt auſſi évidente qu’il eſt évident que les trois Angles d’un Triangle ſont égaux à deux Droits.ibid
L’exiſtence d’un Dieu peut être démontrée. 512. §. 1, 6.
Elle eſt plus certaine qu’aucune autre exiſtence hors de nous. 513. §. 6.
L’idée de Dieu n’eſt pas la ſeule preuve de ſon exiſtence. 514. §. 7.
L’exiſtence de Dieu eſt le fondement de la Morale & de la Théologie. ibid.
Dieu n’eſt pas materiel. 517. §. 13.
Comment nous formons notre idée de Dieu. 246. §. 33, 34.
Faculté de diſcerner les Idées. 108. §. 1.
Elle eſt le fondement de quelques Maximes générales. ibid.
Diſcours, ne peut être entre deux hommes qui ont différens noms pour déſigner la même idée, ou qui déſignent différentes idées par un même nom. 82. §. 5.
Diſpoſition, 228. §. 10.
Diſputer, l’art de diſputer eſt nuiſible à la Connoiſſance. 415. §. 6, 7.
Il détruit l’uſage du Langage. 402. §. 10, 11.
Diſputes, d’où elles viennent. 132. §. 28.
La multiplicité des Diſputes doit être attribuée à l’abus des mots. 408. §. 22.
Elles roulent preſque toutes ſur la ſignification des mots. 415. §. 7.
Moyen de diminuer le nombre des Diſputes. 510. §. 13. Quand c’eſt que nous diſputons ſur des mots. ibid.
Diſtance. 119. §. 3.
Idées diſtinctes. 289. §. 4.
Diviſibilité de la Matiére, eſt incomprehenſible. 245. §. 31.
Douleur : la Douleur préſente agit fortement ſur nous. 213. §. 64.
Uſage de la Douleur. 85. §. 4.
Durée. 133. §. 1, 2.
D’où nous vient l’idée de la Durée. 133. §. 3, 4, 5.
Ce n’eſt pas du mouvement. 138. §. 16.
Meſure de la Durée. 138. §. 17, 18.
Toute apparence périodique réguliére. 139. §. 19, 20.
Nulle de ces meſures n’eſt connuë pour être parfaitement exacte. 140. §. 21.
Nous conjecturons ſeulement qu’elles ſont égales par la ſuite de nos Idées. 140, 141. §. 21.
Les Minutes, les Jours, & les Années &c. ne ſont pas néceſſaires à la Durée. 141. §. 23.
Le changement des meſures de la Durée ne change pas la notion que nous avons. 142. §. 23.
Les meſures de la Durée priſes pour des Revolutions du Soleil, peuvent être appliquées à la Durée avant que le Soleil exiſtât. 142. §. 24.
Durée ſans commencement. 143. §. 27.
Comment nous meſurons la Durée 144. §. 28, 29, 30.
De quelle eſpèce d’Idées ſimples eſt composée l’idée que nous avons de la Durée 151. §. 9.
Recapitulation des Idées que nous avons de la Durée, du Temps, & de l’Eternité. 145. §. 31.
La Durée & l’Expanſion comparées. 142.
La Durée & l’Expanſion ſont renfermées l’une dans l’autre. 153. §. 12.
La Durée conſiderée comme une ligne. 152. §. 11.
Nous ne pouvons la conſiderer ſans ſuceſſion. 153. §. 12.
E.


EColes, en quoi elles manquent. 400. §. 6. etc.


Ecriture, les interpretations de l’Ecriture Sainte ne doivent pas être impoſées aux autres 397. §. 23.
Ecrits des Anciens, combien il eſt difficile d’en comprendre exactement le ſens. 396. §. 22.
Education, cauſe en partie du peu de raiſon des gens. 316. §. 3.
Effet, ce que c’eſt. 255. §. 1.
Entendement, ce que c’eſt. 181.§. 5. Semblable à une Chambre obſcure. 115. §. 17. Quand on fait un bon uſage. 3. §. 5. C’eſt le pouvoir de penſer. 117. §. 2. Il eſt entierement paſſif à l’égard de la reception des Idées ſimples. 74. §. 25.
Enthouſiaſme. 580. Décrit. 582. §. 6, 7. Son Origine. 581. §5. Le fondement de la perſuaſion que nous avons d’être inſpirez doit être examiné & comment. 583. §. 10.
La force de cette perſuaſion n’eſt pas une preuve ſuffiſante. 586. §. 12, 13.
L’enthouſiaſme paſſe pour un fondement d’aſſentiment. 581. §.. Il ne parvient point à l’évidence à laquelle il prétend. 585. §.11.
Envie, ce que c’eſt. 177. §. 13.
Erreur, ce que c’eſt. 589. §. 1.
Cauſes de l’Erreur. ibid.
1. Le manque de preuves. ibid. §. 2.
2. Le défaut d’habileté à s’en ſervir. 590. §. 5.
3. Le défaut de volonté pour les faire valoir. 591. §. 6.
4. Fauſſes règles de probabilité. 592. §. 7.
Il y a moins de gens qui donnent leur aſſentiment à des Erreurs qu’on ne croit ordinairement. 599. §. 18.
Eſpace : on en acquiert l’idée par la vûë & par l’attouchement. 119. §. 2.
Modification de l’Eſpace. ibid. §. 4.
Il n’eſt pas Corps. 123. §. 11, 12, 13.
Ses parties ſont inſeparables. 124. §. 13.
L’Eſpace eſt immobile. 124. §. 14.
S’il eſt corps ou Eſprit. 125. §. 16.
S’il eſt Subſtance ou Accident. ibid §. 17.
L’Eſpace eſt infini. 127. §. 21. 159. §. 4.
Les Idées de l’Eſpace & du Corps ſont diſtinctes. 129. §. 24. 131. §. 27.
L’Eſpace conſideré comme un ſolide. 152. §. 11.
Il eſt difficile de concevoir aucun Etre réel vuide d’Eſpace. ibid.
Eſpèce, pourquoi dans une idée complexe le changement d’une ſeule idée eſt jugé changer l’eſpèce dans les Modes, & non pas dans les Subſtances. 406. §. 19.
L’Eſpèce des Animaux & des Vegetaux eſt

diſtinguée le plus ſouvent par la Figure. 421. §. 19. Et celle des autres choſes par la Couleur. ibid. & 368. §. 29.
L’Eſpèce eſt un ouvrage que l’Entendement de l’homme forme pour s’entretenir avec les autres hommes. 348. §. 9.
Il n’y a point d’eſpèce de Modes Mixtes ſans un nom. 225. §. 4.
Celle des Subſtances eſt déterminée par l’Eſſence nominale. 356. §. 7, 8. 358. §. 11, 13.
Non par les formes Subſtantielles. 358. §. 10.
Ni par l’Eſſence réelle. 361. §. 18. 365. §. 25.
L’Eſpèce des Eſprits comment peut être diſtinguée. 358. §. 11.
Il y a plus d’Eſpèces de Créatures au deſſus de nous qu’au deſſous. 359. §. 12.
Les Eſpèces des Créatures vont par dégrez inſenſibles. 358. §. 11.
Ce qui eſt néceſſaire pour faire des Eſpèces par des Eſſences réelles. 361. §. 14, 15. &c.
Les Eſpèces des Animaux ne ſauroient être diſtinguées par la propagation. 364. §. 23.
L’Eſpèce n’eſt qu’une conception partiale de ce qui eſt dans les Individus. 370. §.32.
C’eſt l’Idée complexe, ſignifiée par un certain nom, qui forme l’Eſpèce. 372. §. 35.
L’homme fait les Eſpèces ou ſortes. ibid.
Mais le fondement eſt dans la ſimilitude qui ſe trouve dans les choſes. 373. §. 38.
Eſperance, ce que c’eſt. 177. §. 9.
Eſprit : l’exiſtence des Eſprits ne peut être connuë. 529. §. 12.
On ne ſauroit concevoir l’operation des Eſprits sur les Corps. 459. §. 28.
Quelle connoiſſance les Eſprits ont des Corps. 423. §. 23.
Comment la connoiſſance des Eſprits ſeparez peut ſurpaſſer la nôtre. 107. §. 9.
Nous avons une notion auſſi claire de la ſubſtance des Eſprits que de celle du Corps. 232. §. 5.
Conjecture ſur une maniere de connoître par où les Eſprits l’emportent ſur nous. 237. §. 13.
Quelles idées nous avons des Eſprits. 238. §. 15.
Idées originales qui appartiennent aux Eſprits. 239. §. 18.
Les Eſprits ſe meuvent. 239. §. 19, 20.
Idées que nous avons de l’Eſprit & du Corps, comparées. 240. §. 22. 245. §. 30.
L’exiſtence des Eſprits auſſi aiſée à recevoir que celle des Corps. 245. §. 31.
Nous ne concevons pas comment les Eſprits s’entre communiquent leurs penſées. 248. §. 36.
Jusques où nous ignorons l’exiſtence, les Eſpèces & les propriétez des Eſprits. 418. §. 27.
L’Eſprit & le Jugement, en quoi ils different. 109. §. 2.
Eſſence, réelle & nominale. 334. §. 15.
La ſuppoſition que les Eſpèces ſont diſtinguées par des Eſſences réelles incomprehenſibles, eſt inutile. 335. §. 17.
L’Eſſence réelle & nominale toûjours la même dans les Idées ſimples & dans les Modes ; & toûjours différentes dans les ſubſtances, 336. §. 18.
Eſſences, comment ingénerables & incorruptibles. 335. §. 19.
Les Eſſences ſpecifiques des Modes mixtes ſont un Ouvrage de l’Homme & comment. 345. §. 4. 5. 6.
Quoi qu’elles ſoient arbitraires elles ne ſont pourtant pas formées au hazard. 346. 347. §. 7.
Eſſences des Modes mixtes pourquoi appellées Notions. 350. §. 12.
Ce que c’est que ces Eſſences. 350. §. 13, 14.
Elles ne se rapportent qu’aux Eſpèces. 354. §.4.
Ce que c’eſt que les Eſſences réelles. 356. §. 6.
Nous ne les connoiſſons pas. 357. §. 9.
Notre Eſſence ſpecifique des Subſtances n’eſt qu’une collection d’Idées ſenſibles. 362. §. 21.
Les Eſſences nominales formées par l’Eſprit. 365. §. 25.
Mais non pas tout-à-fait arbitrairement. 367. §. 28.
Elles ſont differentes en differens hommes. 365. §. 26.
Eſſences nominales des Subſtances comment formées. 367. §. 28, 29. Fort differentes. 370. §. 31.
L’Eſſence des Eſpèces eſt l’idée abſtraite déſignée par un certain nom. 332. §. 12. 362. §. 19.
C’eſt l’Homme qui en eſt l’Auteur. 334. §. 14.
Elle eſt pourtant fondée ſur la convenance des choſes. 333. §. 13.
Les Eſſences réelles ne déterminent pas nos Eſpèces. ibid.
Chaque Idée abſtraite diſtincte, avec un nom, eſt l’eſſence diſtincte d’une Eſpèce diſtincte. 334. §. 14.
Les eſſences réelles des Subſtances ne peuvent être connuës. 484. §. 12.
Eſſentiel, ce que c’eſt, 353, §. 2. 355. §. 5.
Rien n’eſt eſſentiel aux individus. 354. §. 4. Mais aux Eſpèces. 356. §. 6.
Ce que c’eſt qu’une différence eſſentielle. 355. §. 5.
Etenduë, nous n’avons point d’idée diſtincte de la plus grande ou de la plus petite étenduë. 294. §. 16.
L’Etenduë du Corps eſt incomprehenſible. 241. §. 23. &c.
La plupart des denominations priſes du Lieu & de l’Etenduë ſont relatives. 257. §. 5.
L’Etenduë & le corps n’eſt pas la même choſe. 124. §. 16. &c.

La Définition de l’Etenduë ne ſignifie rien. 124. §. 15.
L’Etenduë du Corps & de l’Eſpace comment distinguée. 81. §. 5.
Veritez éternelles. 530. §. 14.
Eternité, d’où vient que nous ſommes ſujets à nous embarraſſer dans nos raiſonnemens ſur l’Eternité. 293, 294. §. 15.
D’où nous vient l’idée de l’Eternité. 143. §. 27.
On démontre que quelque choſe exiſte de toute éternité. 143. §. 27.
Etres : Il n’y en a que de deux ſortes. 515. §. 9.
L’Etre Eternel doit être penſant. ibid.
Evident : Propoſitions évidentes par elles-mêmes, où l’on peut les trouver. 488. §. 4.
Elles n’ont pas beſoin de preuve & n’en reçoivent aucune. 502. §. 19.
Exiſtence, idée qui nous vient par Senſation & par Reflexion. 86. §. 7.
Nous connoiſſons notre propre exiſtence intuitivement. 512. §. 1. Et nous n’en ſaurions douter. 512. §. 2.
L’exiſtence paſſée n’eſt connuë que par le moyen de la Memoire. 528. §. 11.
Expanſion eſt ſans bornes. 146. §. 2.
L’Experience nous aide ſouvent dans des rencontres où nous ne penſons point qu’elle nous ſoit d’aucun ſecours. 100. §. 8.
Extaſe, ce que c’eſt. 173. §. 1.
F.


Facultez de l’Eſprit, les prémiéres exercées. 114. §. 14.


Elles ne ſont que des Puiſſances. 186. §. 17.
Elles n’opérent pas l’une ſur l’autre. 187, 188. §. 18, 20.
Faire, ce que c’eſt. 255. §. 2.
Fauſſeté. 480. §. 9.
Fer, de quelle utilité il eſt au Genre Humain. 536. §. 11.
Figure. 120. §. 5. Elle peut être variée à l’infini. 120. §. 6.
Diſcours figuré, abus du Langage. 412. §. 34.
Fini & infini, Modes de la Quantité. 158. §. 2.
Toutes les Idées poſitives de la Quantité ſont finies. 162. §. 8.
Foi & Opinion, entant que diſtinguées de la connoiſſance, ce que c’eſt. 2. §. 3.
Comment la Foi & la Connoiſſance différent. 544. §. 3.
Ce que c’eſt que la Foi. 555. §. 14.
Elle n’eſt pas oppoſée à la Raiſon 572. §. 24.
La Foi & la Raiſon. 573.
La Foi conſiderée par oppoſition à la Raiſon, ce que c’eſt. ibid. §. 2.
La Foi ne ſauroit nous convaincre de quoi que ce ſoit qui ſoit contraire à notre Raiſon. 576. §. 5, 6, 8.

Ce qui eſt Revelation divine eſt la ſeule choſe qui ſoit une matiére de Foi. 577. §. 6.
Les choſes au deſſus de la Raiſon ſont les ſeules qui appartiennent proprement à la Foi. 571. §. 7.
Formes : les formes ſubſtantielles ne diſtinguent pas l’Eſpèce. 364. §. 24.
Propoſitions frivoles. 503
Diſcours frivoles. 509. §. 9, 10, 11.


G.



General, Connoiſſance générale, ce que c’eſt. 462. §. 31.


On ne peut ſavoir ſi les Propoſitions générales ſont véritables qu’on ne connoiſſe l’eſſence de l’Eſpèce. 477. §. 4.
Comment ſe font les termes généraux. 329. §. 6, 7, 8.
La généralité appartient ſeulement aux ſignes. 332. §. 11.
Génération, ce que c’eſt. 255. §. 2.
Genre & Eſpèce, ce que c’eſt. 332. §. 12.
Ce ne ſont que des mots dérivez du Latin qui ſignifient ce que nous appellons vulgairement ſortes. 353. §. 1.
Le Genre n’eſt qu’une conception partiale de ce qui eſt dans les Eſpèces. 371. §. 32.
Le Genre & l’Eſpèce ſont des idées adaptées au but du Langage. 371. §. 33.
On n’a formé des Genres & des Eſpèces que pour avoir des noms généraux. 374. §. 39.
Gentilshommes, ne devroient pas être ignorans. 591. §. 6.
Glace & Eau, ſi ce ſont des Eſpèces diſtinctes. 360. §. 13.
Goût, ſes Modes. 171. §. 5.


H.



HAbitude, ce que c’eſt. 228. §. 10.
Les actions habituelles ſe font ſouvent en nous ſans que nous y prenions garde. 100. §. 10.

Haine, ce que c’eſt. 176.§. 5.
Hiſtoire, quelle hiſtoire a plus d’autorité. 552. §. 11.
Homme, il n’eſt pas la production d’un hazard aveugle. 513. §. 6.
L’Eſſence de l’homme eſt placée dans ſa figure. 471. §. 16.
Nous ne connoiſſons pas ſon eſſence réelle. 354. §. 3. 363. §. 22. 365. §. 26.
Les bornes de l’Eſpèce humaine ne l’ont pas déterminées 366. §. 27.
Ce qui fait le même Homme Individuel. 272. §. 21. 277. §. 29.
Le même homme peut être différentes perſonnes. 272. §. 21.
Honte ; ce que c’eſt. 178. §. 17.
Hypotheſes, leur uſage 538. §. 13.
Mauvaiſes conſequences des fauſſes Hypotheſes. 594. §. 11.
Les Hypotheſes doivent être fondées ſur des points de fait. 65. §. 10.


I.



IDée. Les Idées particuliéres ſont les prémiéres dans l’Eſprit. 491. §. 9.


Les Idées générales ſont imparfaites. ibid.
Idée, ce que c’eſt. 5. §. 8. 89. §. 8.
Origine des Idées dans les Enfans. 43. §. 2. 49. §. 13.
Nulle idée n’eſt innée. 52. §. 17. Parce qu’on n’en a aucun ſouvenir. 53. §. 20.
Toutes les idées viennent de la Senſation & de la Reflexion. 61. §. 2.
Moyen de les acquerir qui peut être obſervé dans les Enfans. 62. §. 6.
Pourquoi quelques-uns ont plus d’idées, & d’autres moins 63. §. 7.
Idées acquiſes par Reflexion viennent tard, & en certaines gens fort imparfaitement. 63. §. 8.
Comment elles commencent & augmentent dans les Enfans. 73. §. 21, 22, 23, 24.
Idées qui nous viennent par les Sens. 77. §. 1.
Elles manquent de noms. 78. §. 2.
Idées qui nous viennent par plus d’un Sens. 83.
Celles qui viennent par Reflexion. 83. §. 1. Par Senſation & par Reflexion. 84.
Idées doivent être diſtinguées entant qu’elles ſont dans l’Eſprit & dans les choſes. 89. §. 7.
Quelles ſont les prémiéres Idées qui ſe préſentent à l’Eſprit, cela eſt accidentel & il n’importe pas de le connoître. 99. §. 7.
Idées de Senſation ſouvent alterées par le Jugement. 99. §. 8. Particuliérement celles de la vûë. 100. §. 9.
Idées de Reflexion 114. §. 14.
Les hommes conviennent ſur les Idées ſimples. 132. §. 28.
Les idées ſe ſuccedent dans notre Eſprit dans un certain dégré de viteſſe. 136. §. 9.
Elles ont des dégrez qui manquent de noms. 171. §. 6.
Pourquoi quelques-unes ont des noms, & d’autres n’en ont pas. 172. §. 7.
Idées originales. 222. §. 73.
Toutes les Idées complexes peuvent être réduites à des Idées ſimples. 227. §. 9.
Quelles Idées ſimples ont été le plus modifiées. 228. §. 10.
Notre idée complexe de Dieu & des Eſprits commune en chaque choſe excepté l’Infinité. 247. § 36.
Idées claires & obſcures 288. §. 2. Diſtinctes & confuſes. 289. §. 4.

Des Idées peuvent être claires d’un côté & obſcures de l’autre. 293. §. 13.
Idées réelles & chimeriques. 296. §. 1.
Les Idées ſimples ſont toutes réelles. ibid. §. 2. Et completes 298. §. 2.
Quelles idées de Modes mixtes ſont chimeriques. 297. §. 4.
Quelles idées de Subſtances le ſont auſſi. 298. §. 5.
Des Idées completes § incompletes. 298. §. 1.
Comment on dit que les idées ſont dans les choſes. 298, §. 2.
Les Modes ſont tous des idées completes. 299. §. 3.
Hormis quand on les conſidére par rapport aux noms qu’on leur donne. 300. §. 4.
Les Idées des Subſtances ſont incompletes. 301. §. 6. I. Entant qu’elles ſe rapportent à des eſſences réelles. 303. §. 7. II. Entant qu’elles ſe rapportent à une collection d’Idées ſimples. 303. §. 8.
Les Idées ſimples ſont des copies parfaites. 305. §. 12.
Les Idées des Subſtances ſont des copies imparfaites. 306. §. 13.
Celles des Modes ſont de parfaits Archetypes, 306. §. 14.
Idées vrayes ou fauſſes. 306. §. 1. Quand elles ſont fauſſes. 313. §. 21, 22, 23, 24, 25.
Conſiderées comme de ſimples apparences dans l’Eſprit, elles ne ſont ni vrayes ni fauſſes. 307.§. 3. Conſiderées par rapport aux Idées des autres hommes, ou à une exiſtence réelle, ou à des Eſſences réelles, elles peuvent être vrayes ou fauſſes. 307. §. 4, 5.
Raiſon d’un tel rapport. 308. §. 6.
Les Idées ſimples rapportées aux Idées des autres hommes ſont le moins ſujettes à être fauſſes 309. §. 9. Les complexes ſont à cet égard plus ſujettes à être fauſſes, & ſur-tout celles des Modes Mixtes. 309. §. 10, 11.
Les Idées ſimples rapportées à l’exiſtence ſont toutes véritables. 310. §. 14.
Quand bien elles ſeroient différentes en différentes perſonnes. 311. §. 15.
Les Idées complexes des Modes ſont toutes véritables. 312. §. 17. Celles des Subſtances quand fauſſes. 312. §. 18.
Quand c’eſt que les Idées ſont juſtes ou fautives 315. §. 26.
Idées qui nous manquent abſolument. 455. §. 23. D’autres que nous ne pouvons acquérir à cauſe de leur éloignement. 456. §. 24. Ou à cauſe de leur petiteſſe. 457. §. 25.
Les Idées ſimples ont une conformité réelle avec les choſes. 464. §. 4. Et toutes les autres Idées excepté celles des Subſtances. ibid. §. 5.
Les Idées ſimples ne peuvent point s’acquerir par des mots & des définitions. 340 §. 12. Mais ſeulement par expérience. 342. §. 14.

Idées des Modes mixtes, pourquoi les plus complexes. 350. §. 13.
Idées ſpecifiques des Modes mixtes, comment formées au commencement : exemple dans les mots Kinneah & Niouph. 377. §. 44, 45. Celles des Subſtances comment formées, exemple pris du mot Zahab. 378. §. 46.
Les Idées ſimples & les Modes ont toutes des noms abſtraits auſſi bien que concrets. 384. §. 2.
Les Idées des Subſtances ont à peine aucuns noms concrets. ibid. Elles ſont différentes en différentes perſonnes 391. §. 13.
Nos Idées ſont preſque toutes relatives 180. §. 3. Comment de cauſes privatives on peut avoir des Idées poſitives 88. §. 4.
Identique : Les Propoſitions Identiques n’enſeignent rien 503. §. 2.
Identité n’eſt pas une Idée innée. 43. §. 3, 4, 5.
Identité & diverſité. 258.
En quoi conſiſte l’Identité d’une Plante. 260. §. 4.
Celle des Animaux 261. §. 5.
Celle d’un homme. 261. §. 6.
Unité de ſubſtance ne conſtituë pas toûjours la même idée. 262. §. 7. 266. §. 11.
Identité perſonnelle 264. §. 9. Elle dépend de la même Con-ſcience. 265. §. 10.
Une exiſtence continuée fait l’Identité. 277. §. 29.
Identité & diverſité dans les Idées, c’eſt la prémiére perception de l’Eſprit. 428. §. 4.
Ignorance : notre Ignorance ſurpaſſe infiniment notre Connoiſſance. 455. §. 22.
Cauſes de l’Ignorance. ibid. §. 22.
1. Manquer d’Idées. ibid. §. 23.
2. Ne pas découvrir la connexion qui eſt entre les Idées que nous avons. 459. §. 28.
3. Ne pas ſuivre les Idées que nous avons. 461. §. 30.
Imagination. 106. §. 8.
Imbecilles & Fous. 112. §. 12, 13.
Immenſité. 119. §. 4. Comment nous vient cette Idée. 159. §. 3.
Immoralitez de Nations entiéres. 29 §. 9, 10.
Immortalité : elle n’eſt pas attachée à aucune forme extérieure 469. §. 15.
Impénétrabilité. 79. §. 1.
Impoſition d’opinions déraiſonnable. 548, §. 4.
Il eſt Impossible qu’une même choſe ſoit & ne ſoit pas ; ce n’eſt pas la prémiére choſe connuë. 21 §. 25.
Impoſſibilité, ce n’eſt pas une idée innée. 43. §. 3.
Impreſſion ſur l’Eſprit, ce que c’eſt. 9. §. 5.
Incompatibilité, juſqu’où peut être connuë. 449. §. 15.
Idées incomplètes. 298. §. 1.
Individuationis Principium, ſon exiſtence. 259. §. 3.
Inſerer, ce que c’eſt. 556. §. 2.
Infini, pourquoi l’Idée de l’infini ne peut être appliquée à d’autres Idées auſſi bien qu’à celles de

la Quantité, puiſqu’elles peuvent être repétées auſſi ſouvent. 160. §. 6.
Il faut diſtinguer entre l’idée de l’Infinité de l’Eſpace ou du Nombre, & celle d’un Eſpace ou d’un Nombre infini. 161. §. 7.
Notre Idée de l’Infini eſt fort obſcure. 162. §. 8.
Le Nombre nous fournit les Idées les plus claires que nous puiſſions avoir de l’Infini. 163. §. 9.
Notre Idée de l’Infini eſt une Idée qui groſſit toûjours. 164. §. 12.
Elle eſt en partie poſitive, en partie comparative & en partie négative. 165. §. 15.
Pourquoi certaines gens croyent avoir une idée d’une Durée infinie, & non d’un Eſpace infini. 168. §. 20.
Pourquoi les Diſputes ſur l’Infini ſont ordinairement embarraſſées 169. §. 21. 293 §. 15.
Notre Idée de l’Infinité a ſon origine dans la Senſation & dans la Réflexion. 170. §. 22.
Nous n’avons point d’idée poſitive de l’infini. 164. §. 13. 294. §. 16.
Infinité, pourquoi plus communément attribuée à la Durée qu’à l’Expanſion. 144. §. 4.
Comment nous l’appliquons à Dieu. 158. §. 1.
Comment nous acquerons cette idée. ibid.
L’infinité du Nombre, de la Durée & de l’Eſpace conſiderée en différentes maniéres. 163. §. 10, 11.
Veritez Innées doivent être les prémiéres connuës. 22. §. 26.
Principes innez ſont inutiles ſi les hommes peuvent les ignorer ou les révoquer en doute. 32. §. 13.
Principes innez, que propoſe Mylord Herbert, examinez. 35. §. 15, &c.
Règles de Morale innées ſont inutiles, ſi elles peuvent être effacées ou altérées. 38. §. 20.
Propoſitions innées doivent être diſtinguées des autres par leur clarté & par leur utilité 55. §. 21.
La Doctrine des Principes innez eſt d’une dangereuſe conſéquence 58. §. 24.
Inquiétude détermine ſeule la volonté à une nouvelle action. 191. §. 29. 193. §. 31. 194. §. 33.
Pourquoi elle détermine la Volonté. 196. §. 36, 37.
Cauſes de cette Inquiétude. 209. §. 57, &c.
Inſtant, ce que c’eſt. 136. §. 10.
Intuitif : Connoiſſance intuitive. 432. §. 1.
N’admet aucun doute. 433. §. 4.
Conſtituë notre plus grande certitude. 569. §. 1.
Joye. 177. §. 7.
Jugement, en quoi il conſiſte principalement. 109. §. 2. 530. §. 16.
Faux Jugemens des hommes par rapport au bien & au mal 211. §. 60.
Jugement droit. 543. §. 4.
Une cauſe des faux Jugemens des hommes. 547. §. 3.
L.

LAngages, pourquoi ils changent. 226. §. 7. En quoi conſiſte le Langage. 312. §. 1, 2, 3.
Son uſage. 347. §. 7. Double uſage. 385. §. 1.
Ses Imperfections. 385. §. 1.
L’utilité du Langage detruite par la ſubtilité des Diſputes. 402. §. 10, 11.
En quoi conſiſte la fin du Langage. 409. §. 325. §. 2.
Il n’eſt pas aiſé de remedier à ſes défauts. 413. §. 2.
Il ſeroit néceſſaire de le faire pour philoſopher. ibid. §. 3, 4, 5, 6.
N’employer aucun mot ſans y attacher une idée claire & diſtincte eſt un des remedes aux imperfections du Langage. 416. §. 8, 9.
Se ſervir des mots dans leur uſage propre, autre remede 417. § 11.
Faire connoître le ſens que nous donnons à nos paroles, autre remede. 418. §. 12.
On peut faire connoître le ſens des mots à l’égard des Idées ſimples en montrant ces Idées. 418. §. 13. Dans les Modes mixtes en définiſſant les mots. 419. §. 15. Et dans les Subſtances en montrant les choſes & en définiſſant les noms qu’on leur donne 411. §. 19, 21.
Langage propre. 327. §. 8.
Langage intelligible. ibid.
Liberté, ce que c’eſt. 181. §. 8, 9, 10, 11, 12.
Elle n’appartient pas à la Volonté. 185. §. 14.
La Liberté n’eſt pas contrainte lorſqu’elle eſt déterminée par le reſultat de nos propres déliberations. 203. §. 47, 48, 49, 50.
Elle eſt fondée ſur un pouvoir de ſuſpendre nos deſirs particuliers. ibid. §. 47, 51, 52.
La Liberté n’appartient qu’aux Agents. 187. §. 19.
En quoi elle conſiſte. 191. §. 27.
Libre, juſqu’où un homme eſt libre. 188. §. 21.
L’Homme n’eſt pas libre de vouloir ou de ne pas vouloir. 189. §. 22, 23, 24.
Libre arbitre, la Liberté n’appartient pas à la Volonté. 185. §. 14.
En quoi conſiſte ce qu’on nomme Libre Arbitre. 203. §. 47.
Lieu 121. §. 7, 8.
Uſage du Lieu. 127. §. 9.
Ce n’eſt qu’une poſition relative. 122. §. 10.
On le prend quelquefois pour l’Eſpace que remplit un Corps. ibid.
Le Lieu pris en deux ſens 148, 149. §. 6, 7.
Logique a introduit l’obſcurité dans le Langage. 400. §. 6. Et a arrêté le progrès de la Connoiſſance. ibid. §. 7, &c.
Loi de la Nature généralement reconnue. 27. §. 6.
Il y a une telle Loi, quoi qu’elle ne ſoit pas innée 33. §. 13.

Ce qui la fait valoir. 280. §. 6.
Lumiére: Définition abſurde de la Lumière. 339. §. 10.
M.

MAl, ce que c’eſt. 200. §. 42.
Martin (Abbé de S.) 366. §. 26.
Mathématiques, quelle en eſt la Methode. 534. §. 7.
Comment elles ſe perfectionnent. 539. §. 15.
Matiére incomprehenſible dans ſa coheſion & dans ſa diviſibilité. 241. §. 23. &c.
Ce que c’eſt que la Matiére. 404. §. 15.
Si elle penſe, c’eſt ce qu’on ne ſait pas. 440. §. 6. Qu’on ne ſauroit prouver que Dieu ne puiſſe donner à la Matiére la faculté de penſer. 440. §. 6.
La Matiere ne ſauroit produire du mouvement, ni aucune autre choſe. 515. §. 10.
La Matiére & le Mouvement ne ſauroient produire la penſée. ib.
La Matiére n’eſt pas éternelle. 520. §. 18.
Maximes. 487. §. 1, &c.
Ne ſont pas ſeules évidentes par elles-mêmes. 488. §. 3.
Ce ne ſont pas les Véritez les prémiéres connuës. 491. §. 9.
Ni le fondement de notre Connoiſſance. 492. §. 10.
Comment formées. 531. §. 3.

En quoi conſiſte leur évidence 492. §. 10. 569. §. 14.
Pourquoi les plus générales Propoſitions évidentes par elles-mêmes paſſent pour des Maximes. 493. §. 11.
Elles ne ſervent ordinairement de preuve que dans les rencontres où l’on n’a aucun beſoin de preuve. 500. §. 15.
Les Maximes ſont de peu d’uſage lorſque les termes ſont clairs. 501. §. 16, 19. Et d’un uſage dangereux lorſque les termes ſont équivoques.

499. §. 12 — 20.
Quand les Maximes commencent d’être connuës. 11. §. 9, 12, 13. p. 13. §. 14. p. 14. §. 16.
Comment elles ſe font recevoir. 18. §. 21, 22.
Elles ſont faites ſur des Obſervations particulières. 18. §. 21.
Elles ne ſont pas dans l’Entendement avant que d’être actuellement connuës. 18. §. 21.
Ni les termes ni les idées qui les compoſent ne ſont innées. 19. §. 23.
Elles ſont moins connuës aux Enfans & aux gens ſans lettres. 22. §. 27.
Ce qui nous paroit meilleur n’eſt pas une Règle pour les actions de Dieu. 48. §. 12.
Mémoire. 103. §. 2.

L’Attention, la Repetition, le Plaiſir, & la Douleur mettent des Idées dans la mémoire. 104. §. 3.
Différence qu’il y a dans la durée des Idées gravées dans la Memoire. 104 §. 4, 5.
Dans le reſſouvenir l’Eſprit eſt quelquefois actif, & quelquefois paſſif. 106. §. 7.
Néceſſité de la Mémoire. 106. §. 8. ſes défauts, ib. §. 8, 9.
Mémoire dans les Bêtes. 107. §. 10.
Menagiana cité. 366. §. 26.
Metaphyſique & Théologie de l’Ecole, ſont pleines de Propoſitions qui n’inſtruiſent de rien. 509. §. 9.
Methode qu’on employe dans les Mathematiques. 534. §. 7.
Minutes, heures, jours, ne ſont pas néceſſaires à la durée. 142. §. 23.
Miracles, ſur quel fondement on donne ſon conſentement aux Miracles. 554. §. 13.
Miſere, ce que c’eſt. 200. §. 42.
Modes : Modes mixtes. 224. §. 1.
Ils ſont formez par l’Eſprit. 224. §. 2.
On en acquiert quelquefois les idées par l’explication de leurs noms. 225. §. 3.
D’où c’eſt qu’un Mode Mixte tire ſon unité. 225. §. 4.
Occaſion des Modes mixtes. 225. §. 5.
Modes mixtes, leurs idées comment acquiſes. 227. §. 9.
Modes ſimples & complexes. 117. §. 4. & 5.
Modes ſimples. 119. §. 1.
Modes du Mouvement. 170. §. 2.
Moral: ce que c’eſt que le Bien & le Mal Moral. 279. §. 5.
Trois Règles par où les hommes jugent de la Rectitude Morale. 280. §. 6.
Etres moraux comment fondez ſur des Idées ſimples de Senſation ou de Reflexion. 283. §. 14, 15.
Règles Morales ne ſont pas évidentes par elles-mêmes. 26. §. 4.
Diverſité d’opinions ſur les Règles de Morale, d’où vient. 27. §. 5, 6.
Règles Morales, ſi elles ſont innées, ne peuvent être violées avec l’approbation publique. 30. §. 11, 12, 13.
Morale : La Morale eſt capable de Démonſtration. 419. §. 16.
La Morale eſt la véritable étude des hommes. 536. §. 11.
Ce qu’il y a de moral dans les Actions conſiſte dans leur conformite à une certaine Règle. 284. §. 15.
Fautes qu’on commet dans la Morale doivent être rapportées aux mots. 285. §. 16.
Si les diſcours de Morale ne ſont pas clairs, c’eſt la faute de celui qui parle. 420. §. 17.

Ce qui empêche qu’on ne traite la Morale par des argumens démonſtratifs. 1. Le défaut de ſignes. 2. Leur trop grande compoſition. 452. §. 19. 3. L’Intérêt. 454. §. 20.
Dans la Morale le changement des noms ne change pas la nature des choſes. 466. §. 9, 11.
Il eſt bien difficile d’allier la Morale avec la néceſſité d’agir en Machine. 34. §. 14.
Malgré les faux Jugemens des hommes la Morale doit prévaloir. 218. §. 70.
Mots, le mauvais uſage des Mots eſt un grand obſtacle à la Connoiſſance. 461. §. 30.
Abus des mots 397.
Des Sectes introduiſent des mots ſans leur attacher aucune ſignification. 398. §. 2.
Les Ecoles ont fabriqué quantité de mots qui ne ſignifient rien. ibid. Et en ont obſcurci d’autres. 400. §. 6.
Qui ſont ſouvent employez ſans aucune ſignification. 398. §. 3.
Inconſtance dans l’uſage des mots eſt un abus des mots. 399. §. 5.
L’obſcurité, autre abus des mots. 400. §. 6.
Prendre les mots pour des choſes, autre abus. 403. §. 14.
Qui ſont les plus ſujets à cet abus des Mots. ib.
Cet abus des Mots eſt une cauſe de l’obſtination dans l’Erreur. 405. §. 16.
Faire ſignifier aux mots des Eſſences réelles que nous ne connoiſſons pas, eſt un abus des mots. ibid. §. 17. 18.
Suppoſer qu’ils ont une ſignification certaine & évidente, autre abus. 408. §. 22.
L’Uſage des Mots eſt, 1. de faire connoître nos Idées aux autres ; 2. promptement ; 3. & de donner par-là la connoiſſance des choſes. 409. §. 23.
Quand c’eſt que les Mots manquent à remplir ces trois fins. ibid. &c. Comment à l’égard des Subſtances. 411. §. 32. Comment à l’égard des Modes & des Relations. 411. §. 33.
L’abus des mots cauſe de grandes erreurs. 414. §. 4.
Comme l’Opiniâtreté. ibid. §. 5. Les Diſputes 415. §. 6.
Les Mots ſignifient autre choſe dans les Recherches, & autre choſe dans les Diſputes. 415. §. 7.
Le ſens des Mots eſt donné à connoître dans les Idées ſimples en montrant. 419. §. 14. Dans les Modes mixtes en définiſſant. ib. §5. 15. Et dans les Subſtances en montrant & en définiſſant. 421 §. 19, 21, 22.
Conſéquence dangereuſe d’apprendre prémiérement les mots & enſuite leur ſignification. 423. §. 24.
Il n’y a aucun ſujet de honte à demander aux hommes le ſens de leurs mots lorſqu’ils ſont douteux. 424. §. 25.

Il faut employer conſtamment les mots dans le même ſens. 426. §. 26.
Ou du moins les expliquer lorſque la diſpute ne les détermine pas. ib. §. 27.
Comment les mots ſont faits généraux. 323. §. 3.
Mots qui ſignifient des choſes qui ne tombent pas ſous les ſens, dérivez de noms d’idées ſenſibles. 323. §. 5.
Les Mots n’ont point de ſignification naturelle. 324 §. 1.
Mais par impoſition. 327. §. 8.
Ils ſignifient immédiatement les idées de celui qui parle. 324. §. 1, 2, 3. Cependant avec un double rapport, 1. aux Idées qui ſont dans l’Eſprit de celui qui écoute : 2. à la réalité des choſes. 326. §. 4, 5.
Les Mots ſont propres par l’accoûtumance à exciter des Idées. 426. §. 6.
On les employe ſouvent ſans ſignification. 327. §. 7.
La plûpart des mots ſont généraux. 328. §. 1.
Pourquoi certains Mots d’une Langue ne peuvent point être traduits en ceux d’une autre. 347. §. 8.
Pourquoi je me ſuis ſi fort étendu ſur les Mots. 352. §. 16.
Il faut être fort circonſpect à employer de nouveaux mots ou dans des ſignifications nouvelles. 380. §. 51.
Uſage civil des Mots. 385. §. 3. Uſage Philoſophique. ib. Sont fort différens. 392. §. 15.
Les Mots manquent leur but quand ils n’excitent pas dans l’Eſprit de celui qui écoute, la même idée que dans l’Eſprit de celui qui parle. 386. §. 4.
Quels mots ſont les plus douteux, & pourquoi. 386. §. 5. &c.
Les Mots ont été formez pour l’uſage de la vie commune. 278. §. 2.
Mots qu’on ne peut traduire. 226. §. 6.
Mouvement, lent ou fort prompt, pourquoi imperceptible. 135. §. 7.
Mouvement volontaire inexplicable. 522. §. 19.
Définitions abſurdes du Mouvement. 339. §. 8, 9.
N.


NEcessité. 184. §. 13.


Negatif. Termes negatifs. 323. §. 4.
Noms negatifs ſignifient l’abſence d’Idées poſitives. 88 §. 5.
M. Newton. 494. §. 11.
Noms donnez aux Idées. 111. §. 8.
Nom d’idées morales, établis par une Loi, ne doivent pas être changez. 509. §. 10.
Noms de Subſtances, ſignifians des Eſſences réelles ne ſont pas capables de porter la certitude dans l’Entendement. 478. §. 5.

Lorſqu’ils ſignifient des eſſences nominales ils peuvent faire quelques Propoſitions certaines, mais en fort petit nombre. 479 §. 6.
Pourquoi les hommes mettent les noms à la place des Eſſences réelles qu’ils ne connoiſſent pas. 406. §. 19.
Deux fauſſes ſuppoſitions dans cet uſage des noms. 407. §. 21.
Il eſt impoſſible d’avoir un nom particulier pour chaque choſe particulière. 328. §. 2. Et inutile. ib. §. 3.
Quand c’eſt qu’on employe des noms propres. 329. §. 4, 5.
Les noms ſpecifiques ſont attachez à l’Eſſence nominale. 335. §. 16.
Les noms des idées ſimples, des Modes, & des Subſtances ont tous quelque choſe de particulier. 337. §. 1.
Ceux des Idées ſimples & des Subſtances ſe rapportent aux choſes. ibid. §. 2.
Ceux des Idées ſimples & des Modes ſont employez pour déſigner l’eſſence réelle & la nominale. ibid. §. 3.
Noms d’idées ſimples ne peuvent être définis. 338. § 4 Pourquoi. ib. §. 7.
Ils ſont les moins douteux. 342. §. 15.
Ont très-peu de ſubordinations dans ce que les Logiciens appellent Linea pradicamentalis, 343. §. 16.
Les noms des Idées complexes peuvent être définis. § 12.
Les noms des Modes mixtes ſignifient des idées arbitraires. 344. §. 2, 3. 376 §. 44. Ils lient enſemble les parties de leurs Idées complexes. 349. §. 10. Ils ſignifient toûjours l’eſſence réelle. 351. §. 14. Pourquoi appris ordinairement avant que les Idées qu’ils ſignifient ſoient connuës. ib. §. 15.
Noms des Relations compris ſous ceux des Modes mixtes. 352. §. 16.
Les noms généraux des Subſtances ſignifient les ſortes 353. §. 1.
Neceſſaires pour deſigner les Eſpèces. 374. §. 39.
Les noms propres appartiennent uniquement aux Subſtances. 375. § 42.
Noms des Modes conſiderez dans leur prémiére application. 376. §. 44, 45.
Ceux des Subſtances conſiderez de même. 378. §. 46.
Les noms ſpecifiques ſignifient différentes choſes en différens hommes. 379. §. 48.
Ils ſont mis à la place de la choſe qu’on ſuppoſe avoir l’eſſence réelle de l’Eſpèce 379 § 49.
Noms des Modes mixtes ſouvent douteux à cauſe de la grande compoſition des Idées qu’ils ſignifient. 387. §. 6.
Parce qu’ils n’ont point de modelle dans la Nature. ib. §. 7. Parce qu’on apprend le ſon avant la ſignification. 389. §. 9.

Noms des Subſtances douteux, parce qu’ils ſe rapportent à des modelles qu’on ne peut connoître ou du moins que d’une manière imparfaite. 390. §. 11.
Il eſt difficile que ces noms ayent des ſignifications déterminées dans des recherches philoſophiques. 392. §. 15.
Exemple ſur le nom de liqueur. 393. §. 16.
Le nom d’or. 391. §. 13, & 393. §. 17.
Noms d’Idées ſimples pourquoi les moins douteux. 394. §. 18.
Les Idées les moins compoſées ont les noms les moins douteux. 395. §. 19.
Nombre. 154. §. 1.
Modes de Nombres ſont les Idées les plus diſtinctes. ib. §. 3.
Démonſtrations ſur les Nombres ſont les plus déterminées. ib. §. 4.
Le Nombre eſt une meſure générale. 157. §. 8.
Il nous fournit l’idée la plus claire de l’Infinité. ib, & 164. §. 13.
Notions. 224. §. 2.
O.



OBscurité inévitable dans les Anciens Auteurs. 389. §. 10.


Quelle eſt la cauſe de l’obſcurité qui ſe rencontre dans nos Idées. 288. §. 3.
Obſtinez, ceux qui ont le moins examiné les choſes ſont les plus obſtinez. 547. §. 3.
Opinion, ce que c’eſt. 544. §. 3. 598. §. 17.
Comment les Opinions deviennent des Principes. 39. §. 22, 23, 24, 25, 26.
Les Opinions des autres ſont un faux fondement d’aſſentiment. 546. §. 6.
On prend ſouvent des Opinions ſans de bonnes preuves. 547. §. 3.
L’Or eſt fixe, différentes ſignifications de cette Propoſition. 379. §. 50.
L’Eau paſſe à travers l’Or. 80. §. 4.
Organes. Nos Organes ſont proportionnez à notre état dans ce Monde. 235. §. 12, 13.
& Quand, ce que c’eſt. 149. §. 8.
P.


PArticules joignent enſemble les parties du diſcours ou les ſentences entiéres. 381. §. 1.


C’eſt des particules que dépend la beauté du Langage. ib. §. 2.
Comment on en peut connoître l’uſage. ibid. § 3.
Elles expriment certaines actions ou diſpoſitions de l’Eſprit. 382. §. 4.
Mr. Paſcal avoit une excellente mémoire. 107. §. 9.
Paſſion, 229 §. 11.

Comment les Paſſions nous entraînent dans l’Erreur. 595. §. 12.
Elles roulent ſur le Plaiſir & la Douleur. 175. §. 3
Rarement une Paſſion exiſte toute ſeule. 198. §. 39.
Péché, chez différentes perſonnes ſignifie des actions différentes. 37. §. 19.
Penſée. C’eſt une operation & non l’Eſſence de l’Ame. 64. §. 10. 174. §. 4.
Modes de penſer. 173. §. 1, 2. Maniere ordinaire dont les hommes penſent. 473. §. 4. La penſée ſans mémoire eſt inutile. 67. §. 15.
Perception de trois eſpèces. 181. §. 5.
Dans la Perception l’Eſprit eſt pour l’ordinaire paſſif. 97. §. 1.
C’eſt une impreſſion faite ſur l’Eſprit. ibid. §. 2, 3.
Dans le ventre de nos Mères. 98. §. 5.
Différence entre la perception & les Idées innées. ibid. §. 6.
La Perception met de la différence entre les Animaux & les Vegetaux. 101. §. 11.
Les différens dégrez de la Perception montrent la ſageſſe & la bonté de celui qui nous a faits. ibid. §. 12.
La Perception appartient à tous les Animaux. 102. §. 14.
C’eſt la prémiére entrée à la connoiſſance. ibid. §. 15.
Perroquet qui parleroit raiſonnablement, s’il paſſeroit dès-là pour homme, & s’il en porteroit le nom. 161. §. 8.
Perſonne, ce que c’eſt. 264. §. 9. Terme du barreau. 275 §. 26.
La même con-ſcience ſeule fait la même perſonalité. 267. §. 13. 273 §. 23.
La même Ame ſans la même con-ſcience ne fait pas la même perſonalité. 269 §. 15.
La Recompenſe & la Punition ſuivent l’identité perſonnelle. 271. §. 18.
Phyſique. La Phyſique n’eſt pas capable d’être une Science. 458. §. 16. 536. §. 10, Elle eſt pourtant fort utile. 537. §. 12. comment elle peut être perfectionnée. ibid. ce qui en a empêché les progrès. ibid.
Plaiſir & douleur. 175. §. 1. 178. §. 15, 16.
Se joignent à la plûpart de nos Idées 84 § 2.
Pourquoi ils ſont attachez à differentes actions. ibid §. 3.
Preuves. 433. § 3.
Principes pratiques ne ſont pas innez. 24. §. 1. ni reçus avec un conſentement univerſel. 25. §. 2. Ils tendent à l’action. ibid §. 3. Tout le monde ne convient pas ſur leur ſujet. 34. §. 14. Ils ſont différens. 39. §. 21.
Principes, ne doivent pas être reçus ſans un ſevére examen. 532. § 4. 593. §. 8.
Mauvaiſes conſequences des faux Principes ibid. §. 9, 10.
Nul Principe n’eſt inné. 7. §. 1. Ni reçu avec un conſentement univerſel. 8. §. 2. 3. &c.
Comment on acquiert ordinairement les Principes. 39. §. 22. &c.
Ils doivent être examinez. 41. §. 27.
Ils ne ſont pas innez, ſi les Idées dont ils ſont compoſez, ne ſont pas innées. 42. §. 1.
Termes privatifs. 323. §. 4.
Probabilité, ce que c’eſt. 543. §. 1, 3.
Les fondemens de la Probabilité. 545. §. 4.
Sur des matiéres de fait. 548. §. 6.
Comment nous devons juger dans des Probabilitez. 545. §. 5.
Difficultez dans les Probabilitez. 551. §. 9.
Fondemens de Probabilité dans la ſpeculation. 553. §. 12.
Fauſſes règles de Probabilité. 592. §. 7.
Comment des Eſprits prévenus évitent de ſe rendre à la Probabilité. 596 §. 13.
Propriétez des Eſſences ſpecifiques ne ſont pas connuës. 362. §. 19.
Les Propriétez des choſes ſont en fort grand nombre. 309 §. 10. 314. §. 24.
Propoſitions identiques, n’enſeignent rien. 504. §. 2.
Ni les génériques. 506. § 4, 510. §.13.
Les Propoſitions où une partie de la Définition eſt affirmée du ſujet, n’apprennent rien. 506. §. 5, 6. Sinon la ſignification de ce mot. 508. §. 7.
Les Propoſitions générales qui regardent les ſubſtances ſont en général ou frivoles ou incertaines. ibid. §. 9. Propoſitions purement verbales comment peuvent être connuës. 510. §. 12.
Termes abſtraits affirmez l’un de l’autre ne produiſent que des Propoſitions verbales. ibid. Comme auſſi lors qu’une partie d’une Idée complexe eſt affirmée du tout. 510. §. 13.
Il y a plus de Propoſitions purement verbales qu’on ne croit. ibid.
Les Propoſitions univerſelles n’appartiennent pas à l’exiſtence. 512. §.1.
Quelles Propoſitions appartiennent à l’exiſtence. ibid.
Certaines Propoſitions concernant l’exiſtence ſont particulières, & d’autres qui appartiennent à des Idées abſtraites, peuvent être générales. 529. §. 13.
Propoſitions mentales. 473. §. 3. & 5.
Verbales. ibid.
Il eſt difficile de traiter des Propoſitions mentales. 473. §. 3, 4
Puiſſance, comment nous venons à en acquerir l’idée. 179. §. 1.
Puiſſance active & paſſive. ibid. §. 2.
Nulle puiſſance paſſive en Dieu, nulle puiſſance active dans la Matiére ; active & paſſive dans les Eſprits. ibid.
Notre plus claire Idée de Puiſſance active nous vient par Reflexion. 180. §. 4.

Les Puiſſances n’operent pas ſur des Puiſſances. 187. §. 18.
Elles conſtituent une grande partie des idées des Subſtances. 233. §. 7.
Pourquoi. 234. §. 8.
Puiſſance eſt une idée qui vient par Senſation & pas Reflexion. 86. §. 8.
Punition, ce que c’eſt. 279. §. 5.
La Punition & la Recompenſe ſont attachées à la Con-ſcience. 271. §. 18. 275. §. 26.
Un homme yvre qui n’a aucun ſentiment de ce qu’il fait, pourquoi puni. 273. §. 22.


Q.



Qualité : ſecondes Qualitez, leur connexion ou leur incompatibilité inconnuë. 447. §. 11.

Qualitez des Subſtances peuvent à peine être connuës que par experience. 448. §. 14. 16.
Celles des Subſtances ſpirituelles moins que celles des Subſtances corporelles. 451. §. 17.
Les ſecondes Qualitez n’ont aucune liaiſon concevable entre les prémiéres Qualitez qui les produiſent. 447. §.11, 13 & 28.
Les Qualitez des Subſtances dépendent de cauſes éloignées. 482. §. 11. Elles ne peuvent être connuës par des Deſcriptions. 422. § 21.
Les ſecondes Qualitez juſqu’où capables de démonſtration. 436. §. 11, 12, 13. Ce que c’eſt. 89. § 8. 343. §. 16.
Comment on dit qu’elles ſont dans les Choſes. 298, §. 2.
Les ſecondes Qualitez ſeroient autres qu’elles ne paroiſſent ſi l’on pouvoit découvrir les petites parties des Corps. 235. §. 11.
Prémiéres Qualitez 89. §. 9. Comment elles produiſent des Idées en nous. 90. §. 12.
Secondes Qualitez. 90, 91. §. 13, 14, 15.
Les Prémiéres Qualitez reſſemblent à nos Idées, & non les ſecondes. 91. §. 15, 16. &c.
Trois ſortes de Qualitez dans les Corps 95. §. 23. & 97. §. 26.
Les ſecondes Qualitez ſont de ſimples puiſſances. 95 §. 23, 24, 25.
Elles n’ont aucune liaiſon viſible avec les prémiéres Qualitez. 96. §.2.5.


R.



Raison, différentes ſignifications de ce mot. 555. §. 1.


Ce que c’eſt que la Raiſon. 556. § 2.
Elle a quatre parties. 557. §. 3
Où c’eſt que la Raiſon nous manque. 567. §.9.
Elle eſt néceſſaire par-tout hormis dans l’intuition. 569. § 14.
Ce que c’eſt que ſelon la Raiſon, contraire à la

Raiſon, & au deſſus de la Raiſon. 572. §. 32
Conſiderée en oppoſition à la Foi, ce que c’eſt. 573. §. 2.
Elle doit avoir lieu dans les matiéres de Religion. 580. §.11.
Elle ne nous ſert de rien pour nous faire connoître des véritez innées. 11. §. 9.
L’acquiſition des Idées générales, des termes généraux, & la Raiſon croiſſent ordinairement enſemble. 14. §. 15
Recompenſe, ce que c’eſt. 279. §. 5.
Réel. idées réelles. 296.
Reflexion. 61. §. 4.
Relatif 250. §. 1.
Quelques termes Relatifs pris pour des dénominations externes. 251. §. 2. Quelques-uns pour des termes abſolus. 252. §. 3.
Comment on peut les connoître. 254. § 10.
Pluſieurs Mots quoi qu’abſolus en apparence ſont relatifs. 257. §. 6.
Relation 118. § 7. 250. § 1.
Relation proportionnelle. 277. §. 1.
Naturelle. ibid. §. 2.
D’inſtitution 278. §. 3. Morale. 279. §. 4.
Il y a quantité de Relations. 285. §. 17.
Elles ſe terminent à des Idées ſimples. ibid. §. 18.
Notre Idée de la Relation eſt claire. 286. 19.
Noms de Relation. douteux. ibid. §. 19.
Les Relations qui n’ont pas de termes correlatifs ne ſont pas ſi communément obſervées. 251. § 2.
La Relation eſt différente des choſes qui en ſont le ſujet. 252. §. 4.
Les Relations changent ſans qu’il arrive aucun changement dans le ſujet. ibid. §. 5.
La Relation eſt toûjours entre deux choſes. ibid. §. 6.
Toutes choſes ſont capables de Relation. 253 § 7.
L’Idée de la Relation ſouvent plus claire que celle des choſes qui en ſont le ſujet. ibid. §. 8.
Les Relations ſe terminent toutes à des Idées ſimples venuës par Senſation ou par Reflexion. 254. §. 9.
Religion. Tous les hommes ont du temps pour s’en informer. 590. § 3.
Les Préceptes de la Religion Naturelle ſont évidens 397. § 23.
Reminiſcence. 53. § 20. & 106 §. 7. Ce que c’eſt. 173 §. 1.
Reputation : elle a beaucoup de pouvoir dans la vie ordinaire 282. §. 12.
Revelation : fondement d’aſſentiment qu’on ne peut mettre en queſtion. 555. §. 14.
La Revelation Traditionale ne peut introduire dans l’Eſprit aucune nouvelle Idée. 574 § 3. Elle n’eſt pas ſi certaine que notre Raiſon ou nos Sens. 575 §. 4.
Dans des matiéres de raiſonnement nous n’avons

pas beſoin de Revelation. 576. §. 5.
La Revelation ne doit pas prévaloir ſur ce que nous connoiſſons clairement. 576. §. 5. 579. §. 10.
Elle doit prévaloir ſur les Probabilitez de la Raiſon. 578. §. 8, 9
Rhetorique, c’eſt l’Art de tromper les hommes. 412. §. 34.
Rien : c’eſt une demonſtration que Rien ne peut produire aucune choſe. 513. §. 3.
S.


SAble, blanc à l’œuil, pellucide dans un Microſcope. 235. §. 11.

Sagacité, ce que c’eſt. 556. §. 2.
Sang, comment il paroît dans un Microſcope. 235. §. 11.
Savoir ; mauvais état du Savoir dans ces derniers ſiécles 400. §. 7. &c.
Le Savoir des Ecoles conſiſte principalement dans l’abus des termes. 400. §. 8. &c.
Un tel Savoir eſt d’une dangereuſe conſéquence. 402. §. 12.
Sceptique, perſonne n’eſt aſſez ſceptique pour douter de ſa propre exiſtence. 512. §. 2.
Science : diviſion des Sciences par rapport aux choſes de la Nature, à nos Actions, & aux lignes dont nous nous ſervons pour nous entre-communiquer nos penſées. 600. §. 1. &c.
Il n’y a point de Science des Corps naturels. 459. §. 29.
Sens, pourquoi nous ne pouvons concevoir d’autres Qualitez que celles qui ſont les objets de nos Sens. 76. §. 3.
Les Sens apprennent à diſcerner les Objets par l’exercice. 422. §. 21.
Ils ne peuvent être affectez que par contact, 436. §. 11.
Des Sens plus vifs ne nous ſeroient pas avantageux. 236. §. 12.
Les Organes de nos Sens proportionnez à notre Etat. 235. §. 12.
Senſation 61. § 3. Peut être diſtinguée des autres perceptions. 437. §. 14.
Expliquée. 90. §. 12, 13, 14, 15, 16, &c.
Ce que c’eſt. 173. §. 1.
Connoiſſance ſenſible auſſi certaine qu’il le faut. 526. §. 8.
Ne va pas au delà de l’acte préſent. 527. §. 9.
Idées ſimples. 75 §. 1.
Ne ſont pas formées par l’Eſprit. ibid. §. 2.
Sont les materiaux de toutes nos Connoiſſances. 87. §. 10.
Sont toutes poſitives. ibid. §. 1.
Fort différentes de leurs Cauſes. ibid. §. 2, 3.
Solidité : 79. §. 1. Inſeparable du Corps ibid §. 1.
Par elle le Corps remplit l’Eſpace. ibid. §. 2. on en acquiert l’idée par l’attouchement. ibid.



Comment diſtinguée de l’Eſpace. 80. §. 3. Et de la dureté. ibid. §. 4.
Soi, ce qui le conſtituë. 270. §. 17. 271. §. 20. & 272 § 23, 24, 25.
Son, ſes Modes. 171. §. 3.
Stupidité. 106 §. 8.
Subſtance. 230. 5. 1.
Nous n’en avons aucune idée. 52. §. 18.
Elle ne peut guere être connuë. 447. §. 11. &c.
Notre certitude touchant les ſubſtances ne s’étend pas fort loin. 479. §. 7. 486 §. 15.
Dans les Subſtances nous devons rectifier la ſignification de leurs noms par les choſes plûtôt que par des définitions. 423. §. 24.
Leurs idées ſont ſingulieres ou collectives. 118. §. 6.
Nous n’avons point d’idée diſtincte de la Subſtance. 125 §. 18.19.
Nous n’avons aucune idée d’une pure Subſtance. 230. §. 2.
Quelles ſont nos Idées des differentes ſortes de Subſtances. 231. §. 3, 4, 6.
Ce qui eſt à obſerver dans nos Idées des Subſtances. 248 §. 37.
Idées collectives des Subſtances. 249. ſont des Idées ſinguliéres. ibid. §. 2.
Trois ſortes de Subſtances. 259. §. 2.
Les Idées des Subſtances ont un double rapport dans l’Eſprit. 301. §. 6.
Les propriétez des Subſtances ſont en fort grand nombre, & ne ſauroient être toutes connuës. 304. §. 9. 10.
La plus parfaite idée des Subſtances. 233. §. 7.
Trois ſortes d’Idées conſtituent notre Idée complexe des Subſtances. 234. § 9.
Subtilité, ce que c’eſt. 400. §. 8.
Succeſſion, Idée qui nous vient principalement par la ſuite de nos idées. 86. §. 9. 135. §. 6.
Et cette ſuite d’Idées en eſt la meſure. 137. §. 12.
Syllogiſme, n’eſt d’aucun ſecours pour raiſonner. 557. §. 4
Son uſage. ibid.
Inconveniens qu’il produit. ibid.
Il n’eſt d’aucun uſage dans les Probabilitez. 565. §. 5.
N’aide point à faire de nouvelles découvertes. ibid. § 6.
Ou à avancer nos Connoiſſances. 566. §. 7.
On peut faire des ſyllogiſmes ſur des choſes particuliéres. ibid §. 8.
T.


TEmoignage, Comment ſes forces viennent à s’affoiblir. 551. §. 10.

Temple (le Chevalier) conte qu’il fait d’un Perroquet. 262. §. 8.
Temps, ce que c’eſt. 138. §. 17.

Il n’eſt pas la meſure du Mouvement. 141. §. 22.
Le Temps & le Lieu ſont des portions diſtinctes de la Durée & de l’Expanſion infinies. 148. §. 5, 6.
Deux ſortes de temps. ibid. §. 6, 7.
Les dénominations priſes du temps ſont relatives. 256. §. 3.
Tolerance néceſſaire dans l’état où eſt notre Connoiſſance. 548. §. 4.
Le Tout eſt plus grand que ſes parties, uſage de cet Axiome. 498. §. 11.
Tout & Partie ne ſont pas des Idées innées. 44. §. 6.
Tradition, la plus ancienne eſt la moins croyable. 551. §. 10.
Tristesse, ce que c’eſt. 177. §. 8.


V.



VArieté dans les pourſuites des hommes, d’où vient. 207. §. 54.

Vérité, ce que c’eſt 472. §. 2. 5. 9. Vérité de penſée. 473. §. 3, 6. De paroles. ibid. §. 3. 6. Vérité verbale & réelle. 475. §. 8, 9. Morale & Metaphyſique. 476. §. 11. Générale rarement compriſe qu’entant qu’elle eſt exprimée par des paroles. 477. §. 2. En quoi elle conſiſte. 313. §. 19.
Vertu, ce que c’eſt réellement. 36. §. 18.
Ce que c’eſt dans l’application commune de ce mot. 281. §. 10, 11.



La Vertu eſt préferable au vice, ſuppoſé ſeulement une ſimple poſſibilité d’un État à venir. 218. §. 70.
Vice, il conſiſte dans de fauſſes meſures du Bien. 598. §. 16.
Viſible, le moins viſible. 152. §. 9.
Unité : idée qui vient par Senſation & par Reflexion. 86. §. 7.
Suggerée pour chaque choſe. 154. §. 1.
Univerſalité n’eſt que dans les ſignes. 332. §. 11.
Univerſaux, comment faits. 112. §. 9.
Volition, ce que c’eſt. 181 § 5. & 185. §. 15.
Mieux connuë par reflexion que par des mots. 192. §. 30.
Volontaire, ce que c’eſt. 181. §. 5. 183. §. 11. & 191. §. 28.
Volonté, Ce que c’eſt. 181. §. 5. 185. §. 15. 191. §. 29. ce qui détermine la Volonté. 191. §. 29.
Elle eſt ſouvent confonduë avec le Deſir. 192. §. 30.
Elle n’influë que ſur nos propres actions. ibid.
C’eſt à elles qu’elle ſe termine. 199. §. 40.
La Volonté eſt déterminée par la plus grande inquiétude préſente, & capable d’être éloignée. 199. §. 40.
La Volonté eſt la Puiſſance de vouloir. 83. §. 2.
Vuide : il eſt poſſible. 127. §. 21.
Le Mouvement prouve le Vuide. 128. §. 22.
Nous avons une idée de Vuide. 80. §. 3. & 81. §. 5.
FIN.