Discussion:Les Cousines de la colonelle

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Cunegonde1 dans le sujet Informations sur l’ouvrage

Informations sur l’édition de Les Cousines de la colonelle

Édition : Les cousines de la colonelle par Mme. la vicomtesse de Cœur-Brûlant


Source : Hathi Trust, Library of the university of Illinois at Urbana-Champaign.


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 20 avril 2020 à 16:54 (UTC)Répondre


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 20 avril 2020 à 16:54 (UTC)Répondre



Informations sur la présente édition modifier

  1. Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, p. 168, col. 290 : « Le Coffret du Bibliophile / - / Les / Cousines de la Colonelle / par / Mme la Vicomtesse de Cœur-Brûlant / - / (Lisbonne, chez Antonio da Boa Vista, 1880) | [fleuron] / Paris / Bibliothèque des Curieux / 4, rue de Furstenberg, 4 / Edition réservée aux souscripteurs.
    1 vol. in-16 jésus (9 x 15,2) de 1 f. blanc, 2 ff.n.ch. (faux-titre et titre), IV pages (introduction), 164 pages et 1 f. blanc.
    Titre imprimé en noir et rouge.
    Couverture rempliée, papier parcheminé, impr. noir et rouge, même libellé que la page de titre. Au dos de la couverture, prix et date: 6 francs. — 1911.
    Au verso du faux-titre : Il a été tiré de cet ouvrage strictement réservé aux souscripteurs 10 exemplaires sur Japon impérial (1 à 10); 500 exemplaires sur papier d’Arches (11 à 510).
    L'introduction, qui occupe les pages I-IV, est signée B. V., c’est-à-dire Bagneux de Villeneuve, pseudonyme d’un des principaux collaborateurs de la Bibliothèque des Curieux, le casanoviste Raoul Vèze, à qui peuvent être également imputés les Ouvrages et les préfaces signés Jean Hervez.
    Cette édition ne reproduit que le texte de 1880, c’est-à-dire celui de la première version de l'ouvrage, en un seul tome. »

Informations sur l’ouvrage modifier

  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 1, cols. 754-755 : « Cousines (les) de la Colonelle, roman galant naturaliste, par la vicomtesse de Cœur-Brûlant. Lisbonne, chez Antonio da Boa-Vista (Brux., Gay et Doucé), 1880-1885, 2 vol. in-12, avec un frontisp. de Rops (20 fr.). — Il a été fait 2 réimpressions à Amsterdam. La première, en 1886, sous la rubrique : Paris, en vente dans tous les magasins des petites Dames, 2 part, en 1 vol. in-12 de 166 pages (10 fr.) ; la seconde, 2 vol. pap. vergé, texte seul (15 fr.), ou avec 10 mauvaises grav. libres (25 fr. ). — Nouv. réimpr. fai te à Paris, sous la rubrique : Lisbonne, chez Antonio da Boa-Vista, 2 tom. de 172-440 pages, en 1 vol. in-18, tiré à 500 ex. sur pap.vergé (10 fr. ).
    On a fait pour les Cousines de la Colonelle une suite de 7 mauvaises gravures libres, dont l frontispice, qui s’intercalent dans les divers textes ci-dessus.
    Le premier volume de cet ouvrage fut publié par Jean Gay, alors qu’il était associé avec Mlle Doucé. — Cinq ans après, son associée fit imprimer le second volume pour son compte chez Lefebvre, imprimeur à Bruxelles, et pour des raisons privées dont nous n’avons pas à nous occuper ici, cette seconde partie de l’ouvrage fut soldée sans le concours de Mlle Doucé. »
  2. Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote 52.
  3. Voir Dictionnaire des œuvres érotiques, Mercure de France, 1971 p. 126 : « COUSINES DE LA COLONELLE (Les). Roman de la marquise de Mannoury d’Ectot, signé vicomtesse de Cœur-Brûlant. Publié en 1880. L’ouvrage fut d’abord attribué à Maupassant, sans que nulle vraisemblance de ton ou de style le justifie. Léon Deffoux, puis Patrick Walberg, semblent avoir identifié l’auteur véritable, que toutefois ils nomment Mme de Manoury. Cette orthographe est rectifiée en marquise de Mannoury d’Ectot dans des « notes complémentaires » à une réédition de l’ouvrage (Cercle du Livre précieux, collection « le Cabinet Rose et Noir » dirigée par Pascal Pia, 1960), qu’a préfacée Patrick Waldberg. La marquise de Mannoury d’Ectot accueillait poètes et artistes dans sa gentilhommière normande : notamment Verlaine, Charles Cros, etc. Son récit semble faire leur part à des influences d’imagination, quoiqu’il s’agisse d’un bon exemple d’érotisme douillet. Des ébats discrets, sur un arrière-plan de conventions jamais contestées. Un vieil homme fait sa jeune épouse demi-vierge. L’état de celle-ci est vérifié par une dame d’un certain âge. La cousine de la mariée se caresse, etc. Puis hommage sera rendu à quelques déviations, en somme banales, avant qu’on en vienne, parallèlement aux premiers récits, à l’initiation d’un coquebin par une dame adultère. Encore cet adultère n’est-il qu’une méprise. Après le dénouement, chacun connaîtra le bonheur promis par les morales. Auparavant, globes et roses, grottes et forteresses. Toute la métaphore, de la façon qu’on dit toute la lyre. Martial Beauvais.»

Documentation réunie par--Cunegonde1 (d) 20 avril 2020 à 17:07 (UTC)Répondre

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