Les poèmes de Leconte de Lisle sont présentés ci-dessous dans leur intégralité. La présentation est faite dans l'ordre globalement chronologique d'écriture : Premières poésies, Poèmes antiques, Poèmes barbares, Poèmes tragiques, Derniers poèmes. De nombreux poèmes ont donné lieu à plusieurs versions, variant par exemple sur la composition, l'orthographe, la typographie (usage des majuscules, accents, ponctuation, etc.) [1]. De même, certains poèmes ont changé de recueil. C’est pourquoi un choix doit être opéré : sont retenus ici comme ordre de présentation des poèmes de chaque recueil et comme version de chaque poème ceux des éditions les plus proches du décès du poète (1894) ; en outre, est appliquée systématiquement la règle wikisource d'accentuation des majuscules (À, Ô, etc.).
PREMIÈRES POÉSIES
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Source : Premières Poésies et Lettres intimes, Charpentier — E. Fasquelle, 1902
POÈMES ANTIQUES
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Source : Poèmes antiques, Lemerre, 1891 (?)
Poésies diverses :
Chansons écossaises :
POÈMES BARBARES
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Source : Poèmes barbares, Lemerre, 1889
POÈMES TRAGIQUES
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Source : Poèmes tragiques, Lemerre, 2ème éd., 1886
DERNIERS POÈMES
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Source : Derniers Poèmes, Lemerre, 1895 (première édition, posthume)
Scènes : I, p. 87 — II, p. 90 — III, p. 92 — IV, p. 95 — V, p. 101 — VI, p. 103 — VII, p. 105 — VIII, p. 109
Scènes : I, p. 113 — II, p. 120 — III, p. 122 — IV, p. 124 — V, p. 126 — VI, p. 131 — VII, p. 133
Scènes : I, p. 136 — II, p. 141 — III, p. 145 — IV, p. 146 — V, p. 148 — VI, p. 152 — VII, p. 154
Notes
modifier- ↑ Pour illustrer ces changements sur un seul exemple, voici les évolutions d’un poème (constatées sur les huit éditions où le poète l’a mis, entre 1852 et 1891). Il s'agit de Sûryâ, le poème qui se trouve ici en première position des Poèmes antiques :
- Place du poème : 28ème (1852) ; 1ère (1891)
- Titre : SOURYA (1852) ; ÇURYA (1858) ; Sûryâ (1891)
- Sous-titre : HYMNE VÊDIQUE (1852) ; Hymne védique (1891)
- Deuxième vers :
« Sourya ! Les grandes eaux lavent tes pieds mystiques. » (1852)
« Çurya ! Les grandes eaux lavent tes pieds mystiques. » (1858)
« Maître ! Les grandes Eaux lavent tes pieds mystiques. » (1891)