Utilisateur:Rafavannay/Brouillon
Test d'un prototype de modèle pour Les Œuvres de François Rabelais (Éditions Marty-Laveaux) : Page 59 (avec comme syntaxe : {{Utilisateur:Rafavannay/PageRabelais|2|59}}
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Le Tiers Livre (éd. Marty-Laveaux)
Œuvres
Titre et éditions | |
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1532 : | Pantagruel, édition Claude Nourry (Lyon) |
1533 : | Pantagruel, édition François Juste (Lyon) |
1533 : | Pantagrueline Prognostication, sans nom d’éditeur (Lyon) |
1534 : | Gargantua, édition François Juste (Lyon) |
1535 : | Gargantua, seconde édition François Juste (Lyon) |
1542 : | Pantagruel ; Gargantua et Pantagrueline Prognostication, édition François Juste (revue et corrigée) (Lyon) |
1546 : | Le Tiers Livre, édition Wechel (Paris) |
1548 : | Le Quart Livre, sans nom d'éditeur (Lyon) |
1549 : | La Sciomachie, édition Sébastien Gryph (Lyon) |
1552 : | Le Tiers Livre et Le Quart Livre, édition Fezandat (Paris) |
1562 : | L’Isle Sonnante[1] (Tours) |
1564 : | Le Cinquième Livre, édition posthume (Paris) |
Textes pararabelaisiens
Titre et éditions | |
---|---|
1875 : | Le Disciple de Pantagruel[2] (Édition Lacroix) |
1868 : | Les songes drolatiques de Pantagruel[3] |
Rééditions critiques modernes
Édition Lacroix
Titre et éditions | |
---|---|
1857 : | Pantagruel |
1857 : | Gargantua |
1857 : | Le Tiers Livre |
1857 : | Le Quart Livre |
1857 : | Le Cinquième Livre |
Œuvres de Rabelais présentées par Charles Marty-Laveaux accompagné d’une notice sur la vie de Rabelais, une étude bibliographique, variantes, un commentaire, une table des noms propres et un glossaire.
Titre et éditions | |
---|---|
1868 : | Pantagruel |
1868 : | Gargantua |
1870 : | Le Tiers Livre |
1870 : | Le Quart Livre |
1873 : | Le Cinquiesme Livre |
1873 : | Pantagrueline Prognostication |
Œuvres[4] de Rabelais retranscrites en français moderne par Henri Clouzot et annotées afin de faciliter le lecteur dans sa lecture.
Titre et éditions | |
---|---|
1913 : | Pantagruel |
1913 : | Gargantua |
1913 : | Le Tiers Livre |
1913 : | Le Quart Livre |
1913 : | Le Cinquième Livre |
Voir aussi
- Épitaphe de François Rabelais par Pierre de Ronsard
- Étude sur Rabelais par Flaubert
- Rabelais et ses éditeurs par Henri-Émile Chevalier
- Revue des Romans par Eusèbe G*****, analyse raisonnée des principaux romans (1839)
- Au Pays de Rabelais par Jacques Boulenger
- Un Commentaire allemand sur Rabelais par Albert Réville
- Rabelais par Anatole France
- RABELAIS (François) dans la Biographie universelle de Michaud
- Le Génie de Rabelais par Gustave Vallat
- ↑ Ne comporte que les seize premiers chapitres du futur Cinquième Livre
- ↑ Texte apocryphe
- ↑ Recueil d’illustrations attribuées à Rabelais
- ↑ Il est à noter que l’éditeur a fait le choix uniquement de passages de Rabelais et a passé sous silence les chapitres afin de garder l’édition courte et justifia ainsi son choix : « nous avons supprimé ceux qui paraissaient les moins intéressants pour les lecteurs, tels que la liste des jeux de Gargantua, le catalogue des livres de la bibliothèque Saint-Victor, la nomenclature des cuisiniers de la Truie ou des mets des Gastrolâtres, les pièces de vers et d’autres passages qui n’ajoutent rien à la gloire littéraire de Rabelais. »
Galen, Hali Abbas, autres autheurs consequens pareillement, l’ont composé en gestes, matation, reguard, touchement, contenence, grace, honesteté, netteté de face, vestemens, barbe, cheueulx, mains, bouche, voire iusques à particularizer les ongles, comme s’il deust iouer le rolle de quelque Amoureux ou Poursuyvant en quelque insigne comœdie, ou descendre en camp clos pour combatre quelque puissant ennemy. Defaict la practique de Medicine bien proprement est par Hippocrates comparée à vn combat, & farce[1] iouée à trois personnages : le malade, le medicin, la maladie. Laquelle composition lisant quelque fois m’est soubuenu d’vne parolle de Iulia[2] à Octauian Auguste son pere. Vn ieur elle s’estoit deuant luy presentee en habiz pompeux, dissoluz, & lascifz : & luy auoit grandement despleu, quoy qu’il n’en sonnast mot. Au lendemain elle changea de vestemens, & modestement se habilla comme lors estoit la coustume des chastes dames Romaines. Ainsi vestue se presenta deuant luy. Il qui le iour precedent n’auoit par parolles declaré le desplaisir qu’il auoit eu la voiant en habitz impudicques, ne peut celer le plaisir qu’il prenoit la voiant ainsi changée, & luy dist. O combien cestuy vestement plus est seant[* 1] & louable en la fille de Auguste. Elle eut son excuse prompte, & luy respondit. Huy me suis ie vestue pour les œilz de mon pere. Hier ie l’estois pour le gré de mon mary. Semblablement pourroit le medicin ainsi desguisé en face & habitz, mesmement reuestu de riche & plaisante robbe à quatre manches, comme iadis estoit l’estat, & estoit appellee Philonium, comme dict Petrus Alexandrinus in 6. Epid. respondre à ceulx qui trouueroient la prosopopée[* 2] estrange. Ainsi me suis ie acoustré, non pour me guorgiaser & pomper : mais pour le gré du malade, lequel ie visite : auquel seul ie veulx entierement complaire : en rien ne l’offenser ne fascher.
Plus y a. Sus vn passaige du pere Hippocrates on liure cy
- ↑ Comparée à vn combat, & farce. Hippocrate dit seulement (Des Épidémies, VI.) : « L’art se compose de trois termes : la maladie, le malade et le médecin. »
- ↑ M’eſt ſoubuenu d’vne parolle de Iulia. Voyez Macrobe, Saturnales, II, 5.
NE LA MORT, | [1]. NE LE VENIM |
---|
Marche pas……
|- !align="center" style="width:25px;letter-spacing:.2em;transform:rotate(-90deg)"|NE LA MORT,
!align="center" style="width:100px;"|!align="center" style="width:25px;letter-spacing:.2em;transform:rotate(90deg)"|[2]. NE LE VENIM |-
|}
Texte principal[4]
Ceci est une première référence
Qui doit être modifié par celle-là.
Exemple :
Ceci est un vers de fabliau standard[5]
- ↑ Venim. Ce mot est orthographié ainsi dans la marque de Fezandat que porte ce volume. Brunet, en la reproduisant, donne venin, qui peut se trouver sur certains ouvrages ; mais venim, seul indiqué dans le Dictionnaire françois-latin de 1539, est plus en rapport avec les dérivés venimeux, envenimer, comme aujourd’hui encore parfum avec parfumer.
- ↑ Venim. Ce mot est orthographié ainsi dans la marque de Fezandat que porte ce volume. Brunet, en la reproduisant, donne venin, qui peut se trouver sur certains ouvrages ; mais venim, seul indiqué dans le Dictionnaire françois-latin de 1539, est plus en rapport avec les dérivés venimeux, envenimer, comme aujourd’hui encore parfum avec parfumer.
- ↑ Venim. Ce mot est orthographié ainsi dans la marque de Fezandat que porte ce volume. Brunet, en la reproduisant, donne venin, qui peut se trouver sur certains ouvrages ; mais venim, seul indiqué dans le Dictionnaire françois-latin de 1539, est plus en rapport avec les dérivés venimeux, envenimer, comme aujourd’hui encore parfum avec parfumer.
- ↑ Ceci est une première référence
Qui doit être modifié par celle-là. - ↑ LV. — Du Mantel mautaillié, p. 1.
A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 353, fol. 42 ro à 44 ro.
B. — » » » 837, fol. 27 ro à 31 ro.
C. — » » » 1593, fol. 111 vo à 115 vo.
D. — Bibl. de Berne, Mss. 354, fol. 93 vo à 100 vo.
Nous empruntons les variantes du ms. de Berne à la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1720, Mouchet, 46).
Publié par M. F. Michel dans le vol. de F. Wolf, Ueber die Lais, 342-877, d’après B, avec les variantes de C et D, et traduit dans Legrand d’Aussy, éd. Renouard, I, 126-149.
Ce fabliau porte le titre de « Cort Mantel » dans A, C et D.
(289, 16. Le Mantel mautaillié a été publié à nouveau depuis notre édition par M. F. A. Wulff dans la Romania, t. XIV (1885), p. 343-380. M. Wulff a utilisé un nouveau ms. de la Bibliothèque nationale, nouv. acq. fr. 1104 (fol. 48 vo-54 vo), qu’il faut ajouter aux six mss. que nous avons cités.)
Ceci est
un joli poème
Un joli poème
dont il manque la suite
Ceci est
un joli poème
Un joli poème
dont il manque la suite
motcoupé
motcoupé
- ↑ motcoupé