Traité des aliments de carême/Erratum du tome II

Jean-Baptiste Coignard (Tome IIp. 423-424).



ADDITIONS ET CORRECTIONS
dans le second Tome.



Page 6. ligne 18. Creature de feu, lisez créature du feu. Pag. 28 l. 2. la sçavant, lisez, le sçavant. P. 45. ligne derniere, en leur ôtant leur violente souplesse, effacez violente, ou bien lisez, en leur faisant violence, & leur ôtant leur souplesse. P. 59 l. 12. allia, lisez alia. P. 61. l. 12. leur armée, lisez l’armée de ces Princes P. 92. ligne derniere, le, lisez les. P. 120. à la marge inferieure, ch. 28. lisez ch. 27 & ajoûtez, Si les cent soixante & seize personnes qui étoient dans ce vaisseau, demeurerent quatorze jours sans prendre aucune nourriture, quelle qu’elle fût, comme on le veut dans le Traité des Dispenses ; il est certain que la chose arriva miraculeusement ; mais il ne faut pas oublier de remarquer ici l’explication que les plus doctes Interpretes donnent à ce passage des Actes : Quartâ decimâ die hodie expectantes jejuni permanetis nihil accipientes. Sçavoir, que l’Ecriture prétend seulement faire entendre par-là, que ce grand nombre de personnes n’avoient pris que trés-peu de nourriture pendant ces quatorze jours, à cause de l’extrême crainte & de la grande occupation que leur avoit donné le peril où ils étoient. Voïez le Cardinal Cajetan, Estius, Menochius, Tirin, Cornelius à Lapide, Grotius, Emmanuel Sa, &c. Ainsi de quelque maniere que le Passage s’entende ; soit à la lettre, soit au sens des Interpretes que nous citons, il ne sçauroit servir à prouver qu’on puisse naturellement se passer de toute nourriture pendant quatorze jours & se bien porter encore aprés. Page 128. ligne 9. quelle qu’elle fût, mettez deux points aprés ce mot fût. Pag. 130. l. 4. en comptant par en bas, lorsqu’on a besoin, lisez qu’on a coûtume. P. 132. l. 6. j’affammai, lisez j’affamai. P. 188. l. 7. en comptant par en bas, intercosteaux, lisez intercostaux. P. 192. l. 12. dans le sang, lisez dans le sang mêlé de chyle. P. 200. ligne premiere, plus difficile, lisez plus difficile à. P. 210. l. 3. que de passer, lisez que de ne pas passer. P. 268. l. 6. dans se, lisez dans sa. P. 277. à la marge, effacez le neuviéme guillemet qui est au bout de la ligne 19. ibid. l. 19. celles, lisez celles-ci. P. 304. l. 7. en comptant par en bas, clastiques, lisez elastiques. P. 355. l. 8. en comptant par en bas. L’auteur du Traité des Dispenses ne croit point qu’en Carême il soit permis de boire de la bierre, même dans les repas. Cette expression nous paroît équivoque ; elle semble du moins laisser en doute si nous ne croïons point qu’en Carême on puisse boire de la bierre entre les repas, sans rompre le jeûne ; ce qui est trés-éloigné de nôtre pensée. Ainsi, nous prions les lecteurs de lire comme il suit.

L’auteur du Traité des Dispenses ne croit point que dans les repas de Carême il soit permis de boire de la bierre ; mais hors les jours de jeûne il en recommande l’usage.

Page 348. ligne 10. sur laquelle on verse de l’eau, lisez sur laquelle on verse de l’eau boüillante. Pag. 368. lign. 10. en comptant par en bas, les branches des poumons, lisez les bronches.


Fin de l’Errata de ce second Tome.