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<section begin="s1"/>ses aventures avec les jeunes filles et les paysans ; Levine, en paix avec son hôte, se sentit délivré de ses mauvais sentiments envers lui. |
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Vers dix heures du matin, après avoir fait sa ronde à la ferme, Levine frappait à la porte de Vassinka. |
{{sc|Vers}} dix heures du matin, après avoir fait sa ronde à la ferme, Levine frappait à la porte de Vassinka. |
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« Entrez, dit celui-ci, excusez-moi, mais je termine mes ablutions. |
« Entrez, dit celui-ci, excusez-moi, mais je termine mes ablutions. |
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— Comme un mort. |
— Comme un mort. |
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— Que prenez-vous le |
— Que prenez-vous le matin, du café ou du thé ? |
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— Ni l’un ni l’autre, je déjeune à l’anglaise. Je suis honteux d’être ainsi en retard ! Ces dames sont sans doute levées ? Ne serait-ce pas le moment de faire une promenade ? vous me montrerez vos chevaux ? » |
— Ni l’un ni l’autre, je déjeune à l’anglaise. Je suis honteux d’être ainsi en retard ! Ces dames sont sans doute levées ? Ne serait-ce pas le moment de faire une promenade ? vous me montrerez vos chevaux ? » |
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« Il faut bien qu’il dise un mot à la maîtresse de la maison », pensa Levine, déjà ennuyé de l’air conquérant du jeune homme. |
« Il faut bien qu’il dise un mot à la maîtresse de la maison », pensa Levine, déjà ennuyé de l’air conquérant du jeune homme. |
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La princesse causait avec la sage-femme et Serge<section end=s2 |
La princesse causait avec la sage-femme et Serge<section end="s2"/> |