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{{épigraphe|« Ô monde, comment ne t’ouvres-tu pas, pour précipiter dans les plus grands trous de tes abîmes et gouffres et ne plus montrer à la lumière, un monstre si cruel et si impitoyable ? » ([[Page:Textes choisis (Leonardo da Vinci, transl. Péladan, 1907).djvu/68|p. 54]], sur les humains)}}
{{épigraphe|« L’acquisition de quelque connaissance est toujours utile à l’intellect parce qu’on peut rejeter l’inutile et conserver le bon. » ([[Page:Textes choisis (Leonardo da Vinci, transl. Péladan, 1907).djvu/73|p. 59]])}}
{{épigraphe|« O nature négligeante, pourquoi te fais-tu partiale, n’agissant pas envers tes fils en pitoyable et bonne mère, mais en très cruelle et implacable marâtre ? Je vois tes fils livrés au service d’autrui, sans bénéfice pour eux, et au lieu de rémunération pour les services rendus, ils en sont payés par un grand martyre ; et leur vie s’écoule au bénéfice de leur tortionnaire (''bêtes de somme''). (''C. A.'' 143, ''r''.) » ([[Page:Textes choisis (Leonardo da Vinci, transl. Péladan, 1907).djvu/84|p. 70]])}}
* {{L2S|Exercices spirituels|Exercices spirituels d'Ignace de Loyola, traduction Vatier, 1673.pdf}} d’[[Auteur:Ignace de Loyola|Ignace de Loyola]]
* [[Auteur:Giorgio Vasari|Vasari]] : [[Vies des peintres, sculpteurs et architectes]] (correction ou validation de nombreuses biographies, en particulier dans les deux premiers tomes)