« Ce farceur de Pamphile » : différence entre les versions

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{{Titre|Ce farceur de Pamphile|[[Auteur:Armand Silvestre|Armand Silvestre]]|(Histoires belles et honnestes)<br/><br />1883}}
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<div style="text-align:center;">I</div>
 
- Je vous préviens que c’est mon camarade Riflandouille, du 3e dragons, qui m’a conté cette histoire, et Riflandouille ne causait pas précisément pour les demoiselles, dit le commandant Laripète.
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Le capitaine rejoignit son régiment sur l’heure, la mort dans l’âme, car il était fort amoureux de Mlle Céleste. M. Boniface et sa sœur, sans compter leur commune nièce, furent traités par l’hydrothérapie et, comme on leur flanquait des douches, chaque fois qu’ils revenaient sur cette aventure pour l’expliquer, ils prirent le parti de n’en plus parler. Ainsi l’impunité fut assurée à ce gredin de Pamphile, ce dont s’applaudissait cyniquement cet animal de Riflandouille, dont l’âme était dénuée de toute délicatesse. - Pamphile est aujourd’hui colonel, et je lui dois le respect, conclut mélancoliquement le bon commandant Laripète.
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