« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1902.djvu/74 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> C’est en Bretagne, comme on pouvait s’y attendre, que l’agitation à laquelle M. Gabriel Monod faisait allusion, atteignit son paroxisme. Là, les fer... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
C’est en Bretagne, comme on pouvait s’y attendre, |
C’est en Bretagne, comme on pouvait s’y attendre, |
||
que l’agitation à laquelle M. Gabriel Monod |
que l’agitation à laquelle M. Gabriel Monod |
||
faisait allusion, atteignit son paroxisme. Là, les |
faisait allusion, atteignit son {{corr|paroxisme|paroxysme}}. Là, les |
||
fermetures d’écoles revêtirent un caractère dramatique. |
fermetures d’écoles revêtirent un caractère dramatique. |
||
Des paysans, armés de fourches et de faux, |
Des paysans, armés de fourches et de faux, |
||
montèrent pendant des jours et des nuits, une |
montèrent pendant des jours et des nuits, une |
||
garde vigilante autour des étabissements menacés ; |
garde vigilante autour des {{corr|étabissements|établissements}} menacés ; |
||
des villages entiers entrèrent en révolte contre |
des villages entiers entrèrent en révolte contre |
||
l’autorité et c’est merveille qu’il n’y ait pas eu |
l’autorité et c’est merveille qu’il n’y ait pas eu |