« Page:Revue des Deux Mondes - 1878 - tome 27.djvu/384 » : différence entre les versions
Pywikibot touch edit |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 4 : | Ligne 4 : | ||
::Principibus placuisse viris non ultima laus est, |
::Principibus placuisse viris non ultima laus est, |
||
de ce monde enfin dans la familiarité, dans l’adoration duquel il veut mourir. N’en garde-t-il pas jusqu’à son dernier jour les plus étroits préjugés ? « Monseigneur, écrit-il un jour au chancelier Maupeou, je commence par vous demander pardon de ce que je vais avoir l’honneur de vous écrire. Vous avez méprisé avec tous les honnêtes gens du royaume plus d’un libelle écrit par la canaille et pour la canaille… Cependant il y a des calomnies… et quand on en |
de ce monde enfin dans la familiarité, dans l’adoration duquel il veut mourir. N’en garde-t-il pas jusqu’à son dernier jour les plus étroits préjugés ? « Monseigneur, écrit-il un jour au chancelier Maupeou, je commence par vous demander pardon de ce que je vais avoir l’honneur de vous écrire. Vous avez méprisé avec tous les honnêtes gens du royaume plus d’un libelle écrit par la canaille et pour la canaille… Cependant il y a des calomnies… et quand on en |