« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 6.djvu/504 » : différence entre les versions
Pywikibot touch edit |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Manchette|D}} |
|||
498 |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<section begin="825"/>{{nld|1680|border-top:1px solid black;}} |
|||
1680 |
|||
⚫ | maîtresses. Mais cela est plaisant, ma bonne, de vous dire des nouvelles ; je cause avec vous sur celles que je reçois, n’en ayant point d’ici à vous mander<ref>46. « Cela est plaisant, ma fille, de vous dire des nouvelles ; mais je cause sur celles que je reçois, n’en ayant point ici. » (''Édition de'' 1737.) — « Cela est plaisant, ma fille, de vous dire des nouvelles ; mais n’en ayant point ici, je cause sur celles que je reçois. » (''Édition de'' 1754.)</ref>. En voici pourtant d’assez considérables : {{Mme}} de Tarente arrive ; M.{{lié}}et {{Mme}} de Chaulnes seront dans huit jours à Rennes. M.{{lié}}de Chaulnes a ordonné qu’on raccommodât le chemin d’ici à Vitré ; de sorte qu’il y a tous les jours cent et deux cents hommes, et le sénéchal à la tête<ref>47. « À leur tête. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)</ref>, soutenu des avis de nos cochers, pour nous faire ''un chemin comme dans cette chambre''<ref>48. Voyez la lettre du 31 mai précédent, p. 428.</ref>. |
||
⚫ | Il entra hier ici<ref>49. Le texte de Rouen (1726) ajoute : « dans ma chamhre. »</ref> un garçon de Vitré, c’est-à-dire qui en venoit ; je le reconnus d’abord pour avoir été laquais de M.{{lié}}de Coulanges. M.{{lié}}de Grignan l’a vu à Aix<ref>50. Cette petite phrase a été omise dans l’édition de 1737.</ref>. Il me montra un papier imprimé de tout ce qu’il sait faire du feu ; il a le secret de cet homme dont vous avez entendu parler à Paris : entre mille choses qui sont toutes miraculeuses, et que je ne comprends pas que l’on souffre à cause des conséquences, je ne m’arrêtai<ref>51. Dans les deux éditions de la Haye et de Rouen (1726) : « je ne m’arrête. »</ref> qu’à une petite, qui est bientôt faite : c’est<ref>52. « Ce fut. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)</ref> de lui voir couler dans la bouche dix ou douze gouttes de ma cire d’Espagne tout allumée, et dans sa main ; et de n’en être non plus ému que si c’eût été de l’eau<ref name=p498>53. « Sans en être non plus ému que si c’étoit de l’eau. » (Édition</ref> ; sans mine,<section end="825"/> |
||
] |
|||
] |
|||
⚫ | |||
⚫ | Il entra hier |
||
47. n. A leur tête. »(Éditions de 1737 et de 17S4.) |
|||
48. Voyez la lettre du 3i mai précédent, p. 428. |
|||
49. Le texte de Rouen (1726) ajoute œ dans ma chamhre. » 50. Cette petite phrase a été omise dans l’édition de 1737. 51. Dans les deux éditions de la Haye et de Rouen (1726): q je ne m’arrête. » |
|||
Sa. s Ce fut. » (Éditions de 1787 et de 1754.) |
|||
53. s* Sans en être non plus ému que si c’étoit de l’eau. » (Édition |