« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 6.djvu/500 » : différence entre les versions
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{{poem|texte=Avec impatience attend leur hyménée, |taille=90|lh=150}} |
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{{poem|texte=Sèche tes pleurs, Chimène, et reçois sans tristesse|taille=90|lh=150}} |
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⚫ | {{poem|texte=Ce généreux vainqueur des mains de ta princesse ? |taille=90|lh=150}}</ref> ? C’est justement tout comme. Elle se plaît à faire des actions extraordinaires, et réjouira la noce ; je ne voudrois pas jurer qu’elle n’allât<ref>20. « Elle se plaît à faire des choses extraordinaires, et (''et'' manque dans le texte de 1737) je ne voudrois pas jurer qu’au lieu de se trouver à la noce, elle n’allât, etc. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)</ref> à Malicorne consoler la douleur de Mme de Lavardin. Il n’y a rien qui mérite plus de réflexion que l’état de cette mère, dont la tête est marquée entre les bonnes : voyez par quels sentiments la Providence vient troubler son bonheur<ref>21. « Veut troubler son bonheur. » (''Ibidem''.) — Notre manuscrit s’arrête ici pour reprendre, vers la fin de l’alinéa suivant, à : « Guitaut m’écrit, etc. »</ref>. Je vous remercie de lui avoir écrit<ref>22. Cette petite phrase n’est pas dans le texte de I737, qui continue ainsi : « Mais où est donc Montgobert ? »</ref>. Où est donc Montgobert ? Elle vous laisse écrire une grande lettre, où vous ne me dites pas un mot de votre santé, et vous savez ce que c’est pour moi que cet article. |
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{{poem|texte=Ce généreux vainqueur des mains de ta princesse ? |taille=90|lh=150}} |
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20 « Elle se plaît à faire des choses extraordinaires, et (''et'' manque dans le texte de 1737) je ne voudrois pas jurer qu’au lieu de se trouver à la noce, elle n’allât, etc. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.) |
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21. « Veut troubler son bonheur. » (''Ibidem''.) — Notre manuscrit s’arrête ici pour reprendre, vers la fin de l’alinéa suivant, à : « Guitaut m’écrit, etc. » |
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22. Cette petite phrase n’est pas dans le texte de I737, qui continue ainsi : « Mais où est donc Montgobert ? » |
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23. La fin de la phrase, à partir des mots : « j’y pense, etc., » est donnée pour la première fois dans le texte de 1754. |
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24. Voyez tome {{rom-maj|IV|}}, p 299, et ci-dessus, p. 155, note 9. |
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⚫ | Nous en faisons toujours un de Mme de Vins : c’est une aimable créature<ref>23. La fin de la phrase, à partir des mots : « j’y pense, etc., » est donnée pour la première fois dans le texte de 1754.</ref>, j’y pense souvent, elle me témoigne bien de l’amitié, et me parle de vous avec une véritable tendresse. Elle n’est vraiment point un fagot d épines<ref>24. Voyez tome {{rom-maj|IV|}}, p 299, et ci-dessus, p. 155, note 9.</ref> : elle est fort bonne à ses amis<ref>25. « À ses amies. » (''Édition de'' 1754.)</ref>, et fort sensible<section end="825"/> |
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25. « À ses amies. » (''Édition de'' 1754.) |