« Page:Erckmann-Chatrian - Contes et romans populaires, 1867.djvu/21 » : différence entre les versions
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La mère Windling ne dédaignait pas le wolxheim ; elle but à la santé du docteur Mathéus, comme un véritable hussard, puis elle le débarrassa sans façon de sa grande capote et la suspendit, avec son large feutre, à l’un des clous de la muraille. |
La mère Windling ne dédaignait pas le wolxheim ; elle but à la santé du docteur Mathéus, comme un véritable hussard, puis elle le débarrassa sans façon de sa grande capote et la suspendit, avec son large feutre, à l’un des clous de la muraille. |
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— Madame, répondit Mathéus, je vous assure que je n’ai pas de préférence. |
— Madame, répondit Mathéus, je vous assure que je n’ai pas de préférence. |
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— Non ! non ! ce n’est pas ça, vous devez avoir du goût pour quelque chose. » |
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Coucou Peter lui fit signe des yeux, comme pour la prévenir qu’il connaissait le plat favori du docteur. |
Coucou Peter lui fit signe des yeux, comme pour la prévenir qu’il connaissait le plat favori du docteur. |