« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1903.djvu/202 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|Col|bert}}, remplaça Errard par La Teulière donnant ainsi une entorse au règlement car La Teulière n’était pas peintre : c’était plutôt un critique d... » |
Aucun résumé des modifications |
||
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 6 : | Ligne 6 : | ||
vénération des règles antiques jusqu’à réprimer |
vénération des règles antiques jusqu’à réprimer |
||
toute pensée novatrice, fut-elle excellente — et il |
toute pensée novatrice, fut-elle excellente — et il |
||
encourageait par là une fâcheuse routine. |
encourageait par là une fâcheuse routine. À la |
||
surintendance de Louvois succédèrent celles du |
surintendance de Louvois succédèrent celles du |
||
marquis de Villacerf ( |
marquis de Villacerf (1691-1699) et de Mansart |
||
( |
(1699-1708) ; les difficultés financières commençaient |
||
et l’élan artistique à peine donné tendait |
et l’élan artistique à peine donné tendait |
||
déjà à se ralentir. Houasse qui remplaça La Teulière |
déjà à se ralentir. Houasse qui remplaça La Teulière |
||