« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1903.djvu/145 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « régime de la propriété était on ne peut plus compliqué ; on distinguait les possessions du gouvernement turc affermées à des Arabes qui les exploitaient plus ou... » |
Aucun résumé des modifications |
||
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
inoccupés que par l’expropriation des terres indigènes |
inoccupés que par l’expropriation des terres indigènes |
||
abandonnées ou appartenant à des rebelles. |
abandonnées ou appartenant à des rebelles. |
||
{{interligne}} |
|||
Discours et incidents. |
{{Souligner|{{g|''Discours et incidents''.|2}}}} |
||
M. Loubet pendant son voyage ne s’est point |
M. Loubet pendant son voyage ne s’est point |
||
| Ligne 16 : | Ligne 17 : | ||
passe sans stopper se console en songeant |
passe sans stopper se console en songeant |
||
qu’une prochaine occasion lui permettra d’acclamer |
qu’une prochaine occasion lui permettra d’acclamer |
||
le chef de |
le chef de l’État. Les populations algériennes |
||
ne sauraient se flatter du même avantage ; pour |
ne sauraient se flatter du même avantage ; pour |
||
elles, l’occasion perdue sera longue à retrouver. Il |
elles, l’occasion perdue sera longue à retrouver. Il |
||