« Page:Stendhal - De l’amour, II, 1927, éd. Martineau.djvu/161 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « 160 DE L’AMOUR Je répondais « Il n’y a que l’imagination « qui échappe pour toujours à la satiété. « Chaque femme inspire un intérêt différent, et bi... » |
Aucun résumé des modifications |
||
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
160 |
160 |
||
DE L’AMOUR |
DE L’AMOUR |
||
Je répondais « Il n’y a que l’imagination |
Je répondais : « Il n’y a que l’imagination |
||
« qui échappe pour toujours à la satiété. |
« qui échappe pour toujours à la satiété. |
||
« Chaque femme inspire un intérêt différent, |
« Chaque femme inspire un intérêt différent, |
||
| Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
« tue toutes les autres jouissances de la |
« tue toutes les autres jouissances de la |
||
« vie ; celle de Werther les centuple ». |
« vie ; celle de Werther les centuple ». |
||
Ce triste drame arrive au dénouement. |
Ce triste drame arrive au dénouement. |
||
On voit le don Juan vieillissant s’en prendre |
On voit le don Juan vieillissant s’en prendre |
||