« L’Illustre Piégelé » : différence entre les versions

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{{Personnage|Piégelé|c}}
« Ah ! ah ! Voici ma fidèle armée… «» euh… « ma fidèle armée… »
 
{{di|(Il va au souffleur.)}} Courgougnioux !
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flairant la minute — prochaine — qui allait me voir couché, les quatre fers en l’air, dans les poussières du chemin.
 
Et le fait est qu’elle semblait le faire exprès, la pédale, tant était manifeste son obstination à se dérober à ma semelle pour tourbillonner ensuite dans le vide, avec la rotation précipitée d’une bobine qui se déroule. Mais, aveuglé par la passion, Tristan Bernard ne voulait rien entendre. Il apportait dans les débats une e partialité révoltante, disant que j’étais dans mon tort, que je me servais de mes pieds comme un cochon de sa queue, et que tout cela, ça venait de ce que j’avais la vesse.
 
La vesse…
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— Très bien ! Vous y êtes ! fit l’invisible Tristan Bernard.
 
Puis, comme il répétait encore une fois : « Je vous tiens ! "» ajoutant : « Vous ne tomberez pas ; c’est impossible ! »
 
— Oui, déclarai-je avec humilité bien feinte du monsieur qui a craint de mourir et qui sent se développer en soi d’héroïques témérités à mesure que son cœur se rouvre à l’espérance, je crois que ça ira tout de même.
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====I.====
 
{{di|Marthe Passoire à O. Courbouillou,

député de Sarthe-et-Loiret.}}
 
{{di|Paris, 10 mars.}}