« L’Illustre Piégelé » : différence entre les versions
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[[File :Courteline piegele.jpg|thumb]]
{{Centré|MONSIEUR LE DUC.
ROLAND.
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{{di|(Il va au souffleur.)}} Courgougnioux !
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Ma fidèle armée… ma fidèle armée… » Ah ! voilà.
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« Voici mes vieux compagnons d’Arles ; salut aux nez creux. »
{{PersonnageD|Le souffleur|c|rectifiant.}}
« mes preux ! »
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Quoi ?
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Ô mes preux ! »
Ligne 310 :
« Aux lépreux », c’est vrai. « Salut aux lépreux !.. » Euh… euh… euh…
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Je suis le fameux paladin ! »
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« Je suis le fameux Paul Adam ! »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Paladin ! »
Ligne 322 :
« Péladan » pardon ! « Je suis le fameux Péladan ! »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Autour de mon nom brille une légende illustre. »
Ligne 328 :
« Auteur de mon nombril, légende illustrée. »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Par cents fait. »
Ligne 340 :
{{di|(Tumulte dans la salle.)|d|3}}
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Hé bien, mes preux. »
Ligne 349 :
Assez à la porte !
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Aussi vrai que je suis Roland ! »
Ligne 355 :
« Aussi vrai que je suis Laurent… Durand, je veux dire … non pas, Durand… chose ! »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Aussi vrai que je suis neveu de Charlemagne. »
Ligne 361 :
« Aussi vrai que je suis le vieux Charlemagne. »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Je suis content. »
Ligne 367 :
« Je suis Gontran. »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« Et fier. »
Ligne 373 :
« Et Pierre. »
{{Personnage|Le souffleur|c}}
« A voir tant de vaillances… »
Ligne 386 :
{{di|(Très affirmatif.)}} Je suis Gontran, je suis Gontran, vous dis-je, et je suis également Laurent, et même l’Empereur Charlemagne ! Honte et mépris à la cabale ! C’est une indignité de s’opposer ainsi à l’éclosion des talents jeunes !
{{Personnage|Le public|c}}
Au rideau ! Des excuses ! On insulte les spectateurs !
{{PersonnageD|Le souffleur|c|qui tient bon}}
« Sus aux Sarrazins ! »
Ligne 395 :
« Suce un Sarrazin ! »
{{Personnage|Le public|c}}
Assez ! Assez donc !
Ligne 755 :
==UN MOIS DE PRISON.==
====I.====
Marthe Passoire à O. Courbouillou, député de Sarthe-et-Loiret.
Paris, 10 mars.
Ligne 773 :
P. S. — Le petit collégien a été embarqué à bord de la Belle-Junon.
====II.====
O. Courbouillon à Marthe Passoire
11 mars.
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O. COURBOUILLON.
====III.====
Marthe Passoire à O. Courbouillon
17 mars Monsieur et très cher ami,
Ligne 792 :
MARTHE PASSOIRE
====IV.====
O. Courbouillon à Marthe Passoire
17 mars. Chère Madame, Vous êtes une enfant, de vous désoler ainsi. Un mois de prison, qu’est-ce que c’est, comparé à l’éternité ? Tout cela, d’ailleurs, peut s’arranger ; seulement, je vous en préviens, ça dépend de vous. Passez donc chez moi demain matin, autant que possible vers neuf heures. Nous causerons, touchant votre affaire.
Ligne 798 :
O. COURBOUILLON.
====V.====
O. Courbouillon à Marthe Passoire
10 mars.
Ligne 806 :
O.
====VI.====
Marthe Passoire à O. Courbouillon
20 mars.
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