« Page:Jules Verne - L’Île mystérieuse.djvu/437 » : différence entre les versions

Rabot (discussion | contributions)
import ocr
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
En-tête (noinclude) :En-tête (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<div class="pagetext">
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 15 : Ligne 15 :
— Hum ! Six contre cinquante !
— Hum ! Six contre cinquante !


— Oui ! six ! … sans compter…
— Oui ! six !… sans compter…


— Qui donc ? » demanda Pencroff.
— Qui donc ? » demanda Pencroff.


Cyrus ne répondit pas, mais il montra le ciel de la main.<section end=chapitre2 /><noinclude>
Cyrus ne répondit pas, mais il montra le ciel de la main.<section end=chapitre2 />



<div align="center">'''CHAPITRE III'''</div>
<div align="center">'''CHAPITRE III'''</div>




</noinclude><small>La brume se lève. — Les dispositions de l’ingénieur. — Trois postes. — Ayrton et Pencroff. — Le premier canot. — Deux autres embarcations. — Sur l’îlot. — Six convicts à terre. — Le brick lève l’ancre. — Les projectiles du ''Speedy''. — situation désespérée. — Dénouement inattendu.</small>
<section begin=chapitre3 /><small>La brume se lève. — Les dispositions de l’ingénieur. — Trois postes. — Ayrton et Pencroff. — Le premier canot. — Deux autres embarcations. — Sur l’îlot. — Six convicts à terre. — Le brick lève l’ancre. — Les projectiles du ''Speedy''. — situation désespérée. — Dénouement inattendu.</small>




Ligne 31 : Ligne 30 :
La nuit s’écoula sans incident. Les colons s’étaient tenus sur le qui-vive et n’avaient point abandonné le poste des Cheminées. Les pirates, de leur côté, ne semblaient avoir fait aucune tentative de débarquement. Depuis que les derniers coups de fusil avaient été tirés sur Ayrton, pas une détonation, pas un bruit même n’avait décelé la présence du brick sur les atterrages de l’île. À la rigueur, on aurait pu croire qu’il avait levé l’ancre, pensant avoir affaire à trop forte partie, et qu’il s’était éloigné de ces parages.
La nuit s’écoula sans incident. Les colons s’étaient tenus sur le qui-vive et n’avaient point abandonné le poste des Cheminées. Les pirates, de leur côté, ne semblaient avoir fait aucune tentative de débarquement. Depuis que les derniers coups de fusil avaient été tirés sur Ayrton, pas une détonation, pas un bruit même n’avait décelé la présence du brick sur les atterrages de l’île. À la rigueur, on aurait pu croire qu’il avait levé l’ancre, pensant avoir affaire à trop forte partie, et qu’il s’était éloigné de ces parages.


Mais il n’en était rien, et, quand l’aube commença à paraître, les colons purent entrevoir dans les brumes du matin une masse confuse. C’était le ''Speedy''.
Mais il n’en était rien, et, quand l’aube commença à paraître, les colons purent entrevoir dans les brumes du matin une masse confuse. C’était le ''Speedy''.<section end=chapitre3 />
Pied de page (noinclude) :Pied de page (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :


</div>