« Le Retour de l’Empereur » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Phe-bot (discussion | contributions)
m Le_ciel_est_par_dessus_le_toit: match
Ligne 3 :
 
 
 
==__MATCH__:[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/231]]==
<poem>
Dors ! nous t’irons chercher ! — Ce jour viendra peut-être !
Ligne 42 ⟶ 43 :
Dans l’ancien palais Elysée
Il s’arrêta, l’âme épuisée ;
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/232]]==
<poem>
Et, n’attendant plus de secours,
Repoussant la guerre civile,
Ligne 78 ⟶ 82 :
Déjà, l’âme d’angoisses pleine,
II entrevoyait Sainte-Hélène
Dans les brumes de son destin.
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/233]]==
<poem>
 
 
Le jour, en proie à la pensée,
Ligne 114 ⟶ 122 :
 
*
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/234]]==
<poem>
 
Sire, vous reviendrez dans votre capitale,
Ligne 148 ⟶ 159 :
Dont les exploits déjà sèmeront la terreur,
Autour de votre char criera : Vive la France !
Et vive L’Empereur !
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/235]]==
<poem>
 
 
En vous voyant passer. ô chef du grand empire !
Ligne 186 ⟶ 201 :
 
Leur attitude grave, altière, armée encore,
Ressemblait au sommeil, et non point au trépas ;
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/236]]==
<poem>
 
Mais la diane, hélas ! cette voix de l’aurore,
Ne les réveillait pas.
Ligne 223 ⟶ 242 :
Gardent tous les grands noms dont Paris se souvient,
Rugir les vieux canons comme des dogues sombres
Quand le maître revient ;
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/237]]==
<poem>
 
 
Tandis que votre nom, devant qui tout s’efface,
Ligne 260 ⟶ 283 :
Tombe de l’oiseau mort et du nid dévasté.</poem>
 
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/238]]==
 
===II.===
Ligne 294 ⟶ 318 :
Et, quand son œil parfois se tournait vers l’Europe,
Il en venait encore de grands rayonnements.
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/239]]==
<poem>
 
Un jour — Lanne assoupi tressaillit sous son dôme ; —
Ligne 330 ⟶ 357 :
La mer, où vont plongeant des étoiles sans nombre,
Semble écumer dans l’ombre
Au choc étincelant des constellations ;
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/240]]==
<poem>
 
 
Dans ces heures de paix, les déserts, les vallées,
Ligne 369 ⟶ 400 :
Etre pour l’univers, qui de loin vous contemple,
Plus qu’un fantôme et presque un dieu !
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/241]]==
<poem>
 
Il faut, soleil du siècle, en éclipser les astres ;
Ligne 404 ⟶ 438 :
Tout ce qui naît sous toi se range ! —
Qui donc ferait ce rêve étrange
De décapiter l’avenir ?
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/242]]==
<poem>
 
 
Te bâillonner ? — Rois ! Dieu lui-même
Ligne 441 ⟶ 479 :
Comme on en fait un Panthéon !
Prêts à surgir au bruit des bombes,
Prêts à se lever si tu tombes,
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/243]]==
<poem>
 
Peut-être sont-ils dans leurs tombes
Entiers comme Napoléon !
Ligne 477 ⟶ 519 :
A Moscou, ce fut l’incendie ;
A Waterloo, ce fut le sort.
Que t’importe que l’Angleterre
</poem>
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/244]]==
<poem>
 
Fasse parler un bloc de pierre
Dans ce coin fameux de la terre
Ligne 500 ⟶ 546 :
 
 
==[[Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VI.djvu/245]]==
 
===LE 15 DÉCEMBRE 1840.===