« Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/342 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
« C’est dur ! dit le vieux Johnson d’un air très mortifié. Que des hommes vous traitent ainsi, passe encore, mais des ours ! » |
« C’est dur ! dit le vieux Johnson d’un air très mortifié. Que des hommes vous traitent ainsi, passe encore, mais des ours ! » |
||
{{c|[[File:'The Field of Ice' by Riou and Montaut 050.jpg| |
{{c|[[File:'The Field of Ice' by Riou and Montaut 050.jpg|348px]]|m=20px}} |
||
Après cette réflexion, deux heures s’écoulèrent sans amener de changement dans la situation des prisonniers ; le projet de sortie était devenu impraticable ; les murailles épaissies arrêtaient tout bruit extérieur. Altamont se promenait avec l’agitation d’un homme audacieux qui s’exaspère de trouver un danger supérieur à son courage. Hatteras songeait avec effroi au docteur, et au péril très sérieux qui le menaçait à son retour. |
Après cette réflexion, deux heures s’écoulèrent sans amener de changement dans la situation des prisonniers ; le projet de sortie était devenu impraticable ; les murailles épaissies arrêtaient tout bruit extérieur. Altamont se promenait avec l’agitation d’un homme audacieux qui s’exaspère de trouver un danger supérieur à son courage. Hatteras songeait avec effroi au docteur, et au péril très sérieux qui le menaçait à son retour. |