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{{tiret2|témoigna|ges}} de sa respectueuse sympathie, en allant la voir et lui offrir toute l’assistance dont elle aurait besoin. Elle avait auprès d’elle deux filles naturelles de son mari, et d’autres jeunes personnes qu’elle avait élevées comme si elles eussent été ses |
{{tiret2|témoigna|ges}} de sa respectueuse sympathie, en allant la voir et lui offrir toute l’assistance dont elle aurait besoin. Elle avait auprès d’elle deux filles naturelles de son mari, et d’autres jeunes personnes qu’elle avait élevées comme si elles eussent été ses enfans<ref> Si Boyer ne fit pas donner, par l’État, une pension à la Veuve de J.-J. Dessalines, je sais qu’il lui donnait fréquemment des sommes d’argent de sa cassette particulière. Cette respectable femme était digne de sa sollicitude.</ref>. |
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Ces deux familles se rendirent au Port-au-Prince à la fin de l’année, sur l’invitation du président qui voulait les voir près de lui, pour leur continuer sa haute protection et leur donner de nouvelles preuves de l’intérêt affectueux qu’il prenait au sort que les événemens politiques leur avaient fait, il ne pouvait mieux honorer la République dont il était le chef. |
Ces deux familles se rendirent au Port-au-Prince à la fin de l’année, sur l’invitation du président qui voulait les voir près de lui, pour leur continuer sa haute protection et leur donner de nouvelles preuves de l’intérêt affectueux qu’il prenait au sort que les événemens politiques leur avaient fait, il ne pouvait mieux honorer la République dont il était le chef. |