« Page:Rousseau - La Monongahéla, 1890.djvu/116 » : différence entre les versions

 
mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
ou trois établissements qui excitaient pourtant la
<section begin="s1"/>ou trois établissements qui excitaient pourtant la
jalousie des Anglais de la Caroline. Ceux-ci résolurent d’envoyer des troupes vers le Mississipi. Mais pour mettre ce projet à exécution, il fallait passer sur les terres de tribus sauvages amis des Français, la nation des Chactas notamment. Pour se les rendre favorables, la reine d’Angleterre leur envoya de grands présents. M. d’Artaquette, commissaire-ordonnateur dans le gouvernement de la Louisiane, en fut informé aussitôt et demanda en France les secours nécessaires pour faire face à toutes les éventualités.
jalousie des Anglais de la Caroline. Ceux-ci résolurent d’envoyer des troupes vers le Mississipi. Mais pour mettre ce projet à exécution, il fallait passer sur les terres de tribus sauvages amis des Français, la nation des Chactas notamment. Pour se les rendre favorables, la reine d’Angleterre leur envoya de grands présents. M. d’Artaquette, commissaire-ordonnateur dans le gouvernement de la Louisiane, en fut informé aussitôt et demanda en France les secours nécessaires pour faire face à toutes les éventualités.


Ligne 5 : Ligne 5 :
reprenons notre récit.
reprenons notre récit.


<section end="s1"/>

<section begin="s2"/><nowiki/>


{{T3|Sous d’autres cieux.|XII}}
{{T3|Sous d’autres cieux.|XII}}
Ligne 15 : Ligne 16 :
C’était toujours une grande affaire à cette époque
C’était toujours une grande affaire à cette époque
que l’arrivée d’un navire d’outre-mer ; mais l’intérêt prenait des proportions inusitées ce jour-là, attendu
que l’arrivée d’un navire d’outre-mer ; mais l’intérêt prenait des proportions inusitées ce jour-là, attendu
<section end="s2"/>