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{{Personnage|MERCUTIO, ''saluant la nourrice en chantant''|c}}
{{PersonnageD|MERCUTIO|c|saluant la nourrice.}}
Adieu, antique dame, adieu, madame, adieu, madame. ''(Sortent Mercutio et Benvolio.)''.
Adieu, l'antique dame, adieu, la dame, la dame, la dame.

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{{Personnage|LA NOURRICE|c}}
Oui, Morbleu, adieu ! Dites-moi donc quel est cet impudent fripier qui a débité tant de vilénies ?
Oui, morbleu, adieu ! Dites-moi donc quel est cet impudent fripier qui a débité tant de vilenies ?


{{Personnage|ROMÉO|c}}
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{{Personnage|LA NOURRICE|c}}
{{Personnage|LA NOURRICE|c}}
S’il s’avise de rien dire contre moi, je le mettrai à la raison, fût-il vigoureux comme vingt freluquets de son espèce ; et si je ne le puis moi-même, j’en trouverai qui y parviendront. Le polisson ! le malotru ! Je ne suis pas une de ses drôlesses &nbsp;;&nbsp; je ne suis pas une de ses femelles ! (''À Pierre''. ) Et toi aussi, il faut que tu restes coi, et que tu permettes au premier croquant venu d’user de moi à sa guise !
S’il s’avise de rien dire contre moi, je le mettrai à la raison, fût-il vigoureux comme vingt freluquets de son espèce ; et si je ne le puis moi-même, j’en trouverai qui y parviendront. Le polisson ! le malotru ! Je ne suis pas une de ses drôlesses&nbsp; je ne suis pas une de ses femelles !
{{didascalie|À Pierre.|g|3}}
Et toi aussi, il faut que tu restes coi, et que tu permettes au premier croquant venu d’user de moi à sa guise !


{{Personnage|PIERRE|c}}
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