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{{PersonnageD|MERCUTIO|c|saluant la nourrice.}} |
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Adieu, antique dame, adieu, |
Adieu, l'antique dame, adieu, la dame, la dame, la dame. |
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{{didascalie|Sortent Mercutio et Benvolio.|d|3}} |
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Oui, |
Oui, morbleu, adieu ! Dites-moi donc quel est cet impudent fripier qui a débité tant de vilenies ? |
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S’il s’avise de rien dire contre moi, je le mettrai à la raison, fût-il vigoureux comme vingt freluquets de son espèce ; et si je ne le puis moi-même, j’en trouverai qui y parviendront. Le polisson ! le malotru ! Je ne suis pas une de ses drôlesses |
S’il s’avise de rien dire contre moi, je le mettrai à la raison, fût-il vigoureux comme vingt freluquets de son espèce ; et si je ne le puis moi-même, j’en trouverai qui y parviendront. Le polisson ! le malotru ! Je ne suis pas une de ses drôlesses je ne suis pas une de ses femelles ! |
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{{didascalie|À Pierre.|g|3}} |
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Et toi aussi, il faut que tu restes coi, et que tu permettes au premier croquant venu d’user de moi à sa guise ! |
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{{Personnage|PIERRE|c}} |
{{Personnage|PIERRE|c}} |