« Julie ou la Nouvelle Héloïse/Troisième partie » : différence entre les versions

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m Le_ciel_est_par_dessus_le_toit: match
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Il faut finir, je le sens. Adieu, charmantes cousines. Adieu, beautés incomparables. Adieu, pures et célestes âmes. Adieu, tendres et inséparables amies, femmes uniques sur la terre. Chacune de vous est le seul objet digne du cœur de l’autre. Faites mutuellement votre bonheur. Daignez vous rappeler quelquefois la mémoire d’un infortuné qui n’existait que pour partager entre vous tous les sentiments de son âme et qui cessa de vivre au moment qu’il s’éloigna de vous. Si jamais… J’entends le signal et les cris des matelots ; je vois fraîchir le vent et déployer les voiles. Il faut monter à bord, il faut partir. Mer vaste, mer immense, qui dois peut-être m’engloutir dans ton sein, puissé-je retrouver sur tes flots le calme qui fuit mon cœur agité.
 
Fin de la troisième partie
=== no match ===
 
 
Lettres de deux amants habitants d’une petite ville au pied des Alpes