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{{Tiret2|tran|quille}}, l’ayant échappée belle, par exemple, le jour de la promenade à {{Corr|Lavallois-Perret|Levallois-Perret}}, mais à l’abri maintenant de toute poursuite, se disant même, dans sa quiétude égoïste : « Après tout, ce n’était pas si terrible que ça ! » Lorsque, un matin, plusieurs mois après, se trouvant encore au lit avec sa femme, soudain, un « toc ! toc ! » discret à la porte. Deux mouchards en bourgeois, l’un vieux et brutal, l’autre, tout jeune, égrillard et gentil, venaient le cueillir au petit jour. |
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72 LH COLLAGE |
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quille l’ayant échappée belle, par exemple, le |
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jour de la promenade à Lavallois-Perret, mais |
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à l’abri maintenant de toute poursuite, se disant |
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même, dans sa quiétude égoïste Après tout, ce |
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n’était pas si terrible que ça Lorsque,un matin, |
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plusieurs mois après, se trouvant encore au lit |
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avec sa femme, soudain, un « toc toc » discret |
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,à la porte. Deux mouchards en bourgeois, l’un |
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vieux et brutal, l’autre, tout jeune, égrillard et |
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gentil, venaient le cueillir au petit jour. |
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Ne vous appelez-vous pas Jacques Clouard? |
— Ne vous appelez-vous pas Jacques Clouard ? |
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–Oui, marie, pre de famille. |
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— Oui, marié, père de famille… |
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s’il vous plaît, cet interrogatoire? |
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contumace prononcée contre vous. |
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Une condamnation? La bonne farce s’était |
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condamnation à quoi ? |
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Ici, de l’hésitation chez les deux mouchards, |
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Une main dans la poche, pour palper le revolver |
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tout armé. Puis, le jeune, le loustic, d’une |
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voix hésitante qu’il s’eu’orçait de rendre dcuce: |
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mon ami. |
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Ici, de l’hésitation chez les deux mouchards, Une main dans la poche, pour palper le revolver tout armé. Puis, le jeune, le loustic, d’une voix hésitante qu’il s’efforçait de rendre douce : |
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Scu’ement par contumace. Tenez: moi si |
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— Seulement par contumace… Tenez ! moi, si |