« Page:Parran - Romantiques, Pétrus Borel, Alexandre Dumas, 1881.djvu/63 » : différence entre les versions

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<section begin="s1"/>A paru d’abord dans la Revue de Paris.
<section begin="s1"/>A paru d’abord dans la Revue de Paris.
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T. {{rom-maj|I|1}}, 320 p.
T. {{rom-maj|II|2}}, 336 p.
T. {{rom-maj|III|3}}, 320 p.
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T. I, 320 p.

T. II, 336 p.

T. III, 320 p.


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<section begin="s2"/>'''Amaury''', par Alex. Dumas, en collaboration avec M. Paul Meurice. — Paris, Hippolyte Souverain, éditeur de la ''Bibliothèque des Romans nouveaux'', par MM. A. Dumas, de Balzac, F. Soulié, Paul de Kock, A. Brot, Luchet, Masson, Laffitte, etc., rue des Beaux-Arts, 5, 1844. Imp. de Giroux et Vialat. 4 vol. in-8, couverture grise imprimée, {{FAD|12 à 15 fr.|marge=5%}}
<section begin="s2"/>'''Amaury''', par Alex. Dumas, en collaboration avec M. Paul Meurice. — Paris, Hippolyte Souverain, éditeur de la ''Bibliothèque des Romans nouveaux'', par MM. A. Dumas, de Balzac, F. Soulié, Paul de Kock, A. Brot, Luchet, Masson, Laffitte, etc., rue des Beaux-Arts, 5, 1844. Imp. de Giroux et Vialat. 4 vol. in-8, couverture grise imprimée, {{FAD|12 à 15 fr.|marge=5%}}
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T. I, 313 p. chiff., plus la table à la fin.
T. {{rom-maj|I|1}}, 313 p. chiff., plus la table à la fin.
T. {{rom-maj|II|2}}, 329 p. chiff., {{caché|plu}} id. {{caché|table}} id.

T. II, 329 p. chiff., {{caché|plu}} id. {{caché|table}} id.
T. {{rom-maj|III|3}}, 323 p. chiff., sans table.
T. {{rom-maj|IV|4}}. 301 p. chiff., {{caché|pu}} id.

</poem>
T. III, 323 p. chiff., sans table.

T. IV. 301 p. chiff., {{caché|pu}} id.


Il parut dans la ''Revue des Feuilletons'' quelques jours avant la publication de l’édition originale.
Il parut dans la ''Revue des Feuilletons'' quelques jours avant la publication de l’édition originale.
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Dumas dit dans ses ''Mémoires'', qu’il doit au docteur Thibaut les notions de physiologie qui lui ont permis de décrire les progrès de la maladie de son héroïne poitrinaire. M. de Noailles, dont la fille était atteinte de la même maladie, pria Dumas d’interrompre la publication d’''Amaury'' dans le feuilleton de la ''Presse''. La publication ne fut reprise qu’après la mort de {{Mlle}} de Noailles.
Dumas dit dans ses ''Mémoires'', qu’il doit au docteur Thibaut les notions de physiologie qui lui ont permis de décrire les progrès de la maladie de son héroïne poitrinaire. M. de Noailles, dont la fille était atteinte de la même maladie, pria Dumas d’interrompre la publication d’''Amaury'' dans le feuilleton de la ''Presse''. La publication ne fut reprise qu’après la mort de {{Mlle}} de Noailles.



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<section begin="s3"/>'''Gabriel Lambert''', par Alex. Dumas. — Paris, H. Souverain, éditeur, 1844. Imp. Dépée à Sceaux. 2 vol. in-8, non rognés. Brochés, {{FAD|15 fr.|marge=5%}}
<section begin="s3"/>'''Gabriel Lambert''', par Alex. Dumas. — Paris, H. Souverain, éditeur, 1844. Imp. Dépée à Sceaux. 2 vol. in-8, non rognés. Brochés, {{FAD|15 fr.|marge=5%}}


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T. I, 295 p. chiff., plus 1 f. pour la table ;
T. {{rom-maj|I|1}}, 295 p. chiff., plus 1 f. pour la table ;
T. {{rom-maj|II|2}}, 303 p. chiff. plus 1 f. pour la table.
</poem>


T. II, 303 p. chiff. plus 1 f. pour la table.
Ainsi que l’indique la couverture imprimée, ce roman forme les T. 69 et 70 de la ''Bibliothèque des Romans nouveaux''.
Ainsi que l’indique la couverture imprimée, ce roman forme les T. 69 et 70 de la ''Bibliothèque des Romans nouveaux''.


L’introduction de ce roman est charmante.
L’introduction de ce roman est charmante.



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