« Page:Désorgues - Voltaire, ou le Pouvoir de la philosophie, 1798.djvu/17 » : différence entre les versions
ponctuation et correction |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 17 : | Ligne 17 : | ||
Quelle joie enivra cette ville des arts ! |
Quelle joie enivra cette ville des arts ! |
||
Des portes à l’instant, l’œil de larmes humide, |
Des portes à l’instant, l’œil de larmes humide, |
||
Coururent |
Coururent les amis, les compagnons d’Alcide, |
||
Ses antiques parents et ses fameux rivaux, |
Ses antiques parents et ses fameux rivaux, |
||
Dès l’enfance témoins de ses nombreux travaux ; |
Dès l’enfance témoins de ses nombreux travaux ; |
||
Ligne 28 : | Ligne 28 : | ||
Que Voltaire accueillit au matin de ses ans, |
Que Voltaire accueillit au matin de ses ans, |
||
Et dota de vertus, de grâce et de talents. |
Et dota de vertus, de grâce et de talents. |
||
{{corr|O|Ô}} quelle douce joie humecta sa paupière |
{{corr|O|Ô}} quelle douce joie humecta sa {{corr|paupiere|paupière}} |
||
Alors qu’elle apperçut son bienfaiteur, son {{corr|pere|père}}|sauf_premier=vrai}} |
Alors qu’elle apperçut son bienfaiteur, son {{corr|pere|père}}|sauf_premier=vrai}} |