« Page:Verne - La Jangada, 1881, t1.djvu/27 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
« Le gueux ! s’écria-t-il encore. S’il ne m’a pas tué, il a presque fait pis ! il m’a volé ! » |
« Le gueux ! s’écria-t-il encore. S’il ne m’a pas tué, il a presque fait pis ! il m’a volé ! » |
||
La pensée que l’étui contenait son argent ne fut cependant pas pour le préoccuper tout d’abord. Mais ce qui le fit bondir, c’est l’idée que l’étui renfermait ce document dont la perte, irréparable pour lui, entraînerait celle de toutes ses espérances. |
La pensée que l’étui contenait son argent ne fut cependant pas pour le préoccuper tout d’abord. Mais ce qui le fit bondir, c’est l’idée que l’étui renfermait ce document, dont la perte, irréparable pour lui, entraînerait celle de toutes ses espérances. |
||
« Mille diables ! » s’écria-t-il. |
« Mille diables ! » s’écria-t-il. |