« Le Sphinx des glaces/I/VII » : différence entre les versions

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– Dans la belle saison ?… ajoutai-je.
 
 
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– Eh bien, monsieur, répondit le gouverneur un peu dépité, ce que l’''Halbrane'' n’emportera pas, d’autres navires l’emporteront !… »
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Puis, reprenant :
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– Comme vous dites, monsieur ?…
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– Monsieur Jeorling, du Connecticut.
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– Me direz-vous comment ce malheur est arrivé, monsieur Jeorling ?…
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– Volontiers, monsieur Glass. Partie de Tristan d’Acunha, la ''Jane'' fit voile vers le gisement des îles Auroras et autres, que William Guy espérait reconnaître d’après les renseignements…
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– Non, monsieur Glass, mais, pendant son voyage, la goélette de William Guy, paraît-il, a franchi le cercle polaire, elle a dépassé la banquise, elle s’est avancée plus loin que ne l’avait fait aucun navire avant elle…
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– Voilà une campagne prodigieuse ! s’écria Glass.
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– Pas possible, monsieur Jeorling ! s’écria M. Glass. Eh bien, quoique je ne connaisse pas le capitaine Len Guy, j’ose affirmer que les deux frères ne se ressemblent point, – du moins dans la façon dont ils se sont comportés envers le gouverneur de Tristan d’Acunha ! »
 
Je vis que l’ex-caporal était très mortifié de l’indifférence de Len Guy, qui ne lui avait pas même rendu visite. Que l’on y songe, le souverain de cette île indépendante, dont le pouvoir s’étendait jusqu’aux deux îles voisines, Inaccessible et Nightingale ! Mais il se
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consolait, sans doute, à la pensée de vendre sa marchandise vingt-cinq pour cent plus cher qu’elle ne valait.
 
Ce qui est certain, c’est que le capitaine Len Guy ne manifesta à aucun instant l’intention de débarquer. Cela était d’autant plus singulier qu’il ne devait pas ignorer que la ''Jane'' avait relâché sur cette côte nord-ouest de Tristan d’Acunha, avant de partir pour les mers australes. Et de se mettre en relation avec le dernier Européen qui eût serré la main de son frère, cela paraissait assez indiqué…
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| [[Le Sphinx des glaces/I/VI|Chapitre VI]]
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| [[Le Sphinx des glaces/I/
=== no match ===
VIII|Chapitre VIII]]
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