« Le Corbeau (traduit par Maurice Rollinat) » : différence entre les versions
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Ligne 112 :
Jusqu’à ce que ses chants n’eussent plus qu’un refrain,
Jusqu’à ce que sa plainte à jamais désolée
Comme un ''De
Eût pris ce refrain : « Jamais plus ! »
Ligne 139 :
Dont les pas effleuraient le tapis rouge et brun,
Et glissaient avec des bruissements étranges.
Malheureux !
Un peu de népenthès pour adoucir ton fiel,
Prends-le donc ce répit qu’un séraphin t’apporte,
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