« Page:Tolstoï - L’Esprit chrétien et le patriotisme.djvu/23 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « les portes ouvertes de l’église laissaient pénétrer les accents de la Marseillaise qu’une fanfare jouait dans la rue. Ce fut une impression inexprimable<ref>''Novoi... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
les portes ouvertes de l’église laissaient pénétrer les accents de la Marseillaise qu’une |
les portes ouvertes de l’église laissaient pénétrer les accents de la Marseillaise qu’une |
||
fanfare jouait dans la rue. Ce fut une impression inexprimable<ref>'' |
fanfare jouait dans la rue. Ce fut une impression inexprimable<ref>''Novoié Vrémia'', 17/29 oct. 1893</ref>. » |