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haut, deux en bas. La porte s’ouvrait de côté sous une espèce de hangar. Dans ce hangar étaient entassés des fagots, une scie, une hache et des coins ; plus bas, descendaient en pente deux ou trois grosses pierres plates, déversant l’eau du toit dans le chemin où stationnait le char à bancs. |
en haut, deux en bas. La porte s’ouvrait de côté sous une espèce de hangar. Dans ce hangar étaient entassés des fagots, une scie, une hache et des coins ; plus bas, descendaient en pente deux ou trois grosses pierres plates, déversant l’eau du toit dans le chemin où stationnait le char à bancs. |
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Fritz et Hâan n’eurent qu’à enjamber l’échelle de la voiture, pour mettre le pied sur ces pierres. Un petit homme, au nez de pie tourné à la friandise, les cheveux blond filasse aplatis sur le front, et les yeux bleu faïence, venait de s’avancer sur la porte, et disait : |
Fritz et Hâan n’eurent qu’à enjamber l’échelle de la voiture, pour mettre le pied sur ces pierres. Un petit homme, au nez de pie tourné à la friandise, les cheveux blond filasse aplatis sur le front, et les yeux bleu faïence, venait de s’avancer sur la porte, et disait : |
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— Oui, monsieur Hâan, le ''beutel'' <ref> L’appariteur.</ref> est en route depuis ce matin ; écoutez… le voilà qui tambourine justement sur la place. » |
— Oui, monsieur Hâan, le ''beutel'' <ref> L’appariteur.</ref> est en route depuis ce matin ; écoutez… le voilà qui tambourine justement sur la place. » |
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En effet, le roulement d’un tambour fêlé bourdonnait alors sur la place du village. Kobus s’étant retourné, vit, près de la fontaine, un grand gaillard en blouse, le chapeau à claque sur la |
En effet, le roulement d’un tambour fêlé bourdonnait alors sur la place du village. Kobus s’étant retourné, vit, près de la fontaine, un grand gaillard en blouse, le chapeau à claque sur la {{tiret|nu|que,}} |