« Page:Dictionnaire de Trévoux, 1771, II.djvu/186 » : différence entre les versions

m un peu de grec ; il en reste, mais je n'ai pas le temps de finir pour le moment
Bernie12 (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<section begin="CALLIG"/>{{tiret2|diver|tie}}. Ils sont obligés de l’entretenir & de le nettoyer. Il y a au Caire une grande colonne de marbre, où l’on va observer la croissance des eaux du Nil, & quand elles montent à 23 pieds, c’est une grande réjouissance, car alors toutes les terres sont inondées. Mais elles ne montent pour l’ordinaire qu’à 19 : c’est cinq ou six toises de France. L’ouverture s’en fait tous les ans par le Baffa, avec grande cérémonie & magnificence.
<section begin="CALLIG"/>{{tiret2|diver|tie}}. Ils sont obligés de l’entretenir & de le nettoyer. Il y a au Caire une grande colonne de marbre, où l’on va observer la croissance des eaux du Nil, & quand elles montent à 23 pieds, c’est une grande réjouissance, car alors toutes les terres sont inondées. Mais elles ne montent pour l’ordinaire qu’à 19 : c’est cinq ou six toises de France. L’ouverture s’en fait tous les ans par le Baffa, avec grande cérémonie & magnificence.


Ce mot est arabe, {{hébreu}}, ''Halig'', que Raphélange traduit ''{{lang|la|amnis}}'', une rivière, & d’autres un bras de mer, & le bras d’un fleuve, & un canal, un ruisseau. Il vient de {{hébreu}}, ''Hhalaga'', qui signifie, ''{{lang|la|movit, agitavit, traxit, abstraxit, arripuit}}''.
Ce mot est arabe, {{lang|he|הלוג}}, ''Halig'', que Raphélange traduit ''{{lang|la|amnis}}'', une rivière, & d’autres un bras de mer, & le bras d’un fleuve, & un canal, un ruisseau. Il vient de {{lang|he|הלג}}, ''Hhalaga'', qui signifie, ''{{lang|la|movit, agitavit, traxit, abstraxit, arripuit}}''.
<section end="CALLIG"/>
<section end="CALLIG"/>
<section begin="CALLIGRAPHE"/><nowiki/>
<section begin="CALLIGRAPHE"/><nowiki/>
Ligne 7 : Ligne 7 :
CALLIGRAPHE. s. m. Ecrivain, Copiste, qui mettoit autrefois au net ce qui avoit été écrit en notes par les Notaires. Ce qui revient à peu près à ce que nous exprimerions maintenant ainsi, celui qui fait la grosse d’une minute. ''{{lang|la|Calligraphus}}''. Autrefois on écrivoit la minute d’un acte, le brouillon ou le premier exemplaire d’un ouvrage, en notes ; c’est-à-dire, en abréviations, qui étoient une espèce de chiffre ; telles sont les notes de Tiron, qui sont dans le second Tome de Gruter. Cela se faisoit pour écrire plus vite, & pouvoir suivre celui qui dictoit. Ceux qui écrivoient ainsi en notes s’appeloient en latin Notaires, & en grec {{lang|grc|Σημειογράφοι}} & {{lang|grc|Ταχυγράφοι}} ; c’est-à-dire, Ecrivains en notes, & gens qui écrivent vite. Mais parce que peu de gens connoissoient ces notes, ou ces abréviations, que d’ailleurs ces premiers exemplaires ne pouvoient être assez nets ni assez propres ; d’autres Ecrivains qui avoient la main bonne, & qui écrivoient bien &c proprement, les copioient pour ceux qui en avoient besoin, ou pour les vendre ; & ceux-ci s’appeloient ''Calligraphes'', nom qui est ancien, puisqu’Eusèbe, au ''Ch''. 17, du VI{{e}} livre de l’''Histoire Ecclésiastique'', & S. Grégoire de Nazianze le leur donnent. Il est aussi parlé dans quelques Conciles de ces Notaires &c de des ''Calligraphes'', comme dans le II{{e}}. de Nicée. Néophyte & Théopempte sont d’anciens Calligraphes du X{{e}} & XI{{e}} siècles. Le P. Montfaucon a donné un catalogue alphabétique de tous les ''Calligraphes'' connus. C’est dans sa Palæographie, ''L. I, c''. 8.
CALLIGRAPHE. s. m. Ecrivain, Copiste, qui mettoit autrefois au net ce qui avoit été écrit en notes par les Notaires. Ce qui revient à peu près à ce que nous exprimerions maintenant ainsi, celui qui fait la grosse d’une minute. ''{{lang|la|Calligraphus}}''. Autrefois on écrivoit la minute d’un acte, le brouillon ou le premier exemplaire d’un ouvrage, en notes ; c’est-à-dire, en abréviations, qui étoient une espèce de chiffre ; telles sont les notes de Tiron, qui sont dans le second Tome de Gruter. Cela se faisoit pour écrire plus vite, & pouvoir suivre celui qui dictoit. Ceux qui écrivoient ainsi en notes s’appeloient en latin Notaires, & en grec {{lang|grc|Σημειογράφοι}} & {{lang|grc|Ταχυγράφοι}} ; c’est-à-dire, Ecrivains en notes, & gens qui écrivent vite. Mais parce que peu de gens connoissoient ces notes, ou ces abréviations, que d’ailleurs ces premiers exemplaires ne pouvoient être assez nets ni assez propres ; d’autres Ecrivains qui avoient la main bonne, & qui écrivoient bien &c proprement, les copioient pour ceux qui en avoient besoin, ou pour les vendre ; & ceux-ci s’appeloient ''Calligraphes'', nom qui est ancien, puisqu’Eusèbe, au ''Ch''. 17, du VI{{e}} livre de l’''Histoire Ecclésiastique'', & S. Grégoire de Nazianze le leur donnent. Il est aussi parlé dans quelques Conciles de ces Notaires &c de des ''Calligraphes'', comme dans le II{{e}}. de Nicée. Néophyte & Théopempte sont d’anciens Calligraphes du X{{e}} & XI{{e}} siècles. Le P. Montfaucon a donné un catalogue alphabétique de tous les ''Calligraphes'' connus. C’est dans sa Palæographie, ''L. I, c''. 8.


Ce mot ''Calligraphe'', est grec, composé de {{lang|grc|κάλλος}}, beauté, & de {{lang|grc|γράφω}} j’écris ; & signifie {{grec}}, ''Qui écrit pour la beauté, pour l’ornement'', selon que l’interprète Théophilacte Simocatta, ''Historiar. L. VIII, c''. 13, ainsi que l’a remarqué Fabrot, & après lui le P. Montfaucon. ''Voyez'', sur les ''Calligraphes'' les Glossaires de Fabrot sur Téophilacte Simocatta, & sur Cedrenus, & le P. Montfaucon, ''Palæogr. L. I, c''. 5, 6, 7, 8.
Ce mot ''Calligraphe'', est grec, composé de {{lang|grc|κάλλος}}, beauté, & de {{lang|grc|Γράφω}} j’écris ; & signifie {{lang|grc|εἰς κάλλος γράφω}}, ''Qui écrit pour la beauté, pour l’ornement'', selon que l’interprète Théophilacte Simocatta, ''Historiar. L. VIII, c''. 13, ainsi que l’a remarqué Fabrot, & après lui le P. Montfaucon. ''Voyez'', sur les ''Calligraphes'' les Glossaires de Fabrot sur Téophilacte Simocatta, & sur Cedrenus, & le P. Montfaucon, ''Palæogr. L. I, c''. 5, 6, 7, 8.
<section end="CALLIGRAPHE"/>
<section end="CALLIGRAPHE"/>
<section begin="CALLIMAQUE"/><nowiki/>
<section begin="CALLIMAQUE"/><nowiki/>
Ligne 13 : Ligne 13 :
CALLIMAQUE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callimachus}}''. ''Callimaque'' commandoît l’Armée des Athéniens à la bataille de Marathon, après laquelle on dit qu’il fut trouvé debout, quoique tout percé de flèches. ''Callimaque'', Poëte Grec. Madame Dacier a fait une édition des épigrammes & des hymnes de ''Callimaque'', auxquelles elle a joint de savantes notes.
CALLIMAQUE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callimachus}}''. ''Callimaque'' commandoît l’Armée des Athéniens à la bataille de Marathon, après laquelle on dit qu’il fut trouvé debout, quoique tout percé de flèches. ''Callimaque'', Poëte Grec. Madame Dacier a fait une édition des épigrammes & des hymnes de ''Callimaque'', auxquelles elle a joint de savantes notes.


Ce mot vient du grec, qui signifie ''beau Combattant'', ou ''bon Combattant'', {{lang|grc|{{corr|καλλὸς|καλὸς}}}}, beau, bon, & {{grec}}, je combats.
Ce mot vient du grec, qui signifie ''beau Combattant'', ou ''bon Combattant'', {{lang|grc|{{corr|καλλὸς|καλὸς}}}}, beau, bon, & {{lang|grc|{{corr|μάκκομαι|μάχομαι}}}}, je combats.
<section end="CALLIMAQUE"/>
<section end="CALLIMAQUE"/>
<section begin="CALLINIQUE"/><nowiki/>
<section begin="CALLINIQUE"/><nowiki/>
Ligne 23 : Ligne 23 :
<section begin="CALLIONYME"/><nowiki/>
<section begin="CALLIONYME"/><nowiki/>


CALLIONYME. s. m. Poisson que l’on appelle entore ''Uranoscopus'', c’est-à-dire Astronome. On le trouve fréquemment dans la mer Méditerranée. On dit qu’on en peut tirer un fort bon remède pour la cataracte. Hippocrate en fait mention, & il le met au nombre des poissons les plus dessicatifs : c’est pourquoi il la recommande comme un aliment convenable dans la leucophlegmatie, dans les indispositions de la rate, & dans une certaine maladie causée par un amas de phlegmes blancs dans le ventre, après une longue fièvre, {{grec}}. Ce mot vient de {{grec|καλός}}, ''beau'', & de {{grec}}, ''noix''. {{sc|Dict. de James}}.
CALLIONYME. s. m. Poisson que l’on appelle entore ''Uranoscopus'', c’est-à-dire Astronome. On le trouve fréquemment dans la mer Méditerranée. On dit qu’on en peut tirer un fort bon remède pour la cataracte. Hippocrate en fait mention, & il le met au nombre des poissons les plus dessicatifs : c’est pourquoi il la recommande comme un aliment convenable dans la leucophlegmatie, dans les indispositions de la rate, & dans une certaine maladie causée par un amas de phlegmes blancs dans le ventre, après une longue fièvre, {{lang|grc|ÓΚαλλιωνυμος}}. Ce mot vient de {{lang|grc|καλός}}, ''beau'', & de {{lang|grc|ὄνομα}}, ''noix''. {{sc|Dict. de James}}.
<section end="CALLIONYME"/>
<section end="CALLIONYME"/>
<section begin="CALLIOPE"/><nowiki/>
<section begin="CALLIOPE"/><nowiki/>


CALLIOPE. s. f. Nom d’une Muse qui préside à l’éloquence, ou à la Rhétorique & à la Poësie héroïque. ''{{lang|la|Calliopa, Calliopea}}''. ''Calliope'' est un nom grec, qui signifie ''belle voix'', ou ''bonne voix'', ''qui a une belle'' ou ''une bonne voix'', de {{grec|καλός}}, ''bon'', ou beau, & {{grec|φόνη}}, ''voix''. Les Poètes disent que ''Calliope'' étoit mère d’Orphée.
CALLIOPE. s. f. Nom d’une Muse qui préside à l’éloquence, ou à la Rhétorique & à la Poësie héroïque. ''{{lang|la|Calliopa, Calliopea}}''. ''Calliope'' est un nom grec, qui signifie ''belle voix'', ou ''bonne voix'', ''qui a une belle'' ou ''une bonne voix'', de {{lang|grc|καλός}}, ''bon'', ou beau, & {{lang|grc|φόνη}}, ''voix''. Les Poètes disent que ''Calliope'' étoit mère d’Orphée.


CALLIPÉDIE. s. f. ''{{lang|la|Callipædia}}''. C’est le titre que Claude Quillet, natif de Chinon en Touraine, a donné à son poëme latin, ''des moyens d’avoir de beaux enfans''. Ce titre est formé des deux mots grecs, {{grec|καλός}}, ''beau'', & {{grec}}, ''enfant''. Il est bon de remarquer, après M. de la Monnoye, dans ses notes sur les jugemens des Savans de Baillet, ''T. V, p''. 285, que Quillet n’étoit ni bénéficier, ni engagé dans aucun ordre sacré, lorsqu’il fit sa ''Callipédie'', Il s’y déguisa fous le nom de ''{{lang|la|Calvidii Leti}}'', qui est l’anagramme de ''{{lang|la|Claudii Quileti}}'', en supprimant le Q. Le Cardinal Mazarin, contre qui il l’avoit lancé plusieurs traits satyriques, lui donna une Abbaye, qui lui fit retrancher tout ce qui étoit contre cette Eminence, à qui la seconde édition fut dédiée. Cela ne servit qu’à rendre la première plus rare.
CALLIPÉDIE. s. f. ''{{lang|la|Callipædia}}''. C’est le titre que Claude Quillet, natif de Chinon en Touraine, a donné à son poëme latin, ''des moyens d’avoir de beaux enfans''. Ce titre est formé des deux mots grecs, {{lang|gr(c|καλός}}, ''beau'', & {{lang|grc|παῖς}}, ''enfant''. Il est bon de remarquer, après M. de la Monnoye, dans ses notes sur les jugemens des Savans de Baillet, ''T. V, p''. 285, que Quillet n’étoit ni bénéficier, ni engagé dans aucun ordre sacré, lorsqu’il fit sa ''Callipédie'', Il s’y déguisa fous le nom de ''{{lang|la|Calvidii Leti}}'', qui est l’anagramme de ''{{lang|la|Claudii Quileti}}'', en supprimant le Q. Le Cardinal Mazarin, contre qui il l’avoit lancé plusieurs traits satyriques, lui donna une Abbaye, qui lui fit retrancher tout ce qui étoit contre cette Eminence, à qui la seconde édition fut dédiée. Cela ne servit qu’à rendre la première plus rare.
<section end="CALLIOPE"/>
<section end="CALLIOPE"/>
<section begin="CALLIRHOÉ"/><nowiki/>
<section begin="CALLIRHOÉ"/><nowiki/>
Ligne 35 : Ligne 35 :
CALLIRHOÉ. s. f. Terme de Mythologie. C’est un nom propre de femme & de fontaine. ''{{lang|la|Callirhoe}}, Callirhoé'', fille de Scamandre, & femme de Tros, troisième Roi de Dardanie, fut mère d’Ilus, de Ganymède & d’Assaraque. ''Callirhoé'' de Calydon, qui se tua pour avoir causé la mort à son amant Coresus, a fourni à nos Poëtes un sujet de Tragédie. La fontaine de l’Attique proche de laquelle elle se tua, porta son nom. Il y en avoit aussi une de ce nom, à l’Orient du Jourdain, où Hérodes I, alla prendre les eaux peu de temps avant sa mort. Dans ce mot l’é est fermé, & ne peut terminer qu’un vers masculin.
CALLIRHOÉ. s. f. Terme de Mythologie. C’est un nom propre de femme & de fontaine. ''{{lang|la|Callirhoe}}, Callirhoé'', fille de Scamandre, & femme de Tros, troisième Roi de Dardanie, fut mère d’Ilus, de Ganymède & d’Assaraque. ''Callirhoé'' de Calydon, qui se tua pour avoir causé la mort à son amant Coresus, a fourni à nos Poëtes un sujet de Tragédie. La fontaine de l’Attique proche de laquelle elle se tua, porta son nom. Il y en avoit aussi une de ce nom, à l’Orient du Jourdain, où Hérodes I, alla prendre les eaux peu de temps avant sa mort. Dans ce mot l’é est fermé, & ne peut terminer qu’un vers masculin.


{{sc|Callirhoé}}, fille d’Achétoüs, que l’on nomme quelquefois Arsinoé, fut épousée par Alcméon.à la place d’Alphésibée, qu’il venoit de répudier ; ce qui sur cause de la mort d’ALcméon. Les enfans de ''Callirhoé'' vengèrent cette mort dès leur plus tendre enfance.
{{sc|Callirhoé}}, fille d’Achéloüs, que l’on nomme quelquefois Arsinoé, fut épousée par Alcméon à la place d’Alphésibée, qu’il venoit de répudier ; ce qui fut cause de la mort d’Alcméon. Les enfans de ''Callirhoé'' vengèrent cette mort dès leur plus tendre enfance.


{{sc|Callirhoé}}, fille de l’Océan, selon Hésiode, épousa Chrysaor, & en eut Géryon, ce fameux Géant à trois têtes, & un autre monstre nommé Echidna.
{{sc|Callirhoé}}, fille de l’Océan, selon Hésiode, épousa Chrysaor, & en eut Géryon, ce fameux Géant à trois têtes, & un autre monstre nommé Echidna.
Ligne 53 : Ligne 53 :
<section begin="CALLISTHÈNE"/><nowiki/>
<section begin="CALLISTHÈNE"/><nowiki/>


CALLISTHÈNE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callisthenes}}'', {{grec|καλός}}, & {{grec}}, ''{{lang|la|valeo, possum}}'' ; {{grec}}, ''{{lang|la|vis, robur}}''.
CALLISTHÈNE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callisthenes}}'', {{lang|grc|καλός}}, & {{lang|grc|{{corr|θένω|σθένω}}}}, ''{{lang|la|valeo, possum}}'' ; {{lang|grc|{{corr|θένω|σθένος}}}}, ''{{lang|la|vis, robur}}''.
<section end="CALLISTHÈNE"/>
<section end="CALLISTHÈNE"/>
<section begin="CALLISTIN"/><nowiki/>
<section begin="CALLISTIN"/><nowiki/>
Ligne 61 : Ligne 61 :
<section begin="CALLISTRATE"/><nowiki/>
<section begin="CALLISTRATE"/><nowiki/>


CALLISTRATE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callistratus}}''. Il signifie proprement, bon homme de guerre, de {{grec|καλός}}, ''bon'', & {{grec}}, ''armée''.
CALLISTRATE. s. m. Nom d’homme. ''{{lang|la|Callistratus}}''. Il signifie proprement, bon homme de guerre, de {{lang|grc|καλός}}, ''bon'', & {{lang|grc|στρατός}}, ''armée''.
<section end="CALLISTRATE"/>
<section end="CALLISTRATE"/>
<section begin="CALLIXÈNE"/><nowiki/>
<section begin="CALLIXÈNE"/><nowiki/>


CALLIXÈNE. s. m. Nom d’homme, ''{{lang|la|Callixenus}}'', qui vient de {{grec|καλός}}, ''bon'', & {{grec|ξένος}}, ''étranger, hôte''.
CALLIXÈNE. s. m. Nom d’homme, ''{{lang|la|Callixenus}}'', qui vient de {{lang|grc|καλός}}, ''bon'', & {{lang|grc|ξένος}}, ''étranger, hôte''.
<section end="CALLIXÈNE"/>
<section end="CALLIXÈNE"/>
<section begin="CALLOSITÉ"/><nowiki/>
<section begin="CALLOSITÉ"/><nowiki/>