« Page:Gozlan - La Dame verte, 1872.djvu/11 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 16 : Ligne 16 :
humides, monte des caves. Le silence de minuit mêlait
humides, monte des caves. Le silence de minuit mêlait
sa taciturnité à ce délabrement universel, à ce frisson
sa taciturnité à ce délabrement universel, à ce frisson
dont on se sent enveloppé, traverse jusqu’aux os, jusqu’au
dont on se sent enveloppé, traversé jusqu’aux os, jusqu’au
cœur, jusqu’à l’âme, les nuits froidement pluvieuses
cœur, jusqu’à l’âme, les nuits froidement pluvieuses
d’hiver à Paris. Ces nuits-là, poëmes dégelés,
d’hiver à Paris. Ces nuits-là, poëmes dégelés,