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— Que vous donniez de l’esprit à ce pauvre gars qui est mon mari.
— Que vous donniez de l’esprit à ce pauvre gars qui est mon mari.
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Tous les habitants du pays ne firent plus rien sans le consulter, et dans toute sa commune on le considéra comme le personnage le plus important du bourg.
Tous les habitants du pays ne firent plus rien sans le consulter, et dans toute sa commune on le considéra comme le personnage le plus important du bourg.


Sa femme et lui furent au comble du bonheur : ils eurent de beaux enfants, doux et bons comme leur mère, et qui eurent suffisament de cervelle pour faire leurs affaires, puisqu’ils sont aujourd’hui les plus riches bourgeois de la contrée.
Sa femme et lui furent au comble du bonheur : ils eurent de beaux enfants, doux et bons comme leur mère, et qui eurent suffisamment de cervelle pour faire leurs affaires, puisqu’ils sont aujourd’hui les plus riches bourgeois de la contrée.



''(Conté par Pierre Brunel, âgé de 66 ans, maréchal-ferrant au bourg de Poligné.)''
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