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Le fiacre avait déjà tourné. M<sup>me</sup> Adolphe, qui ne put |
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voir par qui Madame avait été ramenée, se dit : |
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— Pauvre madame ! ce sera son neveu. |
— Pauvre madame ! ce sera son neveu. |
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M<sup>me</sup> Marmus, petite femme svelte, gentille, rieuse, était mise divinement et d’une façon un peu trop jeunette pour son âge, car elle comptait vingt-cinq ans de ménage. |
M<sup>me</sup> Marmus, petite femme svelte, gentille, rieuse, était mise divinement et d’une façon un peu trop jeunette pour son âge, car elle comptait vingt-cinq ans de ménage. |
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Enfin, elle pouvait encore porter une robe à petites raies roses, une pèlerine brodée et garnie de dentelles, des brodequins jolis comme des ailes de coléoptère, et |
Enfin, elle pouvait encore porter une robe à petites raies roses, une pèlerine brodée et garnie de dentelles, des brodequins jolis comme des ailes de coléoptère, et un chapeau rose à fleurs de pêcher, d’un goût délicieux, qu’elle tenait à la main. |
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un chapeau rose à fleurs de pêcher, d’un goût délicieux, qu’elle tenait à la main. |
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— Voyez, M<sup>me</sup> Adolphe, je suis toute défrisée ; je vous le disais bien : quand il fait si chaud, il faut me coiffer en bandeau. |
— Voyez, M<sup>me</sup> Adolphe, je suis toute défrisée ; je vous le disais bien : quand il fait si chaud, il faut me coiffer en bandeau. |