« Page:Rousseau - La Monongahéla, 1890.djvu/142 » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
Balise : Validée |
||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 29 : | Ligne 29 : | ||
— J’ai peur même que son cœur ne soit plus libre. |
— J’ai peur même que son cœur ne soit plus libre. |
||
— Le cœur de Doña Maria, Don Gusman, est libre. Comment pourrait-il en être autrement ? Son enfance et sa jeunesse se sont écoulées au fond de nos solitudes. |
— Le cœur de {{sic2|Dona|Doña}} Maria, Don Gusman, est libre. Comment pourrait-il en être autrement ? Son enfance et sa jeunesse se sont écoulées au fond de nos solitudes. |
||
— Et ce jeune officier que vous avez accueilli sous |
— Et ce jeune officier que vous avez accueilli sous |