« Page:Rousseau - La Monongahéla, 1890.djvu/82 » : différence entre les versions
Balise : Validée |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
— Soit, mon cher, je veux croire qu’elle t’aime. |
— Soit, mon cher, je veux croire qu’elle t’aime. |
||
Mais n’oublie pas ces deux vers qu’écrivait un jour à Marguerite de Valois |
Mais n’oublie pas ces deux vers qu’écrivait un jour à Marguerite de Valois {{roi|François|I}}, sur les vitres d’une fenêtre du Louvre : |
||
{{ |
{{pom|Souvent femme varie : |
||
Bien fol est qui s’y fie ! |
Bien fol est qui s’y fie !|m=1.5em}} |
||
« '' |
« ''{{lang|en|O woman ! thy name is frailthy !}}'' » a dit Shakespeare : l’un était un grand roi et l’autre un grand poète. |
||
— Où veux-tu en venir ? |
— Où veux-tu en venir ? |