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<section begin="s1"/>{{tiret2|com|mandement, }}et quelques instants après, M. |
<section begin="s1" />{{tiret2|com|mandement, }}et quelques instants après, {{M.|{{lié|de Bienville}}}}, sautant légèrement sur le pont, passait en saluant au milieu de ses matelots et se dirigeait vers l’arrière du vaisseau. |
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{{T3|Séparation.|VIII.}} |
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— Comment l’entends-tu ? répondit Daniel. |
— Comment l’entends-tu ? répondit Daniel. |
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— Oh ! oui, je te vois toujours l’humeur égale, jamais plus triste, ni plus gai, l’esprit |
— Oh ! oui, je te vois toujours l’humeur égale, jamais plus triste, ni plus gai, l’esprit en repos, seulement occupé de ton service et de cultiver les muses… |
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— Mais qui t’empêche d’avoir la même tranquillité ? |
— Mais qui t’empêche d’avoir la même tranquillité ? |
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Le commandant apprécie ton courage et tes talents de marin ; l’avenir qui s’ouvre devant toi est brillant. Comme moi, tu es orphelin. Donc personne |
Le commandant apprécie ton courage et tes talents de marin ; l’avenir qui s’ouvre devant toi est brillant. Comme moi, tu es orphelin. Donc personne |
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n’a besoin de toi, pourquoi t’occuper l’esprit de |
n’a besoin de toi, pourquoi t’occuper l’esprit de |
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chimères ! |
chimères ! |
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— Mon cher, tu oublies que j’ai quitté à Québec… |
— Mon cher, tu oublies que j’ai quitté à Québec… |
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