« Poëmes islandais/Visions de Vala » : différence entre les versions
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{{T2|VISIONS DE VALA.}}
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A la droite de la porte du Coursier céleste.
Sôl ne le savait pas où elle avait ses demeures,
Les Étoiles ne le savaient pas où elles avaient leurs places,
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==[[Page:Bergmann - Poëmes islandais, tirés de l’Edda de Sæmund, 1838.djvu/214]]==
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==[[Page:Bergmann - Poëmes islandais, tirés de l’Edda de Sæmund, 1838.djvu/215]]==
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Mâni ne le savait pas quel était son pouvoir.
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Alors arrivèrent trois Vierges Thurses
Très-puissantes du monde des Iotes.
Je connais un frêne, on le nomme
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==[[Page:Bergmann - Poëmes islandais, tirés de l’Edda de Sæmund, 1838.djvu/217]]==
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Yggdrasill,
Arbre chevelu, humecté par un nuage brillant,
D’où naît la rosée qui tombe dans les vallons ;
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Bifurr et Bafurr, Bumbur, Nori.
Anarr et Onarr, Aï, Miodvitnir,
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==[[Page:Bergmann - Poëmes islandais, tirés de l’Edda de Sæmund, 1838.djvu/219]]==
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Veigr, Gandalfr, Vindalfr, Thorinn,
Fili et Kili, Fundinn, Nali,
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