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Lucien me trouva, dans la maison
Depuis que
Et je lisais, je lisais, je lisais.
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Lucien, un jour me dit :
– Tu veux écrire ?
– Je ne sais
– Eh bien, mon garçon, tu lis
– Que faut-il que je fasse ?
– Il faut vivre, mon
– Dis-
– Tu comprends, moi, la littérature, ce
– Je
– Moi, à ta place, voilà !
« Voir, sentir, comprendre », ces trois mots, il les répétait à chaque instant. Cela résumait toute son esthétique parlée. Lucien
Le matin, je déjeunais rapidement, dans une crémerie de notre rue, et le soir, avant le dîner,
– Ah !
Il se levait, arpentait
– Cochon que je suis !
Puis, tout
– Voyons, toi !
[[Image :Vincent van Gogh (1853-1890) - The Olive Trees (1889).jpg|center|thumb|280px|Van Gogh, ''Les Oliviers]]
Son art me troublait, par son audace et par sa violence. Il
[[Image :VanGogh-starry night.jpg|center|thumb|280px| Vincent Van Gogh, ''La Nuit étoilée'']]
Je ne voyais que
–
Exagéré ! Un mot qui me revenait de mon père, dont
Alors, à ce mot, Lucien
–
Et
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