« Orgueil et Prévention (1822, ré-édition 1966)/49 » : différence entre les versions
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Hélen n’étant pas aussi légère qu’Élisabeth, demeura
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bientôt derrière, tandis que sa sœur, tremblante et hors
d’haleine, le joignit, et avec vivacité s’écria :
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portion de cinq mille livres sterling, réversibles à vos enfants
après votre mort et celle de ma sœur ; de plus, de vous
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engager à lui faire, votre vie durant, une pension annuelle
de cent guinées. Telles sont les conditions que je n’ai point
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combien chaque instant est précieux dans une semblable
circonstance.
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— Si vous n’êtes pas en ce moment disposé à écrire,
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là ils se séparèrent, le père se rendit à son cabinet,
les deux sœurs au salon.
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— Quoi ! ils se marient ! cela est-il croyable ? s’écria
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l’absorbait tout entière, et aucun souvenir humiliant ne
vint troubler cette joie.
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« Ma chère, ma bien-aimée Lydia, s’écriait-elle, cela
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« Un jour de retard, observa-t-elle, ne saurait être d’aucune
conséquence. » Et sa mère joyeuse et satisfaite ne fut pas
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aussi entêtée que de coutume, d’ailleurs d’autres projets
vinrent l’occuper.
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[[en:Pride and Prejudice/Chapter_49]]
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=== no match === Bennet/49|Autre traduction}} </noinclude>
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