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qui était cet enfant. Je lui répondis que c’était mon frère<ref>Du Theil se demande si des phratries semblables à celles d’Athènes n’existaient pas à Naples, où il place, non sans de fortes raisons, les aventures d’Encolpe. Frater serait alors l’équivalent de |
qui était cet enfant. Je lui répondis que c’était mon frère<ref>Du Theil se demande si des phratries semblables à celles d’Athènes n’existaient pas à Naples, où il place, non sans de fortes raisons, les aventures d’Encolpe. {{lang|la|Frater}} serait alors l’équivalent de {{lang|grc|{{corr|φρατῶρ|φράτωρ}}}} ; Encolpe et Giton seraient membres de la même phratrie. La question ne se pose même pas, l’emploi de ce terme se justifiant autrement, comme le montre de Guerle le fils : « Le nom de ''{{lang|la|frater}}'', que l’on trouvera plusieurs fois répété dans cet ouvrage, était un nom de débauche chez les Romains : il signifiait un ''mignon :'' mais il est plus exactement rendu par le mot de ''giton'', emprunté à un des personnages de cette satyre, et pris substantivement pour désigner celui qui se livre au vice honteux de la pédérastie. Nous verrons plus loin ''{{lang|la|soror}}'' signifier une maîtresse. »</ref>. « Comment, s’écria-t-elle, n’est-il pas venu encore m’embrasser ? » Et, l’appelant, elle lui donna un baiser. Mettant ensuite |
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la main sous sa tunique, elle ramena un ustensile si |
la main sous sa tunique, elle ramena un ustensile si |
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jeunet qu’elle s’écria : « Cela, demain, fera parfaitement |
jeunet qu’elle s’écria : « Cela, demain, fera parfaitement |