« Le Cousin Pons » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Sommaire |
|||
Ligne 3 :
{{Titre|[[Le Cousin Pons]]|[[Honoré de Balzac]]|[[:Category:1847|1847]]}}
Sommaire
[masquer]
Dédicace
I. Un glorieux débris de l’empire
II. Un costume comme l’on en voit peu
III. La fin d’un grand prix de Rome
IV. Où l’on voit qu’un bienfait est quelquefois perdu
V. Les deux casse-noisettes
VI. Un homme exploité comme on en voit tant
VII. Une des mille jouissances des collectionneurs
VIII. Où l’infortuné cousin se trouve très mal reçu
IX. Une bonne trouvaille
X. Une fille à marier
XI. Une des mille avanies que doit essuyer un pique-assiette
XII. Spécimen de portier (mâle et femelle)
XIII. Profond étonnement
XIV. Un vivant exemple de la fable des Deux Pigeons
XV. Une chasse au testament
XVI. Un type allemand
XVIII. Comment on fait fortune
XIX. À propos d’un éventail
XX. Retour des beaux jours
XXI. Ce que coûte une femme
XXII. Où Pons apporte à la présidente un objet d’art un peu plus précieux qu’un éventail
XXIII. Une idée allemande
XXIV. Châteaux en Espagne
XXV. Pons enseveli sous le gravier
XXVI. Le dernier coup
XXVII. Le chagrin passé à l’état de jaunisse
XXVIII. L’or est une chimère
XXIX. Iconographie du genre brocanteur
XXX. Où la Cibot commence sa première attaque
XXXI. Beau trait de continence
XXXII. Traité des sciences occultes
XXXIII. Le grand jeu
XXXIV. Un personnage des contes d’Hoffmann
XXXV. Où l’on voit que les connaisseurs de peinture ne sont pas tous de l’Académie des Beaux-Arts
XXXVI. Ragots et politique des vieilles portières
XXXVII. Où l’on voit l’effet d’un beau bras
XXXVIII. Exorde par insinuation
XXXIX. Corruption parlementée
XL. Assaut d’astuce
XLI. Où le nœud se resserre
XLII. Histoire de tous les débuts à Paris
XLIII. Tout vient à point à qui sait attendre
XLV. Un intérieur peu recommandable
XLVI. Consultation non gratuite
XLVII. Le fin mot de Fraisier
XLVIII. Où la Cibot est prise dans ses propres filets
XLIX. La Cibot au théâtre
L. Une entreprise théâtrale fructueuse
LI. Châteaux en Espagne
LII. Le fraisier en fleurs
LIII. Conditions du marché
LIV. Avis aux vieux garçons
LV. La Cibot se pose en victime
LVI. La part du lion
LVII. Où Schmucke s’élève jusqu’au trône de Dieu
LVIII. Un crime punissable
LIX. Les ruses d’un testateur
LX. Le testament postiche
LXI. Profond désappointement
LXII. Première catastrophe
LXIII. Propositions fallacieuses
LXIV. Où la femme sauvage reparaît
LXV. La mort comme elle est
LXVI. Sensibilité d’une garde-malade
LXVII. Où l’on voit qu’il n’y a que les morts qu’on ne tourmente pas
LXVIII. Où l’on apprendra comment l’on meurt à Paris
LXIX. Un convoi de vieux garçon
LXX. La mort est un abreuvoir pour bien des gens à Paris
LXXI. Pour ouvrir une succession, on ferme toutes les portes
LXXII. Du danger de se mêler des affaires de la justice
LXXIII. Apparition de trois hommes noirs
LXXIV. Les fruits du fraisier
LXXV. Un intérieur peu confortable
LXXVI. Où le Gaudissard se montre généreux
LXXVII. Manière de rattraper une succession
|