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à lier ensemble les parties du raisonnement, à ks classer et kÀes expliquer avec méthode. Il y a plusieurs espèces de conjoiictions, savoir : ks copulatwes^ les disjmctwesp* kicoj^orKtiifes,ksconjoru^tipesaltmuitùfesXc^^ les causales, les dubitatives^ les concbisiçes, les explëliçes.

Les copulatives sont celles qui peuvent unir indéfiniment tous les mots entre eux, telles qae : et, encore y de pbis^ quoique j iettemerd ’que^ bien que^ ainsi que.

Les disjonctives sont celles qui, en réunissant les mots en une seule phrase^ servent h. les considérer séparément, telles que : ou^ ou bien^ ou que.

Les conjonctives ne s’emploient p^s pour indiquer les choses, mais pour les désigner avec méthode, telles que : si, quoique, encore que, quand mime.

Les conjonctives alternatives iîésignent à la fois les

choses et le mode de raisonnement, telles que : que^ car^ parce que.

Les causales servent à expliquer la cause ou la raison, telles sont : puisque, comme si, afin que, ajin de, pour que, pour eèla, attendu que, a cause de cela, d*après cela, d auiant que, d autant plus.

Les dubitatives lient ensemble les idées dans un sens de doute, telles que : peut-être^ donc, puisque, mais pourquoi, comme, comment, de quoi. ---comme autant de signes propres à indiquer les modes de nos actions et de nos sensations : il divise ces modes en vingt-quatre espèces ou uu peu plus, mais le traducteur arménien les porte jusqu’à trente-cinq.