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les bords du Sénégal et dans le bassin du haut Niger.
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
À part quelques enclaves anglaises et porlugaises, los
|titre = La rue. — Le trafic. — Les promeneurs. — Les types particuliers. — La luciole. — Le vendeur de journaux. — Le marché. — Le marchand ambulant. — Les mendiants et les déclassés.
possessions ct protéctorats français couvrent aujourd’hui,
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dans cette partie de l’Afrique, une immense étendue
entre la limite méridionale du Sahara et ces fameux
monts de Kong qui sont censés séparer le vaste bassin
du haut Niger de l’étroit versant de la côte de Guinée.
La canonnière Niger, sous les ordres du commandant
Caron, dont nous avions annoncé le départ pour Timbouetou,
a heureusement accompli son voyage. Elle
est parvenue jusqu’à Kabara et à Koramé, les ports el
chantiers de la métropole du Soudan occidental ; malgré
les difficultés que suscitaient Tidjani, le souverain
actuel du Maéina, et les Touareg, qui se considèrent
comme les maîtres de Timbouctou, le commmandant
Garon à pu visiter celte ville et s’entendre avec
les notables. Une autre canonnière, portant le nom de
Mage (en souvenir de lexplorateur français}, est destinée
à remonter les grands affluents du haut Niger, dont
quelques-uns ont un développement plus considérable
que le Dhioliba lui-mème. Il y a Là un vaste champ ouvert
à la géographie, car ces cours d’eau viennent de
régions entièrement inexplorées.


IT
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = Au pays de la canne à sucre.
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Outre son rôle politique, la campagne du colonel
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
Gralliéni aura une importance géographique considérable,
|titre = À travers les Missions jusqu’à la chute de l’Iguazu, et retour par l’Uruguay.
car des officiers distingués, détachés en mission
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de divers côtés, ont procédé à la reconnaissance lopographique
des pays récemment conquis où soumis à
notre protectorat.


Au nombre de ces missions, il faut citer celle du
Ouassoulou, qui a été dirigée par le capitaine Pérez.


Le Ouassoulou n’était, pour ainsi dire, connu que de
{{Table |largeurp=30 |aligns=left |indentation=-1
nom ; Car, sauf les quelques détails fournis par René
|titre = {{sc|De Zaïssansk au Thibet et aux sources du Hoang-Ho (Fleuve Jaune)}}, troisième voyage de M. {{sc|Prjévalsky}} en Asie centrale. — 1879-1880. — Texte et dessins inédits.
Caillié, qui l’a traversé en 1827, il n’avait plus été
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visité par aucun Européen. Le Ouassoulou proprement
dit est situé au sud du haut Niger, dans le bassin
supérieur des grands tributaires de ce fleuve ; mais,
dans ces dernières années, il a englobé successivement
tous les territoires et royaumes environnants, Aujourd’hui
cet empire, fondé par Samory, est placé sous Île
protectorat français.


La mission du Ouassoulou, composée du capitaine
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
Péroz, du sous-lieutenant Plat et du docteur Fras, médecin
|titre = XV. {{sc|Exploration des sources du fleuve Jaune}}. — Caractéristique générale du bassin supérieur du Hoang-ho. — Description de cette partie de son cours. — Les Kara-Tangouts. — Leurs ''chamans''. — Achats de mulets. — Région de Balekoun-Gomi. — Séjour enchanteur. — Température ; pauvreté de la flore. — Voyage en amont du fleuve Jaune. — Plateau sans eau. — Mont Sian-si-beï. — Rivière Baga-gorghi. — Menaces des Kara-Tangouts. — Le faisan oreillard. — Chasse au faisan. — Montagne et temple de Djakhan-fidza. — Marche vers la rivière Oumou. — Bivouac près du Tehourmyn. — Marche au bord du Hoang-ho. — Impossibilité de continuer la route.
de la marine, se mit en route le 5 décembre 1886.
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Elle était précédée du prince nègre Karamoko, fils de
Samory, que l’on a pu voir à Paris l’année dernière.
Après avoir passé à Kankan, surle Milo (déjà visité par
René Caillié, en 1827, et par le sous-lieutenant indigène
Alakamessa, en 1881), elle se dirigea sur Bissandougou,
dont Samory avait fait sa capitale. Avec le
village voisin et l’entourage de l’almany, cette localité
compte environ 3000 habitants, La réception fut très
cordiale, mais ce ne fut pas sans efforts diplomatiques
que le capitaine Péroz put amener l’orguecilleux Samory
à céder à la France ses provinces de la rive gauche du
Tankisso et du Dhioliba, et à placer le reste de ses


LE TOUR DU
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = XVI. {{sc|Exploration du cours supérieur du fleuve Jaune}}. — Retour près de la rivière Baga-gorghi. — Localités charmantes. — Excursion à Balekoun-Gomi. — Pluies d’été. — Kha-Gomi et Doro-Gomi. — Oasis de Gouï-Douï. — Montagnes au sud de cette oasis. — Flore et faune. — Excursion aux monts Djakhar. — Retour à
Gouï-Douï. — Marche vers le Koukou-nor.
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{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = XVII. {{sc|Séjour d’été aux bords du Koukou-nor. Seconde exploration du Nan-chan oriental}}. — Plaine de l’Ara-gol. — Halte au bord du Koukou-nor. — La rive ortentale de ce lac ; végétation. — Bivouac aux bouches de la rivière Balemâ. — Chasse aux oies sauvages. — Pays entre le Koukou-nor et le temple Teheïbsen. —
Moulins à prières. — Chaîne méridionale du Tetoung-gol. — Temple de Tchertyntou. — Tangouts. — Chaîne septentrionale du Tetoung. — Descente du plateau du Thibet dans l’Ala-chan.
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{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = XVIII. {{sc|Voyage à travers l’Ala-chan et le Gobi central}}. — Coup d’œil général sur le Gobi. — Sol, climat, végétation, vie animale. — L’Ala-chan, son climat, sa flore, sa faune et sa population. — Départ de la ville de Dadjin. — Désert de Tyngheri. — Soulkhir et Pugionium. — Chevaux redevenus sauvages. — Passage inattendu d’oiseaux. — Arrivée à Dyn-iouan-in. — Princes d’Ala-chan. — Aïmack des Ourots. — Gobi cenral. — Nouvel argali. — Mont Khourkhou. — Climat de septembre. — Steppes du Gobi septentrional. — Arrivée à Ourga. — Voyage à Kiakhta. — Résumé de mes explorations. — Remerciements à mes compagnons. — Charmes de la vie de voyageur.
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MONDE.


Etats sous le protectorat français. Un poste militaire qui
{{Table |largeurp=30 |aligns=left |indentation=-1
|titre = {{sc|À travers l’Alsace et la Lorraine}}, par M. Charles {{sc|Grad}}, de l’institut de France, député au Reichstag allemand. — 1886. — Texte et dessins inédits.
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a être construit à Siguiri (au confluent du Tankisso
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
et du Dhiolibaj donnera à ces concessions plus de poids
|titre = LXVI. Beaucourt et Le canton de Delle.
que n’en auraient eu peut-être les promesses de lalmany.
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III
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = LXVII. La plaine de l’Ochsenfeld.
|page = {{pli|246|5}}}}|2}}


D’auires missions ont eu pour tâche de reconnaitre
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
les territoires Les plus rapprochés de nos anciennes
|titre = LXVIIT. Thann et l’église Saint-Thiébault.
possessions sénégalaises.
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Ainsi, MM. Fortin et Lefort ont été chargés du levé
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
topographique du Bondou et du Niéri, entre le fleuve
|titre = LXIX. Les anciens glaciers des Vosges.
Sénégal. la rivière Falémé et la haute Gambie. M. Quiquandon,
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altaché à Ja mission du docteur Tautain, à
dressé la carte du Tiali et du Bambouk septentrional, el
a recueilli de nombreuses données géographiques ct
ethnographiques sur ces pays. Le Bambouk, en particulier,
n’a jamais formé un fitat unique ; c’est une
confédération qui comprend le Niagala, le Makana, le
Niambia, le Tambaoura, le Kilé, le Kamana, le Diébédougou,
le Bamhougou et le Barinta. Le lieutenant
Reichemberg, de son côté, visitait la haute Falémé, le
Konkadougou, le Bafing et le Bambougou, et rapportait
des notices fort intéressantes sur les confédérations
malinkées au sud du Bambouk. Enfin, le capitaine
Oberdorf fut envoyé dans le Niokolo, le Dialonkadougou
et le Dinguiray, à travers une région qui, en
majeure partie, n’avait jamais été visitée par des Européens.
Get officier a dressé une carte des cours supérieurs
de la Gambie, de la Falémé et du Bafing. Il a
en outre déterminé l’origine de la rivière Falémé, qui
prend sa source dans le Koï, et non dans le Timbo,
comme on l’avait supposé jusqu’à ce jour.


IV
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = LXX.Wildenstein et la pisciculture en Alsace.
|page = {{pli|261|5}}}}|2}}


Bien qu’il ait parcouru un terrain où l’avaient précédé
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
d’autres voyageurs, M, Charles Soller n’en a pas
|titre = LXXI. Une nuit dans une fromagerie.
moins servi la géographie en recuerllant au Maroc
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d’utiles informations, Le champ de son parcours est
compris dans un triangle formé par la côte, d’Asfi à
Agäder-n-Ighir, et la province d’’Entifa. Il a notamment
effectué un levé du cours du Tensift depuis son
embouchure jusqu’à la ville de Meräkech (Maroc), et 1]
a déterminé la position de la source de ce fleuve à
Ràs El’Aïn. Rayonnant autour de la ville de Maroc, il
est allé. du côté du nord-ouest, à Saharidj et Soûq El-Thelâta,
du côté de l’ouest, au pays des Oudäya. Après
avoir accompagné jusqu’à Dernat l’armée du sultan. 1l
s’est décidé à voyager seul afin de visiter les montagnes.
Il a pu parcourir ainsi les pieds occidentaux du
Djebel Gueläwi, et relever une partie de l’Atlas qui parait
nouvelle. Malheureusement il a été empêché par la
force de gagner Les versants méridionaux de la grande
chaîne.


Après avoir accompli ces voyages, M. Soller a visité,
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
par mer, la côte du Sahara, le cap Djoubi, Le Rio do
|titre = LXXII. Le massif du Grand-Ballon.
Ouro, le cap Blanc et des iles situées plus au sud.
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Qui n’a lu en quelque vieux livre les tribulalions de
{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = LXXIII. Le Florival et l’abbaye de Murbach.
|page = {{pli|284|5}}}}|2}}


{{Table |largeurp=30 |aligns=left |indentation=-1
|titre = {{sc|Voyage dans l’Ouest africain}}, par M. {{sc|Savorgnan de Brazza}}. — 1875-1887. — Texte et dessins inédits.
|nodots |page= }}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = I. Projet d’une mission dans l’Ouest africain. — Départ.
|page = {{pli|289|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = II. Personnel et matériel de la mission.
|page = {{pli|292|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = III. Du Gabon à Angola.
|page = {{pli|292|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = IV. D’Angola à Lambaréné.
|page = {{pli|294|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = V. De Lambaréné à Samkita.
|page = {{pli|298|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = VI. De Samkita à Sangaladi.
|page = {{pli|302|5}}}}|2}}

{{g|{{Table |largeurp=30 |largeurs=25 |aligns=left |indentation=-1
|titre = VII. De Sangaladi au mont Otombi (les Okotas). (22-30 janvier 1876.)
|page = {{pli|305|5}}}}|2}}