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douée de la propriété de diviser et d’atténuer. Je me persuade aisément que le castoréum, le musc et la semence de rue, et d’agnus-castus, seroient également curatifs dans ces deux cas.

963. Il est une pierre connue sous le nom d’hématite, qui, lorsque les personnes très sujettes au saignement de nez, la portent continuellement sur elles, prévient cette incommodité ; propriété qu’elle doit sans doute à sa qualité d’astringent et de calmant. Il faudroit aussi faire quelque épreuve de ce genre sur cette sorte de pierre qu’on trouve dans la tête d’un crapaud, afin de savoir si elle n’auroit pas la même propriété[1].

964. On pourroit tirer quelques lumières des expériences faites sur les anneaux de cheval marin, ou sur les liens de pervenche, pour concevoir comment ces deux substances, qui font cesser ou diminuent l’état de tension et d’effort des

  1. Reste à la trouver