« Page:Thibaudet - La Poésie de Stéphane Mallarmé.djvu/115 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications Balises : Modification par mobile Modification par le web mobile |
Balises : Modification par mobile Modification par le web mobile |
||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
qu’elle disperse loin les ondes d’un sens souple et vivant. |
qu’elle disperse loin les ondes d’un sens souple et vivant. |
||
<poem style="font-style: italic; margin-left: 1.2em;"> |
|||
Ô rêveuse, pour que je plonge |
Ô rêveuse, pour que je plonge |
||
Au pur délice sans chemin, |
Au pur délice sans chemin, |
||
Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
Qui, fou de naître pour personne, |
Qui, fou de naître pour personne, |
||
Ne peut jaillir ni s’apaiser. |
Ne peut jaillir ni s’apaiser. |
||
</poem> |
|||
Ce poème plaît comme un symbole fort clair de la |
Ce poème plaît comme un symbole fort clair de la |
||
Ligne 32 : | Ligne 33 : | ||
se perd et ne retombe pas. |
se perd et ne retombe pas. |
||
<poem style="font-style: italic; margin-left: 1.2em;"> |
|||
Un jet d’eau qui montait n’est pas redescendu |
Un jet d’eau qui montait n’est pas redescendu |
||
</poem> |
|||
dit le meilleur vers de Catulle Mendès. |
dit le meilleur vers de Catulle Mendès. |